Bell Textron est une compagnie connue par la grande majorité des citoyens des Basses-Laurentides. De par son emplacement stratégique aux abords de l’autoroute&nbsp;15, mais également l’hélicoptère qui orne la devanture, la compagnie ne passe pas inaperçue, et ce depuis des années. Le système d’amélioration en continu à l’interne aide également à la démarquer des autres.



« L’innovation et la participation des employés aux différents défis de leur vie quotidienne joue pour beaucoup », souligne Steeve Lavoie, président chez Bell Textron à Mirabel.



La santé et la sécurité au travail sont primordiales pour Bell Textron, anciennement connu comme Bell hélicoptère. Non seulement elle assure un bien-être chez les employés, mais assure également de les garder à plus long terme.&nbsp;



L’entreprise mirabelloise a, grâce à ceci, gagné plusieurs fois des prix auprès de la CNESST. En juin dernier, ce fut encore le cas avec un système de levage de contrepoids.



<h2>Les bons coups</h2>



Le secret&nbsp;: une écoute attentive de leur besoin pour accomplir leurs tâches et la mise en place des solutions qu’ils proposent. « On a ce qu’on appelle ici les bons coups », souligne M.&nbsp;Lavoie. Chaque employé est ainsi invité à soumettre des propositions d’amélioration qui leur permettront d’être plus performants dans leur travail ou de régler un problème. « C’est un processus de microamélioration à l’interne », ajoute-t-il.&nbsp;



Avec l’aide d’un collègue, l’employé est également invité à confectionner un prototype de son idée afin d’en tester la faisabilité. Le projet est ensuite étudié par un comité et une petite remise de prix est faite pour souligner certains projets. Mais la grande majorité de ceux-ci sont malgré tout mis de l’avant.



« Chaque mois, je vais remettre des cartes-cadeaux pour souligner ces bons coups », explique Steeve Lavoie. Rien d’énorme, souligne-t-il, mais un geste de remerciement qui encourage chacun à donner de son mieux autant dans l’usine que les bureaux. C’est toute de même une centaine de réalisations qui sont ainsi soulignées.



Après 37&nbsp;ans d’existence, Bell Textron cherche encore à s’améliorer et elle est loin d’avoir fini. « Ça fait une douzaine d’années que ça roule », confirme le président de Bell Textron, soulignant la joie de la majorité d’ainsi améliorer son milieu de travail.



« C’est vraiment rafraîchissant ce que les employés arrivent à nous présenter », conclut-il.

Ces bénévoles-lecteurs, dont les antécédents judiciaires ont été vérifiés en raison du fait qu’ils interagissent avec une clientèle vulnérable, font partie de l’antenne Deux-Montagnes d’un programme intergénérationnel en lecture appelé « Lire et faire lire ». Celui-ci se déploie principalement dans les différentes régions du Québec, dont celle des Laurentides avec sept antennes, mais aussi en Ontario, au Nouveau-Brunswick et en Colombie-Britannique.



<h2>Brigitte Meloche, une autrice bénévole</h2>



À Deux-Montagnes, c’est l’autrice Brigitte Meloche, aussi connue pour animer des ateliers d’écriture et de journal créatif, qui a décidé de démarrer de façon bénévole une antenne à Deux-Montagnes et d’en être la coordonnatrice avec tout cela implique (choix d’une école, recrutement et formation des bénévoles, rencontres, choix des livres et autres), en plus d’assurer la relève –&nbsp;mardi étant sa journée de congé&nbsp;– si un bénévole-lecteur devait s’absenter.



«&nbsp;J’ai eu cette idée pendant la pandémie de la COVID-19. J’avais alors transféré mes ateliers en virtuel et j’ai été témoin de participants et de participantes [d’un certain âge] qui vivaient beaucoup d’isolement. Comme je suis membre de l’Union des écrivains du Québec, j’avais connaissance du programme, je l’ai, de fil en aiguille, mis en place grâce à l’aide précieuse de la bibliothèque de Deux-Montagnes, qui a accepté d’adhérer au programme, et de sa bibliothécaire Marie-Hélène Bohémier, tellement disponible&nbsp;», raconte Mme Meloche.



Celle-ci tient à ajouter, au passage, dans les appuis reçus, celui des membres du personnel de l’école Sauvé qui ont «&nbsp;sauté à pieds joints&nbsp;» dans le programme, et plus particulièrement son directeur Martin Lafrenière, sa directrice adjointe Anik Berger et sa secrétaire Danielle Tremblay qui «&nbsp;nous accueille toujours avec un grand sourire&nbsp;».&nbsp;



<h2>Une équipe de bénévoles-lecteurs</h2>



Comme l’an dernier, les bénévoles-lecteurs que sont Anne-Marie Binette, Louise Binette, Monique Binette, Carmen Paradis, Marise Mathieu, Françoise Roy, Pierrette Meloche et, seul homme du groupe, Yves Lagacé seront de retour pour aller faire la lecture pendant une heure à ces jeunes élèves chaque semaine, les mardis après-midi. Les jeunes participants de chaque classe seront alors répartis en sous-groupes de trois à cinq élèves.



