«Nous sommes très fiers de commanditer vos uniformes à nouveau cette année. Denis Breton Chevrolet Buick GMC se donne comme mandat d’aider les jeunes sportifs de la région. C’est un partenariat avec une organisation qui nous rejoint : des bénévoles qui ne comptent pas leurs heures pour faire bouger les autres et pourquoi pas, favoriser l’effort et l’esprit de compétition en s’amusant», a mentionné Marc-André Sauvageau, directeur général chez Denis Breton Chevrolet Buick GMC.
Ainsi, les joueurs du FC Saint-Eustache pourront porter fièrement les couleurs de leur club cette année tout en arborant le logo du concessionnaire.
Soulignons que Denis Breton Chevrolet Buick GMC offrira aux membres du club et leurs parents, le plan d’entretien prépayé pour trois ans pour tout achat de véhicule neuf à l’été 2018 (valeur de 1378 $). Tous les détails sont sur le site Web du FC Saint-Eustache.
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Cet objectif, c’est Dang Thanh Bui qui en sera à ses 22e Jeux du Québec à titre de chef de mission de la délégation des Laurentides, qui l’a fixé.
Tout bien pesé et considérant le potentiel des 189 jeunes qu’il dirigera vers les grands honneurs (individuels et collectifs), le sympathique bonhomme a établi que la délégation des Laurentides peut monter d’un échelon dans la hiérarchie des Jeux du Québec après avoir pris le septième rang lors de la dernière édition.
«Nous sommes impressionnés par votre talent. Nous avons confiance en vous» , a-t-il dit, au moment de son passage au micro, samedi matin, lors de la rencontre pré-départ aux Jeux tenue à l’auditorium de la polyvalente de Saint-Jérôme.
<h3>Le calme olympien</h3>
Les propos du chef de mission trouvaient d’ailleurs écho dans ceux de Jean-Luc Brassard, invité comme conférencier à titre d’ambassadeur de l’esprit sportif, mais également champion olympique en ski acrobatique aux Jeux olympiques d’hiver de 1994 à Lillehammer (Norvège), en plus de quelques titres en Championnats du monde et en Coupe du monde.
«Si vous avez été sélectionnés, c’est parce que vous méritez votre place. Vous êtes prêts pour ce que vous allez affronter. Il vous suffira de gérer votre stress.»
Parlant de stress, Jean-Luc Brassard s’est gentiment moqué des commentateurs et analystes sportifs qui décrivent les épreuves des Jeux olympiques et disent que tel ou tel athlète fait preuve d’un calme olympien.
«Participer aux Jeux olympiques, c’est stressant. C’est hallucinant. Quelqu’un qui fait preuve d’un calme olympien, c’est quelqu’un qui est mort» , a-t-il lancé devant un auditoire qui a croulé de rire. «Si on pense qu’un athlète fait preuve d’un calme olympien, c’est parce tu ‘’freak’’ tellement que tu ne sais pas quoi faire. Ce qui se passe dans la tête d’un athlète dans ces moments-là, c’est assez rock and roll» .
C’est assurément pourquoi Jean-Luc Brassard a ajouté à l’intention des jeunes: «Encouragez-vous les uns les autres. Soyez la meilleure délégation aux Jeux du Québec. Aidez-vous… » 
Car, dira-t-il, «le plus gros problème dans le monde sportif actuellement, c’est l’intimidation entre coéquipiers; par exemple, dénigrer un coéquipier qu’on ne trouve pas assez bon» .
Browne
Également présente à l’événement de samedi matin dernier, l’olympienne Cendrine Browne a non seulement témoigné de son expérience olympique de l’hiver dernier à PyeongChang, mais aussi de celle vécue aux Jeux du Québec en 2009, trouvant des similitudes entre les deux.
«Les Jeux olympiques, c’est magique, extraordinaire… C’est la même chose pour les Jeux du Québec. Pour moi, ma participation aux Jeux du Québec a été l’élément déclencheur qui a fait que j’ai décidé de continuer» , de raconter Cendrine Browne.
D’ailleurs, elle avait un message pour les athlètes présents.:«Ayez du plaisir. Profitez de chaque instant, c’est votre moment…»
<h3>Porte-drapeau</h3>
Par ailleurs, les dirigeants de la délégation des Laurentides ont choisi la joueuse de volleyball Laurence Huard comme porte-drapeau lors de la cérémonie d’ouverture le 27 juillet prochain.
Originaire de Lorraine, Laurence Huard en est à sa deuxième finale provinciale des Jeux du Québec. Il y a deux ans, à 14 ans, elle a été la plus jeune joueuse sélectionnée sur l’équipe de volleyball des Laurentides lors des Jeux du Québec à Montréal en 2016.

