(NDLR) – Communiqué de presse émis par le candidat de la Coalition avenir Québec dans Deux-Montagnes, Benoit Charette.
«Daniel Goyer appuie un budget qui mettra une pression intenable sur les familles de Deux-Montagnes et de Saint-Eustache. Par exemple, les couples qui ont deux jeunes enfants fréquentant un service de garde préscolaire ou scolaire subventionné seront confrontés à des hausses substantielles qui alourdiront un budget déjà difficile à boucler», a expliqué, par voie de communiqué de presse, l’ancien député de Deux-Montagnes.
Ce dernier a présenté succinctement les augmentations prévues au budget du ministre des Finances: frais de garde (hausse de près de 30 %) = 1 500 $; taxe santé (que le PQ avait pourtant promis d’abolir) = environ 200 $ par adulte par année, selon le salaire; tarifs d’Hydro-Québec = une augmentation de plus de 4 %, représentant environ 200 $ pour un bungalow moyen; taxe scolaire: une nouvelle hausse de 10 % impossible à chiffrer, car le PQ a sous-traité cette hausse à venir aux commissions scolaires, d’indiquer M. Charette qui évalue ces hausses à 2 500 $.
«Attention: les couples sans enfant ou dont les enfants ne fréquentent pas un service de garde ne sont pas pour autant épargnés par le PQ, qui s’assurera de les taxer comme il se doit à travers la taxe santé, de même que par les hausses des tarifs d’électricité et de la taxe scolaire. En avons-nous les moyens?», a demandé M. Charette.
Toujours selon Benoit Charette, il est temps au Québec de revoir ses façons de faire afin de donner un répit aux contribuables qui sont les plus taxés et les plus imposés en Amérique du Nord. «Il faut diminuer les dépenses de l’État plutôt que de toujours piger dans les poches des familles. Un gouvernement de François Legault s’engage à ne pas augmenter les taxes et les tarifs au-delà de l’augmentation du coût de la vie, en plus de verser à chaque famille environ 1 000 $ en moyenne par le biais de l’abolition de la taxe scolaire et de la taxe santé. Trop obsédé par la tenue du prochain référendum, Daniel Goyer n’a que faire de la situation financière des familles.»