Dans les années 70, la mode était au mobilier de cuisine style capucine avec des chaises faites de bois, dont le siège était tressé de matériaux comme le rotin, la babiche, le jonc ou la corde de papier. Malheureusement, ces petits bijoux, après quelques décennies, commencent à s’essouffler.
Pourtant, ces meubles font partie du patrimoine québécois et sont d’une extrême robustesse comparativement à ce qui se trouve sur le marché aujourd’hui. Il existe une façon de donner un second souffle à ce mobilier usé ou même défoncé. En reprenant les méthodes traditionnelles, le rempailleur maîtrise les techniques de cannage, tressage et de paillage. Un travail soigné effectué avec passion en atelier de restauration.
MOTS-CLÉS
Renée Nadon artisane rempailleuse