«Profitez de chaque instant, c’est votre moment… »

En qualification, Lacroix s&#8217;était cependant s’imposé avec d’excellents temps, mais une erreur de pilotage l’a projeté dans le mur, détruisant la voiture # 74 Bumper to Bumper/ Total, Gates/ Go Fast/ PFC Brakes. Lacroix a été transporté au centre médical de la piste, mais il s’est vu donné son congé après un examen de routine.
L’équipe Bumper to Bumper n’a toutefois pas perdu espoir et s’est vite tourné vers Scott Steckly pour prendre l’une de ses voitures de réserve. C’est après une nuit blanche et des ajustements satisfaisant, compte tenu de la situation, que Lacroix a finalement été en mesure de prendre le départ de l’épreuve de samedi au dernier rang.
Au premier tour, il a encore été victime de malchance, subissant une crevaison. Après un changement de pneu, ce fut au tour d’un fil de cylindre de défaillir après seulement quelques tours. Roulant donc avec une voiture beaucoup moins puissante que celles du reste du peloton, Lacroix est revenu une fois de plus dans les puits, cette fois-ci pour réparer ce bris.
De retour en piste avec une voiture améliorée, Lacroix a inscrit les mêmes temps que les meneurs. N’espérant plus la victoire, mais plutôt un Top 5, Kevin était en 7e position avant la dernière relance, à quelques tours de la fin de l’épreuve.
<h3>Piloter avec une voiture inconnue</h3>
Mais le scénario ne s’est gère améliorer, lors qu’il a souffert d’une crevaison au 30e tour qui l’a projeté dans le mur, anéantissant donc ses chances de terminer l’épreuve.
«C’est définitivement un week-end à oublier», d&#8217;avouer Kevin Lacroix. «Après l’accident lors de la séance de qualification, on a été chanceux de trouver une autre voiture, mais elle n’était pas à mon goût. Ce n’est pas facile de prendre une voiture inconnue et de faire directement une course avec. Nous allons effectuer des essais privés avec cette nouvelle voiture pour la rendre impeccable», de poursuivre celui-ci.
À la suite de cette quatrième épreuve de la série NASCAR Pinty&#8217;s, Kevin a donc été relayé au 7e rang au classement des pilotes, à 22 points de retard sur le meneur, Andrew Ranger qui a remporté ce Grand Prix de Toronto.
Notons, que ll’épreuve du Pinty’s Grand Prix Toronto sera diffusée sur les ondes de TSN ce samedi 21 juillet, à 13 h 30, et sur les ondes de RDS le mardi 31 juillet, à 22 h 30.
Enfin, Kevin Lacroix tient à remercier ses commanditaires Bumper To Bumper, Total, Go Fast, PFC Brakes et Gates Corporation. «C’est un début de saison difficile mais je ne perds pas espoir que le reste de la saison va mieux aller», d&#8217;indiquer celui qui se prépare maintenant en vue du Velocity Prairie Thunder Twin 125s qui sera disputé le mercredi 25 juillet à Saskatoon, en Saskatchewan, et du LUXXUR 300 qui lui sera présenté quelques jours plus tard, le samedi 28 juillet à Wetaskiwin, non loin d&#8217;Edmonton, en Alberta.

Denis Breton Chevrolet Buick GMC poursuit son entente avec le FC Saint-Eustache