Afin de sensibiliser les citoyens des Laurentides, les responsables de la Table agroalimentaire des Laurentides ont organisé une nouvelle campagne de promotion des produits régionaux. Sous le thème Qu’on se le dise: Laurentides, j’en mange!, les consommateurs trouveront en épicerie 45 nouvelles fiches-recettes. «Ces nouvelles fiches contiennent des recettes savoureuses, faciles et utiles pour tous les jours de la semaine. Elles sont conçues et réalisées à base de produits régionaux par l’un des chefs cuisiniers réputés de la région, André-Paul Moreau», explique Nathalie Labonté, directrice de la campagne pour la Table de concertation agroalimentaire. 
En plus des fiches-recettes, Laurentides j’en mange lance également de petites fiches d’information sous forme de «Saviez-vous que?» 
«Afin de sensibiliser les consommateurs à de bonnes pratiques alimentaires, ces petites fiches, ayant pour thème la salubrité des aliments, ont été réalisées grâce à la collaboration du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec», résume Nathalie Labonté. 
Rappelons que la campagne de sensibilisation Laurentides j’en mange est une initiative ayant pour but de mettre en valeur les produits agroalimentaires des Laurentides par le biais d’une campagne de promotion en épicerie. Ainsi, ce programme permet aux consommateurs d’identifier et sélectionner les produits régionaux des Laurentides. «Vous êtes curieux de découvrir les produits régionaux? Vous pourrez vous les procurer dans l’une des 20 épiceries participantes des Laurentides ainsi que sur le site Internet officiel de la campagne, au [laurentidesjenmange.com]», indique la responsable de la campagne pour la Table de concertation agroalimentaire. 
Par la même occasion, une vingtaine d’animations culinaires de dégustations sont prévues du 11 au 21 mars, dans les épiceries partenaires de la campagne de sensibilisation. «Manger des produits régionaux constitue un choix social à la fois économique et environnemental en plus de valoriser le talent des gens de chez nous qui pratiquent un des nombreux et intéressants métiers qu’offre le secteur de l’agroalimentaire», conclut Nathalie Labonté. La campagne Laurentides, j’en mange se termine au mois de septembre. 
À ne pas oublier qu’en tout temps, il est possible de reconnaître les produits des Laurentides en épicerie grâce à l’étiquette jaune, sous forme d’une étoile regroupant différents produits.

Consommer des produits régionaux: un geste pour l’environnement et l’économie locale

Au total, et sous la gouverne de Julie Laganière, enseignante au département des techniques administratives, 44 d’entre eux se sont impliqués afin de mettre sur pied un salon d’exposition représentant plus de 22 nouveaux commerces de la région. Parmi les entreprises représentées, mentionnons les SkyVenture, Atelier de Verre F Fusion, La Zone musicale, Escalade Action Directe, Boutique Écol’Eau Net, Boutique Finn, Arachides dépôt et plus, de même que Fleurs et Délices. Au menu? Des produits innovateurs, des dégustations, des concours, de l’animation et une plate-forme inestimable pour faire valoir le talent et les habiletés de futurs gestionnaires dynamiques et professionnels, selon Mme Laganière. 
Entreprises émergentes
Cette année, les étudiants ont articulé leur recherche autour du thème proposé, soit l’entreprise émergente. Ils ont donc dû répertorier les entreprises nouvellement sur le marché et qui en sont à leurs balbutiements sur le territoire des Basses-Laurentides. Leur projet consistait ensuite à présenter ces entreprises en jouant officiellement le rôle de représentant commercial. Le mandat était double: promouvoir les produits des commerçants et faire valoir leur compétence en communication auprès de la clientèle. 
Rappelons que le Salon Réussite PME s’étendait sur quelque 2 000 pieds carrés de superficie et a accueilli l’ensemble des étudiants du Collège en plus des visiteurs de l’extérieur.

Le Salon des petites et moyennes entreprises de la région

Parmi les travaux routiers dans la circonscription de Deux-Montagnes, il y aura le réaménagement géométrique de l’échangeur de l’autoroute 640 et de la route 148, à Saint-Eustache, la reconstruction du pont Arthur-Sauvé, à Saint-Eustache ainsi que la réfection des ponts Giroux et Leblanc, à Saint-Eustache. 
Pour ce qui est de la circonscription de Mirabel, les automobilistes devront prévoir la reconstruction de la chaussée en béton de ciment sur l’autoroute 15 en direction sud, entre les km 32 et 25, à Mirabel, la réfection du pont d’étagement du chemin Principal au-dessus de l’autoroute 640, à Saint-Joseph-du-Lac, la réfection du tablier du pont au-dessus des rues Charles et Victor, à Mirabel, le resurfaçage de la chaussée de la route 344, à Kanesatake, la reconstruction du feu de circulation sur la route 117, à l’intersection de la rue Victor, à Mirabel, le réaménagement de l’intersection du chemin Saint-Simon et du rang Saint-Rémi, à Mirabel, et finalement, la reconstruction des ponts de la rue Saint-François et de la rue Lalande, à Mirabel. 
Rappelons qu’en 2007, le gouvernement a entrepris un vaste plan de redressement de l’état du réseau routier à travers le Québec. «Depuis 2007, la proportion des chaussées en bon état est passée de 63 % à 69 %. Pour les structures, cette proportion est passée de 53 % à 61 %. L’an dernier, nous avons réussi à renverser la tendance en stoppant la dégradation des structures au Québec pour la première fois depuis dix ans. En poursuivant ses investissements, le gouvernement continue d’améliorer le réseau routier québécois de même que la sécurité des usagers», a déclaré le député de Vimont, Vincent Auclair. 
De son côté, le député de Robert-Baldwin, Pierre Marsan, a ajouté: «Les investissements annoncés profiteront aux comtés de Deux-Montagnes et de Mirabel à bien des égards. Non seulement son patrimoine sera-t-il mis en valeur, mais des hommes et des femmes pourront conserver ou trouver un emploi dans leur localité et mettre leur expertise au service de leur communauté. Les chantiers routiers sont une grande source de fierté et de richesse collective.»
Pour 2010-2011, la ministre des Transports, Julie Boulet, a annoncé des investissements de 4,2 milliards à l’échelle du Québec. En plus des travaux routiers, il y aura aussi la formation d’une unité anticollusion au sein du ministère des Transports. Le mandat de cette unité sera d’assurer une surveillance étroite des marchés, de prévenir la fraude, la collusion et la malversation, d’encourager la pratique loyale des affaires et de mettre en place des mécanismes de détection de la collusion. Cette unité sera dirigée par Jacques Duchesneau, ex-directeur du Service de police de la Communauté urbaine de Montréal.