«Lors de l’entente signée avec Augyva en juin dernier, il était clair qu’on attendait la fin de notre période d’entente de trois mois sur la concrétisation éventuelle d’un projet de revalorisation économique et environnementale de l’ancienne mine, avant de divulguer quoi que ce soit. Pour nous, c’est le statut quo pour l’instant», a déclaré le maire vexé par la sortie prématurée de cette nouvelle.
Radio-Canada a même avancé que l’éventuelle usine pourrait créer entre 10 et 250 emplois et pourrait être en fonction pendant une vingtaine d’années. Une fois tous les résidus de minerais extraits, le site décontaminé serait transformé en parc.