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Clinique juridique téléphonique: Une édition passée, mais qui reviendra rapidement

Archive 40e édition Une cinquantaine de bénévoles se sont réunis les 21 et 22 octobre dernier pour répondre aux questions provenant de Québécois de partout dans la province.

Clinique juridique téléphonique: Une édition passée, mais qui reviendra rapidement

Publié le 10/11/2023

Le Jeune Barreau de Montréal a, encore cette année, proposé deux journées de clinique juridique gratuite. « On reconnaît qu’il y a un problème d’accessibilité à la justice au Québec. Et une des missions du Jeune Barreau est d’en faire la promotion », affirme Me Joey Suri, président du Jeune Barreau du Québec.

En effet, les 21 et 22 octobre dernier avaient lié la clinique juridique téléphonique du Jeune Barreau de Montréal. C’est donc une cinquantaine de juristes de toute expérience et de toute expertise qui se sont réunis bénévolement.

Sans connaître exactement la répartition par région, Me Suri est tout de même convaincu de répondre aux questions venant de partout à travers le Québec, dont une partie de Mirabel. « Les domaines les plus sollicités sont le droit de la famille, succession et le droit du logement », explique le juriste. En effet, le tiers des appels actuels concerne l’un de ces sujets. Cependant, c’est une question de phase. Pendant la pandémie, les sujets tournaient davantage autour de la Covid-19, du télétravail et des mesures sanitaires.

Deux fois par année, le Jeune Barreau propose ce genre d’opportunité à la population. « La clinique était ouverte à l’ensemble des Québécois, peu importe l’âge, peu importe la situation financière », explique le président. Une 41e édition qui marque une trentaine d’années d’existence. C’est avec la popularité des dernières années que l’événement en est devenu un biannuel. Le plateau des 2000 appels n’a pas encore été atteint, mais reste un objectif réalisable.

« L’aide que l’on donne ne peut cependant pas substituer un suivi accru de la part d’un avocat. Notre objectif, c’est d’être une porte d’entrée vers les bonnes ressources » conclut Me Suri.