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Luc Leclerc: être un vecteur d’espoir pour la population

Luc Leclerc

Luc Leclerc: être un vecteur d’espoir pour la population

Publié le 01/04/2014

Pour Luc Leclerc, l’actuel candidat du Parti libéral du Québec (PLQ) dans la circonscription de Deux-Montagnes, il est clair que le rôle d’un député est de défendre les intérêts de ses concitoyens et d’être présent pour eux.

C’est ainsi que se présente le candidat libéral, un avocat spécialisé en droit civil et commercial qui s’est établi, il y a 27 ans, à Saint‑Eustache.

S’il s’agit de sa première tentative pour se faire élire député, il n’en connaît pas moins les rouages d’une campagne électorale puisqu’il était l’organisateur de la candidate Linda Langlois-Saulnier, dans le comté de Vachon, aux élections provinciales de 2012.

Mieux connu sur la Rive‑Sud, où il œuvre au sein de la firme d’avocats Pellerin-Sabitz, il a décidé de se lancer dans cette course électorale justement pour s’ancrer dans sa communauté. L’idée de se mettre à la disposition des citoyens lui apparaît comme une étape logique dans sa carrière.

«Se tourner vers la politique, c’est donc un apostolat pour moi. C’est comme une continuité d’aider les gens, de les servir et de les défendre. Trop souvent, j’ai vu des gens dans mon bureau aux prises avec des problèmes avec des organismes gouvernementaux. Il y a plusieurs services existants et moi, je veux leur permettre de mieux vivre dans la société», explique‑t‑il.

«Les gens ne pensent pas d’aller voir leur député et pourtant, c’est le travail premier du député que de les servir», poursuit‑il.

Pour celui qui se dit fédéraliste et progressiste, le développement économique de la circonscription de Deux-Montagnes représente un défi intéressant à relever. Pour le moment, il n’a pas de plan précis en tête quant aux projets qu’il entend proposer aux électeurs, mais il se dit ouvert à l’idée de travailler en concertation.

«Je veux consulter avant d’arriver avec un plan de développement, on ne peut pas décider seul, il y a des implications pour tous. Il faut commencer par se rencontrer et se concerter. Je veux travailler avec les acteurs du milieu, le Centre local de développement, la Chambre de commerce, la Commission scolaire et les municipalités. Il faut développer un plan ensemble, ce qui ne semble pas être le cas actuellement», croit‑il.

Pour lui, il est clair que l’avenir de la circonscription passe par le développement du transport en commun et de la formation de la main-d’œuvre, ainsi que par l’accueil de nouvelles entreprises sur le territoire. «Les gens ont besoin d’emplois», souligne‑t‑il, en insistant sur ce point.

Il estime par ailleurs que dans une région où la population se fait vieillissante, l’on doit donner de meilleurs services de proximité aux aînés, que l’on doit construire des résidences mieux adaptées à leur style de vie. Il connaît bien leurs besoins, dit‑il, lui‑même étant un aidant naturel pour sa mère de 89 ans.

Dans le même ordre d’idées, il se prononce en faveur de l’instauration de super-cliniques sur le territoire, question de désengorger l’urgence de l’Hôpital de Saint-Eustache et d’avoir des services de santé plus efficaces.

«Les gens ont besoin d’un représentant pour les appuyer dans leurs démarches. Il faut que les gens voient le bureau de député comme un point de service. Je veux être un vecteur d’espoir», de conclure le candidat libéral.

 

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