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Festival Nord-de-Rire<br>Le grand retour de l’humour à Mirabel

Photo Antoine Meunier La dernière présence du Festival Nord-de-rire sur le territoire de Mirabel date du 50e anniversaire de la ville en 2022.

Festival Nord-de-Rire
Le grand retour de l’humour à Mirabel

Publié le 22/03/2024

Le festival Nord-de-Rire annonce son grand retour à Mirabel en 2024. En effet, pour une deuxième fois sur le territoire et une quatrième dans son histoire, la Ville offrira une fin de semaine familiale incluant plusieurs spectacles grands publics.

Alexandre Paradis, fondateur et organisateur du festival, a une vision bien claire de ce qu’il veut donner comme image de son événement. Et pour ça, il veut s’assurer que le public soit au rendez-vous. « Mirabel est la porte d’entrée des Laurentides. Et pour moi, c’était important que le festival soit dans une ville où les gens passent », confie-t-il, soulignant que la ville a sauté dans le projet à pieds joints.

Cette année encore tout sera entièrement gratuit. Situé au complexe Val-d’Espoir à St-Janvier, l’événement inclura diverses activités pour les plus jeunes dans la journée. Deux soirs de spectacles sont à l’horaire incluant plusieurs humoristes bien connus.

« Mirabel finance en partie le projet, comme service aux citoyens », affirme l’organisateur. Une part de subventions et de commandites vient également permettre l’organisation sans vente de billets.

Historique

Le Festival avait d’abord été créé à Saint-Jérôme en 2018. Avec la pandémie et les changements dans le budget de la ville, le festival s’est vu mettre sur pause après sa 2e édition. « En 2021, on a négocié avec la Ville de Mirabel pour tester le marché », raconte-t-il. C’est ainsi que le festival a fait quelques jours lors du 50e de la ville en 2022.

Nord-de-Rire compte rester à Mirabel, mais ne nie pas la possibilité de grandir et d’être présent dans d’autres villes des Laurentides à plus long terme. « Idéalement ce que je veux faire, c’est d’être chaque année dans la même ville et d’être un rendez-vous pour les gens », conclut Alexandre Paradis.