Chacune des quatre classes de 1re&nbsp;année de l’école Sauvé sera ainsi visitée, une à la fois, à partir du mardi 17&nbsp;octobre, par les bénévoles-lecteurs. Chaque classe aura son tour, lequel s’étendra, chaque fois, sur une durée de huit semaines. À la mi-juin 2024, ce sont au total quelque 80&nbsp;élèves âgés de 6&nbsp;ans qui auront eu l’opportunité de vivre cette expérience de lecture à saveur intergénérationnelle.



<h2>Créer un lien intergénérationnel</h2>



«&nbsp;Ce qui est intéressant avec le programme ‘’Lire et faire lire’’, c’est que l’objectif n’est pas pédagogique, d’apprendre aux jeunes à lire. C’est d’allumer la mèche pour qu’ils en viennent à aimer la lecture et aussi de créer un lien intergénérationnel, d’en avoir une expérience positive en jasant autour des livres, mais aussi en échangeant sur divers sujets&nbsp;», de conclure Brigitte Meloche qui, tout comme ses bénévoles-lecteurs, a bien hâte de revoir ces étoiles dans les yeux des enfants.



Pour en savoir davantage sur le programme «&nbsp;Lire et faire&nbsp;», devenir bénévole-lecteur ou même démarrer une antenne locale, il suffit de consulter le <a href="http://www.lireetfairelire.qc.ca">www.lireetfairelire.qc.ca</a>.

Jeunes élèves et aînés réunis autour du plaisir de « lire et faire lire »

En effet, dans un communiqué de presse, Santé Canada rappelle que les punaises de lit peuvent se dissimuler dans les bagages, les vêtements et autres effets personnels, et s’inviter chez n’importe qui. Peu importe votre destination de voyage, ici comme à l’étranger, il faut prendre des précautions pour ne pas les rapporter à la maison.



À votre arrivée à destination,&nbsp;inspectez votre chambre&nbsp;:



<ul><li>Ne déposez pas vos bagages sur le plancher ni sur le lit&nbsp;: rangez-les dans le bain ou sur un support à bagages que vous aurez inspecté avant.</li><li>Vérifiez le lit&nbsp;: le matelas, les fermetures à glissière, les coutures, le capitonnage, derrière et autour des oreillers et de la tête de lit.</li><li>Vérifiez les meubles et les murs, derrière les cadres et les miroirs ainsi qu&#8217;autour des moulures et des encadrements de fenêtres.</li><li>Regardez les prises électriques, les interrupteurs et les téléphones ainsi que les tapis.</li><li>Si vous observez des traces de punaises de lit, avertissez immédiatement la réception et exigez une autre chambre ou changez d&#8217;hôtel.</li></ul>



Que chercher ?&nbsp;Cherchez des signes d&#8217;infestation comme des points noirs ou bruns (sang séché ou excréments), des points blancs (œufs, difficiles à voir) ou des punaises de lit vivantes ou mortes. Elles peuvent mesurer jusqu&#8217;à 10&nbsp;mm (0,40&nbsp;po). De brunâtre, elles prennent une teinte rouge sang foncée une fois nourries.&nbsp;



Au retour&nbsp;:



<ul><li>Avant de rentrer vos bagages, déposez-les sur une surface dure.</li><li>Lavez tous vos vêtements et les articles en tissu à l&#8217;eau chaude, que vous les ayez portés ou non, et chauffez les articles non lavables dans la sécheuse à la température la plus élevée possible pendant 30 minutes.</li><li>Passez l&#8217;aspirateur dans vos valises et jetez immédiatement le sac de l&#8217;aspirateur dans un sac de plastique bien fermé. Nettoyez les brosses et les accessoires d&#8217;aspirateur utilisés.</li></ul>



Visitez&nbsp;<a href="http://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/conseils-pour-controle-parasites/punaises-lit-comment-eviter-voyage.html?utm_source=stakeholders&amp;utm_medium=email&amp;utm_content=oct-fr&amp;utm_campaign=hc-sc-bedbugs-23-24">Punaises de lit : comment les éviter en voyage?</a>&nbsp;pour en&nbsp;apprendre plus. &nbsp;&nbsp;



De plus, consultez&nbsp;les&nbsp;conseils aux voyageurs et avertissements sur&nbsp;<a href="http://voyage.gc.ca/?utm_source=stakeholders&amp;utm_medium=email&amp;utm_content=oct-fr&amp;utm_campaign=hc-sc-bedbugs-23-24">Voyage.gc.ca</a>&nbsp;pour de&nbsp;l’information à propos des risques pour la santé et la sécurité liés à votre destination.&nbsp;

Bell Textron: Souligner les bons coups pour améliorer la santé et sécurité

Les bons coups