Rappelons que Richard Lalonde a été élu conseiller municipal du district des Chapelles en 2003 et réélu en 2005. Chaque fois, il avait été le seul membre de l’équipe de Claude Hamelin-Lalonde à se faire élire alors que le maire Yvan Patry et cinq membres de son équipe complétaient le conseil municipal. 
Comme Yvan Patry a décidé de se retirer en 2009, Richard Lalonde a réussi à convaincre les élus actuels Luc Lemire, Jean-Claude Guindon, Laurel Malboeuf, Gaétan Haché et Yves Lavoie de faire équipe avec lui. La seule nouvelle venue à se présenter en politique est Lucie Pominville. 
«Je dirais que c’est ma façon de travailler qui fait en sorte que je peux présenter cette équipe aujourd’hui. Avec les années, j’ai réussi à me faire connaître et à bien les connaître. Voici une équipe d’hommes et de femmes de grande valeur, honnêtes et intègres», a mentionné Richard Lalonde. 
Il renchérit ainsi: «Le nom Vision Oka pour notre formation reflète parfaitement notre désir de voir évoluer notre municipalité afin qu’elle offre aux générations futures des services et une qualité de vie hors de l’ordinaire. Notre slogan, c’est Allons de l’avant! Ça se veut inclusif et rassembleur. Il évoque également la volonté soutenue de faire progresser notre municipalité.»
Luc Lemire
Conseiller municipal depuis 1989 et natif d’Oka, Luc Lemire a su mettre à profit sa vaste expérience au service des concitoyens du district des Récoltes, notamment au niveau de la sécurité publique, de l’hygiène du milieu, des routes et des infrastructures. 
Jean-Claude Guindon
Né à Oka, Jean-Claude Guindon est conseiller depuis 1991. Il s’est consacré aux dossiers des sports et des loisirs, dont l’organisation du baseball amateur chez les jeunes. Le conseiller du district de la Rive s’est également impliqué au niveau de la sécurité publique et du service d’incendie. 
Laurel Malboeuf
Représentante du district de la Pinède, Laurel Malboeuf s’est occupée, au cours du dernier mandat, des dossiers de la culture et du tourisme, tout en siégeant au sein de la Maison des jeunes. On lui doit notamment les améliorations à la bibliothèque municipale. 
Gaétan Haché 
Élu conseiller du district de l’Abbaye en 2005, Gaétan Haché a travaillé dans les dossiers relatifs à l’environnement, aux mesures d’urgence et à la sécurité publique. Il a œuvré comme intervenant pendant 30 ans auprès des travailleurs en difficulté à l’usine General Motors à Boisbriand. 
Yves Lavoie
Comptable agréé de profession, Yves Lavoie est représentant du district de la Pointe-aux-Anglais et s’occupe notamment des questions administratives et des communications au sein du conseil municipal. Il se consacre à la revitalisation de son district et de ses infrastructures. 
Lucie Pominville
Celle qui remplacera Richard Lalonde au sein du district des Chapelles, c’est Lucie Pominville, une native d’Oka. Elle a siégé à titre de citoyenne au sein du comité consultatif d’urbanisme pendant cinq ans. Mère de deux enfants, elle travaille en production animale et végétale.

