Cette deuxième édition du Salon des commerçants de la 344 se déroulera le samedi 26 septembre prochain, de 10 h 30 à 15 h, sur le site du Centre d’achats Grande-Côte, situé au 340-358, chemin de la Grande-Côte, à Saint-Eustache bien évidemment.
Activités et découvertes au programme
Organisé par le Comité de revitalisation de la route 344, avec pour but de favoriser l’achat local, l’événement vise aussi à souligner la fin de la phase 4 des travaux de réfection sur cette importante artère de Saint-Eustache, ainsi que la conclusion de la campagne d’achat local J’achète pendant les travaux qui s’est déroulée du 1er au 14 août derniers.
Durant la journée, le public est donc invité à participer à plusieurs activités et à faire de nombreuses découvertes, tout cela dans une ambiance de foire commerciale. De nombreux commerçants et organismes de la route 344 qui font affaires à Saint-Eustache viendront à cette occasion présenter leurs produits et services.
Démonstrations en direct, dégustations et ateliers de toutes sortes font notamment partie des activités inscrites au programme. Aussi, des prix de présence seront tirés au sort et des escomptes seront disponibles à de nombreux kiosques. En outre, du blé d’Inde et des hot-dogs seront servis gratuitement à tous les visiteurs. Les plus jeunes ne seront pas en reste, eux qui auront de quoi s’amuser avec les jeux gonflables et les ateliers de maquillage.
Consommer local, c’est gagnant!
«Les citoyens sont invités à participer en grand nombre à ce salon thématique qui a des airs de grande fête familiale. C’est l’occasion idéale de découvrir les nombreux commerces de proximité et de constater de visu que la route 344 subit une réelle cure de jeunesse. En consommant localement, nous sommes tous gagnants! J’invite donc la population à venir en grand nombre à cette belle fête qui met à l’honneur les entreprises indépendantes et familiales d’ici», de mentionner Raymond Tessier, conseiller municipal du quartier des îles et président du Comité de revitalisation de la route 344, à l’occasion du lancement de l’évènement.
Pour en savoir davantage sur cette seconde édition du Salon des commerçants de la 344, il suffit de consulter la page [<a href="http://www.facebook.com/Revitalisation344">www.facebook.com/Revitalisation344</a>] ou encore le [<a href="https://www.saint-eustache.ca/">https://www.saint-eustache.ca/</a>] section Événements.

Saint-Eustache: Deuxième édition du Salon des commerçants de la 344

Le stationnement du Canadian Tire de Blainville s&#8217;est transformé en vaste piste d&#8217;essai pour voitures électriques, le samedi 5 septembre dernier. Sous l&#8217;égide de l’Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) des Laurentides, plusieurs membres, bénévoles et partenaires sont venus présenter leur voiture (BMWi3, Nissan Leaf, Kia Soul, Chevrolet Volt et autres) aux gens curieux de faire l&#8217;essai d&#8217;une voiture électrique.
Sur place, Caroline Lachance, directrice de l’AVÉQ des Laurentides a expliqué que les gens sont souvent mal informés sur les avantages de posséder une voiture électrique et que cet événement représentait une belle occasion d’obtenir des réponses à leurs questions. «Il y a beaucoup de désinformation qui circule, encore aujourd’hui, sur les véhicules électriques. C’est une des principales raisons qui m’ont poussé à offrir mon temps bénévolement pour promouvoir l’électromobilité», a-t-elle confié.
Conduite agréable et économies bien réelles
Selon elle, la conduite de ce genre de véhicule est agréable, les économies bien réelles, tout comme les bienfaits pour l&#8217;environnement. «Quand je rentre à la maison, je branche ma voiture comme d&#8217;autres branchent leur téléphone cellulaire», compare-t-elle.
Elle-même propriétaire d&#8217;une Nissan Leaf, Mme Lachance indique que sa voiture possède une autonomie de 160 km. Elle estime également que plus les gens vont s&#8217;intéresser à ce type de véhicule, plus l&#8217;offre se bonifiera. «Déjà la technologie a beaucoup évolué», note-t-elle, avançant que 95 % des gens qui font l&#8217;essai d&#8217;une voiture électrique vont finir par en acheter une. «Au bout de quatre ou cinq ans, si on tient compte des économies d&#8217;essence et d&#8217;entretien, ça coûte moins cher de rouler électrique».
De plus en plus populaires en Europe et aux États-Unis, particulièrement en Californie, les voitures électriques trouvent leur chemin jusqu&#8217;ici, alors qu&#8217;on répertorie à ce jour quelque 6 000 voitures du genre au Québec (11 000 au total circulent au Canada).
On compte, au Québec seulement, près de 750 bornes de recharges électriques, dont plus de 450 sont incluses dans le circuit électrique [<a href="http://www.lecircuitelectrique.com">www.lecircuitelectrique.com</a>]. Une quinzaine d&#8217;emplacements se trouvent dans les Basses-Laurentides.
L&#8217;AVÉQ compte actuellement 2 500 membres actifs. Pour en savoir davantage, visitez le [<a href="http://www.aveq.com">www.aveq.com</a>].

