Pascal Quevillon n’a pas l’intention de laisser la mairie d’Oka. Il a annoncé, cette semaine, qu’il serait à nouveau candidat comme maire, et ce, avec une équipe complète. Les Okois recevront prochainement le programme électoral de la formation par la poste, si ce n’est déjà fait.
« Nous sommes fiers d&#8217;annoncer que plus de 90 % de notre programme électoral 2017/2021 a été réalisé ou est en cours de réalisation », a indiqué fièrement Pascal Quevillon qui se présente à la mairie d’Oka avec une équipe renouvelée.
Au sein de celle-ci, il pourra notamment compter sur des visages connus tels le conseiller sortant du district des Récoltes, Jérémie Bourque. Élu en 2017, il est entrepreneur, producteur, agriculteur et nouvellement chef.Conseiller sortant pour le district des Chapelles, Steve Savard, sera aussi de la course. Agriculteur et gestionnaire, il a été élu en 2019.
Yannick Proulx, enseignant à l&#8217;école Hôtelière de Laval et conseiller sortant du district de la Pinède depuis 2014, souhaite aussi continuer de servir les citoyens de son quartier.
S’ajoutent au groupe Karine Bouchard, directrice des ventes du Canada pour Lion Électrique à Saint-Jérôme (district de l&#8217;Abbaye), Jean Hamelin, policier a la retraite, responsable des fraudes bancaires (district de la Rive) et Cécile Desnoyers, gestionnaire retraitée de la Banque Scotia (district de la Pointe-aux-Anglais).
« Je suis vraiment fier de ma nouvelle équipe, une équipe dynamique avec de belles expériences cumulées au service des Okoises et Okois », a indiqué Pascal Quevillon, maire d’Oka depuis 2014.

Samia Houle-Comas rejoint l’équipe de la candidate à la mairie Julie Tremblay-Cloutier. Elle briguera les suffrages dans le district des Récoltes.
Détentrice d’un diplôme en gestion hôtelière décerné par l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec (ITHQ). Samia Houle-Comas a un grand intérêt pour la restauration et tout ce qui a trait à la chaine d’approvisionnement des produits, de la ferme à la table.
Au cours de sa carrière en restauration qui s’est échelonnée sur  près de 20 ans, elle a occupé une vaste gamme de fonctions à des niveaux de responsabilité croissants, jusqu’à la gestion de restaurants. Elle a notamment fait partie de l’équipe de la Cabane d’à Côté du Groupe Pied de Cochon.
« D’une grande sensibilité et sincérité », dit son entourage à son sujet, Samia Houle-Comas ne cesse d’apprécier la richesse et la diversité du terroir laurentien. Ses valeurs et préoccupations environnementales l’ont poussé à préférer un mode de vie inspiré des principes de consommation responsable. Toujours à la recherche de produits locaux, elle fait l’incessante promotion du concept de ville nourricière.
Mère de deux jeunes enfants, elle désire participer au développement d’un milieu de vie sain, soutenable et durable, axé sur la famille. Elle adore cuisiner et transformer les produits de la terre.
Bien au fait de l’abondance des ressources agricoles de la région, et du dynamisme de ses commerçants, elle est d’avis qu’Oka possède tous les ingrédients pour offrir une qualité de vie exceptionnelle à ses citoyens.
« Je pourrais passer des heures à énumérer toutes les petites choses qui font en sorte que je tombe, littéralement, en amour avec la magnifique municipalité d’Oka. Et c’est pour toutes ces petites choses qui la rendent unique que je souhaite profondément vous représenter au Conseil », de dire Samia Houle-Comas.
<h3>Équipe complète</h3>
Samia complète une équipe déjà composée de Julie Tremblay-Cloutier, candidate au poste de mairesse, de Philippe Aubin-Steben, Erika Bilodeau, Katherine Chabot, Michel Gélinas et de Margherita Masecchia, candidats à des postes de conseillers, et de Richard Lalonde, ex-maire d’Oka (2009-2014) qui a accepté les rôles d’agent et de représentant officiel d’Unité Citoyenne.
Des notes biographiques présentant les membres d’Unité Citoyenne sont disponibles sur le site [<a href="http://www.unitecitoyenneoka.org">www.unitecitoyenneoka.org</a>]. Pour suivre la campagne de la formation politique: [<a href="http://www.facebook.com/unitecitoyenne.oka">www.facebook.com/unitecitoyenne.oka</a>].

Élections municipales à Oka: Julie Tremblay-Cloutier complète son équipe

Les technologues en imagerie médicale de l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS) des Laurentides ont manifesté leur mécontentement, le 8 septembre, dans les couloirs des hôpitaux de Saint-Jérôme et Saint-Eustache. Elles réclament une meilleure reconnaissance de la part du gouvernement ainsi que des actions claires pour les listes d’attente ainsi que l’attraction et la rétention de la main-d’œuvre.
Pour le syndicat, représentant plus de 5 300 technologues en imagerie médicale, en radio-oncologie, en médecine nucléaire et en électrophysiologie médicale, dont près de 3800 dans la région des Laurentides, l’heure est grave.
« Les salariées du domaine de l’imagerie médicale croulent sous la surcharge et sont épuisées », lance Marie-Ève Meilleur, représentante nationale à l’APTS pour la région des Laurentides. Selon elle, depuis le début de la pandémie, le gouvernement ne leur accorde pas la même considération qu’à leurs collègues qui travaillent à leurs côtés, dans les mêmes départements et sur les mêmes étages.
« C’est comme si le gouvernement avait décidé d’ignorer la situation. Il trouve toujours de l’argent quand il s’agit d’offrir des contrats lucratifs au privé. Mais quand il est question d’améliorer les services publics afin d’offrir des soins de qualité à la population, il n’a plus un sou », rage Mme Meilleur.
<h3>Valorisation et reconnaissance</h3>
Le ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, a autorisé les établissements à recourir aux cliniques privées afin de diminuer leurs listes d’attente au début de 2021. Mais, faute de personnel dans salles d’examen du réseau public, force est de constater que rien n’a changé, grogne l’APTS avant d’ajouter que « la surcharge de travail causée par la pénurie de main-d’œuvre et le manque de reconnaissance envers ces professions, sciemment ignorées par le gouvernement caquiste, n’ont fait qu’aggraver la situation ».
« La solution est simple, de conclure Chantal Daoust, présidente de l’APTS des Laurentides, l’attraction et la rétention du personnel passe par la valorisation et la reconnaissance des professions, notamment avec des incitatifs financiers. Il est grand temps que l’apport de l’imagerie médicale au système de santé soit reconnu à sa juste valeur. ».
Questionné à ce sujet le CISSS nous a répondu ne pas être  pas en mesure de commenter les conditions d’emploi des technologues en imagerie médicale puisque les conditions salariales et les primes relèvent d’une décision nationale. « Nous surveillons cependant avec intérêt ce dossier, puisque nous avons à cœur le bien-être de notre personnel », a indiqué un représentant de la direction du CISSS avant d’ajouter que concernant le manque de personnel, de nombreuses actions de recrutement sont en cours. Des démarches sont notamment amorcées afin d’augmenter le nombre de diplômés dans la région. Enfin, des initiatives sont mises en place pour soutenir les équipes, de concert avec elles, tels les horaires adaptés pour les gardes de soir et de nuit.

Élections municipales à Oka: Pascal Quevillon présente son équipe