logo journal leveil
icon journal
Image par default

Publié le 15/04/2020

Alors que le Québec est en pause, la Fondation Sercan a lancé ce cri du cœur, cette semaine, dans un contexte où il convient de reporter l’ensemble des activités de financement qui étaient prévues à son calendrier : pour assurer le bon fonctionnement de la Maison de soins palliatifs Sercan, l’organisme doit amasser au moins 640 000 $ en dons, chaque année. Comme vous le savez, la Maison Sercan est le seul établissement du genre, dans les Basses-Laurentides, à offrir ce service de d’accompagnement et de soulagement des personnes malades dans leurs derniers jours, avec le moins de douleur et de détresse possible. Elle a accueilli plus de 1 000 patients depuis soin ouverture, en 2005, et déploie ses efforts sept jours sur sept, 24 heures su 24. Comme le dit si bien son porte-parole, l’humoriste Matthieu Pepper, «la mort ne prend malheureusement pas de pause», lui qui suggère que tous les dons comptent, les grands comme les petits. Pour soutenir cette noble cause, rendez-vous sur le site Web [maisonsercan.ca]. L’organisme tient aussi sa page Facebook, sur laquelle vous pourrez notamment voir et entendre Matthieu Pepper vous livrer ce message à sa manière, en vous disant par ailleurs tout le bien qu’il pense de cet organisme.

  • ••

Dans cette édition, par ailleurs, vous serez à même de constater que les entrepreneurs de la région mettent l’épaule à la roue, en ces temps de bouleversement et de confinement. Sous la plume de Christian Asselin et Claude Desjardins, vous apprendrez comment des entreprises comme Fenêtres Magistral, Bauer, Pubco et le Domaine Lafrance se sont, comme on dit en bon québécois, «tournées sur un dix cennes» pour fabriquer des visières et du désinfectant, participant ainsi à cet effort collectif qui se déploie contre la COVID-19. On ne peut que saluer la démarche et le savoir-faire des entrepreneurs d’ici.

  • ••

Enfin je me permettrai encore de vous rappeler ces consignes plus que jamais importantes, dans un contexte où l’on commence à voir une toute petite lumière au bout du tunnel : ne baissons pas la garde, gardons nos distances, lavons-nous les mains, toussons dans notre coude, bref, toutes ces choses que nous faisons si bien, depuis le début, et qui nous éviteront de revenir à la case-départ.