Journée de promotion: Les Québécois sont friands des voitures électriques

Si Sandra Lessard a choisi de faire des champignons son gagne-pain, c’est qu’elle s’y connaît en production. Elle a occupé pendant plus de 15 ans le poste de superviseure de production chez Les Jardiniers du chef, à Blainville, où elle a acquis les rudiments de la croissance des pousses végétales destinées aux chefs cuisiniers.
L’art de faire pousser les champignons lui a toutefois été enseigné ces dernières années au Centre de formation agricole de Mirabel (CFAM). Les cours qu’elle y a suivis lui ont d’ailleurs permis de fabriquer sa propre champignonnière artisanale. Et la voilà bien déterminée, à 49 ans, à faire fructifier son expérience et ses connaissances, au grand plaisir des fins palais.
Conquérir les Hautes-Laurentides
Si certains entrepreneurs visent la clientèle de Montréal pour vendre leurs produits de spécialité, il en va tout autrement pour Sandra Lessard qui, elle, cible les gens qui résident dans les Laurentides, mais aussi les restaurateurs des Hautes-Laurentides.
«Le pleurote en forme d’huître est un champignon de spécialité bien connu des restaurateurs haut de gamme, mais peu du public. Le marché des Hautes-Laurentides m’intéresse tout particulièrement puisqu’il compte bon nombre de restaurateurs qui pourraient intégrer mes pleurotes à leur menu», souligne l’entrepreneure.
Mais pourquoi choisir les pleurotes en forme d’huître? «Le pleurote a un goût doux et un petit goût de noisette qui est vraiment à découvrir. Je trouvais aussi dommage que les gens aient moins accès à ce champignon», d’expliquer celle-ci.
D’autant que les entreprises qui en font la culture ne poussent pas comme&#8230; des champignons au Québec. D’où le choix de son produit de niche. «Au Québec, il y a de la place pour la culture de champignons. Dans mon cas, j’ai la chance de connaître et d’échanger avec d’autres producteurs de la région qui partagent avec moi leurs astuces et conseils», ajoute-t-elle.
Pour le moment, Sandra Lessard avoue qu’elle n’en est qu’aux premiers balbutiements de son entreprise, elle qui a commencé officiellement la vente de ses produits en juin dernier. Elle reconnaît avoir eu quelques mésaventures avec sa production qui n’a pas toujours été régulière.
«Je considère cette année comme une année d’essai. Et la clientèle de Saint-Eustache a semblé apprécier mes produits puisque je voyais des clients revenir de semaine en semaine», indique-t-elle, tout sourire.
La tête pleine de projets pour l’an prochain
Même si elle n’en est qu’à ses débuts, Sandra Lessard caresse le projet de transformer son produit et d’agrandir son entreprise. D’autant plus qu’elle souhaite partager sa passion, entre autres sur <a href="https://www.facebook.com/Champirabel-1484772131834025/timeline/">Facebook</a>.
«L’an prochain, je compte vendre des kits de départ pour que les gens fassent l’expérience de faire pousser eux-mêmes leurs champignons à la maison», de conclure la Mirabelloise.
Comme quoi la passion des champignons, c’est contagieux!