Le tout débutait par un vaste concours tripartite piloté par le Musée d’art contemporain des Laurentides, en lien avec le ministère de la Culture et des Communications, et bien évidemment avec la cathédrale, lequel intéressait pas moins de 27 artistes qui ont déposé autant de projets d’intégration.
Il s’agissait d’un projet d’intervention d’une œuvre contemporaine à même la deuxième alcôve de la cathédrale de la rue Labelle, à Saint‑Jérôme.
La proposition de Normand Forget, un artiste par ailleurs reconnu dans la région de Lanaudière, «vise à prolonger et soutenir la scène du vitrail de l’Ecce homo, tout en y intégrant le confessionnal en tant qu’élément sculptural», selon sa propre analyse.
L’œuvre sera exécutée in situ au cours de l’été et elle est financée par une contribution provenant de l’entente de développement culturel intervenue entre la Ville de Saint‑Jérôme et le ministère de la Culture et des Communications.
Normand Forget a déjà participé à une trentaine de projets reliés à la politique d’intégration des arts.