En parcourant ce court sentier de 500 mètres, les visiteurs pourront observer une quinzaine d’œuvres créées dans la glace. Chaque sculpture est unique et impressionnante par ses détails. Le sentier de glace est l’activité idéale en famille, peu importe l’âge des enfants, ou en couple. Ce parcours est un parfait complément aux activités du parc et vaut à lui seul une visite dans cet espace de nature. À noter que les mesures sanitaires doivent être respectées tout au long du sentier et que l’accès peut être restreint à l’occasion selon l’achalandage.
Avec cet ajout, le parc national d’Oka renforce sa position d’incontournable dans les Basses-Laurentides. L’ensemble des activités offertes (ski de fond, raquette, randonnée pédestre, fatbike et location d’équipements) reste disponible en tout temps, et ce, dans le respect des règles sanitaires en vigueur.
Les droits d’accès ainsi que les billets d’accès aux sentiers de ski de fond doivent être achetés en ligne au [<a href="http://www.sepaq.com">www.sepaq.com</a>] avant l&#8217;arrivée au parc.

«Nos fédérations permettent aux jeunes athlètes de pratiquer leur sport dans un cadre sécuritaire et contrôlé. Nous avons travaillé à développer des plans de gestion de risque afin de minimiser les possibilités de propagation du virus. Les protocoles proposés par les fédérations de sports de combat, comme toutes les fédérations sportives d’ailleurs, comportent, entre autres, des mesures pour s’assurer de ne pas avoir de rassemblements avant, pendant ou après la pratique du sport», soutient le président de Judo Québec et porte-parole des fédérations de sports de combat, Patrick Kearney.
Celui-ci rappelle que le registre des éclosions du ministère de la Santé recensait 44 cas d’éclosion de la COVID dans les activités sportives, contre 4 863 dans les milieux de travail, entre septembre et février.
«Force est d’admettre que la pratique du sport constitue un faible risque de propagation du virus et offre la possibilité pour les jeunes de pratiquer une activité sportive dans un milieu supervisé et sécuritaire. Le 22 mars nous apparaît donc un moment opportun à une reprise sécuritaire des sports fédérés puisqu’il permet un délai de deux semaines suivant le retour de la semaine de relâche. À cette date, quatorze jours plus tard, les effets immédiats du congé scolaire devraient être atténués et c’est pourquoi nous croyons que le sport fédéré devrait pouvoir reprendre ses activités avec la mise en place de mesures visant la sécurité des membres», dit-il.
Pour les fédérations de sports de combat, la relance des activités sportives organisées vise également à préserver la santé mentale des jeunes.
«L’isolement et la détresse qu’ils vivent deviennent de plus en plus problématiques et risquent d’avoir de fâcheuses conséquences. Nous croyons donc qu’il faut agir rapidement pour le bien-être de nos jeunes. En cette période de pandémie, nous sommes prêts à offrir un cadre sécuritaire qui permettra la reprise des activités sportives organisées au plus tard le 22 mars prochain», mentionne Patrick Kearney.

Sports de combat: une reprise souhaitée au plus tard le 22 mars

Épreuves inscrites à la Winter Series de la SKUSA (Superkart! USA &#8211; classe X30 Senior), les deux courses mettaient en vedette plus de 35 pilotes. Lors des essais du vendredi et les courses du samedi, Thomas et PSL Karting ont travaillé d’arrache-pied sur un kart de niveau, en deçà de deux dixièmes de seconde des chronos des machines les plus rapides. Lors de la première course de l’événement, le jeune pilote d’Oka a su démontrer son talent en remontant de la 31e à la 15e place. Dimanche, impliqué dans un incident de course, il a croisé le fil d’arrivée en 7e position.
Après une période de chauffe «acceptable», a raconté Thomas au sujet de sa journée de samedi, il a par la suite été coincé dans la circulation lors de la qualification, avant de rouler à 0,2 sec du kart le plus rapide. En préfinale, il est parvenu à remonter de la 11e place à la 6e place, et ce, même si le kart manquait «encore un peu d’efficacité». Parti 12e pour les 22 tours de la finale, le pilote okois a été impliqué dans un incident survenu devant lui au premier tour, ce qui a eu pour effet de tordre son pare-chocs avant et ainsi réduire sa vitesse.
«De la 31e position au 2e tour, j’ai attaqué au maximum et remonté à travers la circulation jusqu’à la 16e place au final. La machine n’est pas encore parfaite et on va continuer d’y travailler pour pouvoir rouler au maximum dans la qualification et les courses de dimanche», a-t-il mentionné, samedi, à sa sortie de piste.
Une Saint-Valentin à oublier
Dixième à la suite des qualifications, dimanche, Thomas a réussi à se frayer un chemin pour remonter de la 10e à la 6e place en préfinale. Un autre incident survenu devant lui l’a toutefois forcé à rouler sur la partie sale et glissante de la piste, ce qui l’a relégué à la 9e place pour la fin de la préfinale.
«J’ai connu un bon départ. De la 9e position sur la grille pour la finale de 22 tours, je suis remonté jusqu’à la 5e place au premier tour puis, à la suite d’un autre incident devant moi, j’ai terminé 7e pour la dernière ronde», a indiqué le pilote, insatisfait du résultat, malgré son excellent pilotage.
Thomas sera de retour en piste le week-end prochain à Ocala en Floride où se déroulera la Coupe ROK USA «Florida Winter Tour .
«Je connais déjà ce tracé et je crois que tout ira bien», a dit Thomas avec optimisme. D’ailleurs, il ne vise rien de moins qu’un podium lors de cette fin de semaine de courses, un objectif ambitieux puisque le jeune homme pilotera en classe Senior ROK plutôt que Shifter ROK pour l’équipe PSL Karting.
Rappelons que de participer à plusieurs championnats représente pour Thomas Nepveu un total prévu de 23 événements professionnels, soit 13 en karting et 10 en USF2000. Chacun des week-ends est composé d’essais, de qualifications et d’une ou deux courses, selon la série. Le temps important passé en piste, en plus des heures sur simulateurs, accélérera certainement sa vitesse d’apprentissage.

Nouveau sentier des glaces au parc national d’Oka