Pour répondre à cette question et bien d’autres, l’Association coopérative d’économie familiale (ACEF) des Basses-Laurentides présentera à nouveau, le lundi 7 mars prochain, de 19 h à 21 h 30,un atelier-conférence sur cette question, lequel permettra aux participants d’améliorer leurs connaissances sur plusieurs documents légaux.
L’animatrice abordera les différents types de testaments afin de faire un choix éclairé. Les participants apprendront aussi ce qu’est un mandat en cas d’inaptitude et comment il peut protéger leur avenir et éviter des problèmes à leurs proches. 
Par des exemples concrets et un langage clair, ces sujets rebutants deviendront des plus abordables. Tous seront bien outillés pour rencontrer le notaire et peut-être réduire vos coûts.
Le coût de participation à cet atelier-conférence a été fixé à 5 $ et il est bon de préciser que le nombre de places limité. Le tout se déroulera à la Maison du citoyen de Sainte-Thérèse (salle D), située au 37, rue Turgeon, à Sainte-Thérèse.Renseignements et réservation: Lauriane Bouchard au 438 870-3284, ou à l’adresse courriel<a href="mailto:laurianebouchard1@gmail.com"> laurianebouchard1@gmail.com</a>.

Un atelier-conférence pour mieux apprivoiser la succession

Inspirés des recommandations issus du projet La Voix des parents, qui demandaient, entre autres, d’améliorer l’accessibilité aux activités et services pour soutenir le développement moteur chez les enfants âgés de 0 à 5 ans, en plus d’offrir des activités familiales multi âges et adapté à la réalité des familles, les organisateurs ont donc voulu mettre gratuitement à disposition des familles une salle et du matériel afin que les enfants puissent jouer librement pendant les saisons où le parc est moins facile d’accès.
L’Espace Libre action est ouvert aux familles une fois par semaine, dans trois municipalités, soit Pointe-Calumet, Deux-Montagnes et Saint-Placide. Il est accessible de 9 h à 11 h 30, et les parents n’ont pas à s’inscrire à l’avance. Ils arrivent quand ils le veulent, et repartent au moment qu’ils désirent.
Basé sur les principes du jeu libre et du développement moteur, l’objectif de ces Espaces libre action est que les familles viennent développer différentes habiletés avec leurs enfants. Du matériel est disponible, et une «personne responsable» est sur place pour répondre aux questions des participants et assurer le montage et démontage de la salle.
Qu’est-ce que le jeu libre?
On parle de jeu libre et actif lorsque l’enfant est physiquement actif (bouge et sollicite différentes parties de son corps) et qu’il est libre de décider de ce qu’il fait avec l’espace et les objets mis à sa disposition. Il n’y a donc pas de procédure, de limite de temps ou bien de règle à suivre.
Le jeu est un moyen d’apprentissage incontournable durant l’enfance. Les enfants s’y adonnent tout naturellement, spontanément, qu’il y ait encadrement ou non. Par le jeu, les enfants apprennent à interpréter leur environnement et à interagir avec le monde autour d’eux. Jouer amuse certes, mais fait bouger, cultive l’imagination, apprend à fonctionner avec les autres, favorise les apprentissages socioaffectifs, moteurs, et cognitifs. Il a été démontré que les activités que l’enfant veut pratiquer et exécute librement lui sont beaucoup plus profitables que celles qu’on lui impose.
Horaire des Espaces libre action
Le projet-pilote Espace libre action est en place jusqu’au 25 mars, selon l’horaire suivant:
• Le lundi, de 9 h à 11 h 30: Centre sportif et culturel Albert-Cousineau, 190, 41e Avenue, Pointe-Calumet;
• Le jeudi, de 9 h à 11 h 30: Salle Annette-Savoie, 200, rue Henri-Dunant, Deux-Montagnes;
Le vendredi, de 9 h à 11 h 30: Salle communautaire Jean-Paul Carrière, 281, montée Saint-Vincent, Saint-Placide.
Les organisateurs tiennent, enfin, à rappeler que ce projet n’aurait pu être possible sans la contribution de précieux partenaires, dont La Petite Maison de Pointe-Calumet, le Comité des loisirs de Saint-Placide, la Ville de Deux-Montagnes, la Municipalité de Pointe-Calumet et la Municipalité de Saint-Placide.
Pour plus d’informations, il suffit de consulter le [<a href="http://www.facebook.com/Espacelibreaction">www.facebook.com/Espacelibreaction</a>].