Richard Lalonde fait l’unanimité auprès des conseillers municipaux actuels

«Même si nos efforts de conscientisation ont porté fruit, puisque le nombre de victimes a diminué au cours des deux dernières décennies, le port du gilet de sauvetage est encore trop banalisé et cela entraîne de lourdes conséquences», affirme Vahé Vassilian, président du CQN.
En effet, les statistiques démontrent que le port d’un vêtement de flottaison a été négligé dans plus de 75 % des cas de noyades répertoriés depuis 2004. On peut également noter qu’au cours des cinq dernières années, 88 % des victimes d’incidents nautiques ont été des hommes d’un âge moyen de 47 ans, et que, dans 56 % des cas, les noyades étaient dues à un chavirement de l’embarcation.
Les plaisanciers omettent de porter le gilet de sauvetage, prétextant la proximité de la rive, leur habileté à la nage ou leur capacité à enfiler rapidement une veste de secours en cas de chute. Cependant, selon l’Institut national de santé publique du Québec, plus de la moitié des décès en embarcation de plaisance aurait pu être évitée si les précautions nécessaires avaient été prises. Le vêtement de flottaison, en plus d’éviter à la victime de s’épuiser à la nage, lui fournit également une protection thermique en cas d’immersion en eau froide.
Celle-ci a d’ailleurs contribué à 21 % des noyades sur les plans d’eau du Québec, entre 2000 et 2008. Le CQN désire donc attirer l’attention des plaisanciers sur ce facteur important, mais méconnu. Être près de la rive ou être bon nageur n’a plus la même importance dans le cas d’une immersion en eau froide. En 2004, 43 % des victimes se trouvaient à moins de deux mètres du rivage ou d’un objet ayant pu les sauver, alors que 32 % d’entre elles savaient bien nager. Leur mort s’explique par l’état de choc immédiat provoqué par une chute dans des eaux dont la température est inférieure à 20 °C.
Panique, souffle coupé, hyperventilation et augmentation du rythme cardiaque sont les symptômes du premier des quatre stades pouvant causer la mort en eaux froides. Au second stade, la victime perd peu à peu sa dextérité manuelle. Les dix minutes suivantes sont cruciales, car on cessera bientôt de pouvoir nager. Le troisième stade est l’hypothermie. Il faut près d’une heure au corps humain pour que sa température descende sous les 35 °C. S’ensuivent graduellement une perte de conscience, puis la diminution des signes vitaux jusqu’à l’arrêt cardiaque. Enfin, si la victime est secourue, elle peut être sujette à un effondrement post-sauvetage. En effet, se sentant en sécurité, elle cesse de lutter et réduit ainsi ses chances de survie.
Pour éviter de tragiques incidents sur les plans d’eau, le CQN rappelle aux plaisanciers de simples règles: porter le gilet de sauvetage, ne pas consommer d’alcool en bateau, suivre un cours de navigation, être bien préparé ainsi que son bateau, se méfier des dangers de l’immersion en eau froide.
Le commentateur sportif Yvon Pedneault, porte-parole de la campagne, abonde d’ailleurs en ce sens: «Étant moi-même un grand amateur d’activités nautiques, je suis conscient qu’appliquer de simples règles de sécurité peut définitivement nous sauver la vie. J’inviterais donc tous les plaisanciers, expérimentés ou non, à profiter pleinement de la saison estivale tout en redoublant de prudence sur l’eau.»

Le CQN incite les plaisanciers à la prudence

Même s’ils auraient aimé sans doute que dame Nature se montre un peu plus clémente pour la circonstance, les organisateurs affichaient beaucoup de satisfaction après une autre édition de cet évènement qui a semblé ravir la très grande majorité des participants
Les plus en évidence
Tout d’abord, en cinquième secondaire, au 10 km, les Amine El Moumen, Jean-Marc Langlois et Sébastien Lalonde ont pris les trois premières positions chez les garçons. Du côté féminin, il en a été de même pour Catherine Pelletier, Valérie Fluet et Jessica Racine-Larose. Au 5 km, fait inusité, les Carl Prud’homme et Antoine Gosselin ont terminé ex æquo en tête, suivis par Guillaume Ellefsen. Chez les filles, Alizée Goulet a devancé Mélodie Roussin et Michèle Masson-Trottier. 
Chez les étudiants du quatrième secondaire, Marc-André Messier, Simon Bastos et Alexandre Nadeau se sont montrés les plus rapides au 10 km, imités par Anouk Leblanc, Sara Pépin-Poulin et Denise Hachler chez les filles. Les Charles Michaud, Bruno O’Reilly et Christophe Ballet se sont imposés de leur côté au 5 km. Chez les filles, les trois premières places sont revenues à Marylane Dufresne, Andréanne Bélanger et Malika Tahmi. 
Toujours au 5 km, mais cette fois-là au niveau du troisième secondaire, les récipiendaires des médailles ont été Ludovick Wilson-Lebouthillier, Étienne Moisan et Maxime Bousquet du côté masculin, ainsi que les Claudia Trottier, Viviane Mayer et Maélie Cusson du côté féminin. 
Cependant, sur cette distance, le plus grand tour de force a été réussi par Jade Bérubé, une élève invitée du primaire, qui a inscrit le chrono le plus rapide (23 minutes 11 secondes), avec plus de deux minutes d’avance sur l’autre fille la plus rapide. 
Puis, dans l’épreuve du 2,5 km, en deuxième secondaire, les honneurs sont allés à Amaury Regnaud, Justin Lesieur-Michaud et Émile Dansereau chez les garçons, et chez les filles, pour les Florence Gentet, Sabrina Doggett-Bigras et Mélina Soucy. En premier secondaire pour conclure, les Walid Alam, Ludovic St-Denis et Maxime Charbonneau-Gauthier ainsi que Marie-Pierre Lévesque, Isabelle Tremblay et Maude Massé-Pfiste se sont partagé les distinctions. 
À noter que parmi ces récipiendaires, plusieurs ont fait partie des équipes sportives de la PDM durant la récente année scolaire. Comme quoi il est assez facile pour un athlète aux qualités athlétiques supérieures à la moyenne d’être en mesure de s’illustrer dans plus d’une activité sportive.