L’Espace libre action: du jeu libre pour les familles!

C’est du moins la crainte exprimée par les députés de la Coalition Avenir Québec (CAQ) qui, dimanche dernier, ont dénoncé l’intention du gouvernent libéral de transférer la perception de cette taxe, appelée «Contribution des automobilistes au transport en commun», à la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM).
De 30 $ à 75 $
Ce que permettrait, de l’avis de la CAQ, le projet de loi 76 modifiant l’organisation et la gouvernance du transport collectif dans la région métropolitaine de Montréal, actuellement à l’étude en commission parlementaire à l’Assemblée nationale.
Cette contribution, d’un montant de 30 $ pour l’ensemble du Québec, ajoutée aux frais d’immatriculation que les automobilistes doivent débourser chaque année, est actuellement perçue par la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) qui la remet ensuite au ministère des Transports du Québec (MTQ).
Les députés caquistes disent craindre que la CMM, qui regroupe 82 municipalités, dont 66 sur les couronnes nord et sud de Montréal, soit tentée d’augmenter dans un premier temps cette contribution à 75 $ pour l’uniformiser sur l’ensemble de son territoire. Le projet de loi 76 donnerait à la CMM le pouvoir de fixer par règlement cette taxe.
En effet, les résidants des 16 municipalités et agglomérations de l’île de Montréal doivent acquitter depuis 2011, en plus du 30 $, une taxe supplémentaire de 45 $ pour le transport en commun.
Les députés caquistes dénoncent
Porte-parole du deuxième groupe d&#8217;opposition en matière de transports, le député de la circonscription de Groulx, Claude Surprenant, a fait savoir que cela en était trop.
«Ça suffit, nos familles n’en peuvent plus! Ce que le ministre Daoust propose, c’est que les 66 autres municipalités de la CMM mettent de l’argent dans le panier, alors que le quotidien de la majorité de ces citoyens ne leur permet pas d’utiliser le transport en commun pour lequel on leur imposera une taxe. C’est inacceptable!» a-t-il indiqué lors d’un point de presse tenu à Longueuil, dimanche dernier, en compagnie de ses collègues Nathalie Roy, députée de Montarville, et Mario Laframboise, député de Blainville.
Ce dernier, qui est le porte-parole de la CAQ en matière d’affaires municipales, croit que les libéraux se servent de ce projet de loi pour compenser une partie du manque à gagner entraînée par ses compressions récurrentes de 300 M$ imposées aux municipalités dans le cadre de son pacte fiscal. Selon ses calculs, un montant de 50 M$ serait ainsi retourné aux municipalités.
«Nous sommes face à un gouvernement qui n’a pas de plan économique et donc qui pige dans les poches des contribuables pour remplir ses promesses. Après les hausses des tarifs d’électricité et des taxes scolaires, c’est maintenant des hausses de taxes pour financer le transport en commun qu’on tente de faire avaler à nos familles. Ce gouvernement ne manque pas d’imagination, c’est le moins qu’on puisse dire», a accusé M. Laframboise.
«Il faut lutter contre les émissions de gaz à effet de serre en développant les moyens de transports collectifs, mais ce ne sont pas aux citoyens de la classe moyenne, déjà surtaxés, de payer la note. Depuis l’élection des libéraux, tout augmente, sauf leur salaire. J’appelle Philippe Couillard et son ministre des Transports, Jacques Daoust, à retirer cette nouvelle taxe injuste de son projet de loi», a renchéri la députée Nathalie Roy.
Rappelons que les automobilistes des Laurentides, via le prix de l’essence à la pompe, paient aussi au gouvernement du Québec une taxe de l’essence fixe de 1,5 cent le litre, laquelle est ensuite remise à l&#8217;Agence métropolitaine de transport (AMT).
Pour les automobilistes de l’île de Montréal, cette taxe est de 3 cents le litre.

Les caquistes dénoncent une nouvelle taxe à venir