En fait, c’est un véritable «voyage latin» que la chanteuse lauréate de plusieurs prix et concours proposera à cette occasion, alors qu’elle combinera dans son répertoire des mélodies espagnoles classiques et des mélodies populaires latines «empreintes de sensualité et de passion».
Entre autres pièces, Marie-Josée Lord interprétera lors de ce concert, le célèbre recueil Sept chansons espagnoles que le compositeur espagnol Manuel de Falla a écrites en 1914. Elle entonnera le fameux boléro Besame mucho (en français, Embrasse-moi beaucoup), composé en 1941 par la chanteuse mexicaine Consuelo Velázquez, ou encore, La flor de la Canela, une valse créole composée par l’auteur-compositeur-interprète péruvien Chabuca Granda, et enregistrée en 1950.
Celle qui a déjà chanté à Saint-Placide, il y a trois ans, alors qu&#8217;elle était à peine connue, et où elle avait fait très bonne impression, sera accompagnée pour ce concert de ses bons amis David Jacques, à la guitare, et de Ian Simpson, à la contrebasse.
Rappelons que c’est en 2010 que la carrière de Marie-Josée Lord, dont on dit qu’elle possède une voix chaude et intensive d&#8217;une grande étendue, a véritablement pris son envol. C’est en effet durant le mois de novembre 2010 qu’elle sort un premier album solo avec l’Orchestre Métropolitain, Airs d’opéra, qui lui vaut, l’année suivante, un Félix dans la catégorie Album de l’année 2011 — Classique vocal. Paru chez ATMA classique, l’album en question s’est vendu à ce jour à plus de 30 000 copies.
Forte de ce succès, la soprano québécoise d’origine haïtienne lance, en 2012, Yo soy Maria, un disque de 11 pièces enregistré aux côtés de 10 musiciens. Sur cet album, Marie-Josée Lord présente cette fois un assortiment de chansons d’origine latine comme l’Espagne, le Brésil, l’Argentine, le Pérou, qu’elle interprète avec cette magnifique voix qui la caractérise.
Les billets pour ce concert de Marie-Josée Lord sont actuellement en pré-vente au coût de 30 $ chacun, et cela, jusqu’au 25 avril prochain. Passé cette date, il faudra débourser 35 $. Il est possible de s’en procurer sur le site Web de la Société arts et culture de Saint-Placide, via PayPal, à l’adresse [<a href="http://www.artsetculturestplacide.com">www.artsetculturestplacide.com</a>].
On peut aussi en acheter aux bureaux de la Municipalité de Saint-Placide (450-258-2305) ou encore au siège social de la Caisse populaire Desjardins de Mirabel (450-475-8110), situé dans le secteur de Saint-Augustin, et ses centres de services répartis à Saint-Placide, Saint-Benoît, Sainte-Scholastique.

Un voyage latin avec Marie-Josée Lord à Saint-Placide

Pour l’occasion, les artisanes membres de la Guilde sont invitées à relever un défi, celui de représenter le chiffre 10 de manière symbolique dans leurs œuvres qui seront ensuite exposées lors de ces deux journées.
Lors de cette fin de semaine, tous sont donc invités à venir découvrir et admirer les différents aspects de cet art qu’est la courtepointe. Un coin sera d’ailleurs aménagé pour célébrer cet anniversaire. Des pièces confectionnées à travers le temps y seront présentées.
Des membres seront également sur place pour faire des démonstrations de différents outils, techniques et méthodes à la courtepointe, ainsi que pour répondre aux questions du public. Il y aura aussi une table boutique des membres, le traditionnel salon de thé et les visiteurs seront invités à voter pour leur courtepointe préférée.
«Le Prix coup de cœur du public, c’est la paye de la courtepointière», d’expliquer une des membres fondatrices de la Guilde, Nicole Ménard.
De plus, lors de l’exposition, une courtepointe fera l’objet d’un tirage. D’une grandeur de 207 cm par 212 cm, elle a été assemblée par les membres de la Guilde et piquée à la main par Jocelyne Perron, résultat d’un nombre incalculable d’heures et de passion de toutes et chacun.
La Guilde de courtepointe des Deux-Montagnes est composée de 39 membres. «On a plusieurs «jeunes» de 35-40 ans qui se joignent à nous», souligne Mme Ménard. Les rencontres, qui se font une fois par semaine, permettent aux membres de travailler à des projets personnels, de suivre des ateliers avec des professeurs invités, mais également de participer à des projets collectifs.
«Nous avons un volet communautaire important pour encourager les moins favorisés. On cible un groupe pour leur donner un produit fait par nous comme les coussins de l’amitié ou des courtepointes à des organismes de femmes ou pour les bébés», explique la présidente de la Guilde, Odette Carrière.
La mission de l’organisme vise à regrouper les gens avec le même intérêt pour socialiser et partager leurs connaissances, leurs expertises et leurs livres. «Ils sont très chers, nous avons plus de 300 livres et revues sur le sujet tenu comme dans une bibliothèque et c’est très bien géré», ajoute Mme Carrière. De plus, les objectifs de la Guilde sont de promouvoir l’art de la courtepointe et maintenir les règles de la courtepointe. Un système de mentor devrait également être instauré pour les membres débutants.
«On veut que les gens aient le goût de venir socialiser et partager», d’ajouter la responsable de l’exposition et membre fondatrice, Marjolaine Bond Sabourin.
Tous sont donc invités à plonger dans l’univers de la courtepointe les 26 et 27 avril prochains lors de cette exposition 10e anniversaire, à la salle des Vétérans, située au 141, rue Grand-Moulin, à Deux-Montagnes. Le coût d&#8217;entrée sera alors de 2 $.

Guilde de courtepointe des Deux-Montagnes: Une exposition pour célébrer 10 ans d'existence

Guilde de courtepointe des Deux-Montagnes: Une exposition pour célébrer 10 ans d’existence

Produite dans le cadre du concours L’Expérience photographique du patrimoine, cette exposition propose le point de vue des jeunes sur le patrimoine culturel et paysager. Il s’agit ici du volet québécois du concours L’Expérience photographique internationale des monuments, lancé en 1996, en Catalogne, en Espagne. Une cinquantaine de pays participent chaque année à cette activité qui a pour but de sensibiliser les jeunes au patrimoine de leur milieu à travers la démarche artistique qu’est la photographie.
«Elle vise à sensibiliser non seulement les jeunes, mais également les écoles, les familles et la population de Saint-Eustache et des villes environnantes, à notre histoire et à notre patrimoine», a expliqué le président de la Corporation du moulin Légaré, Michel Goyer, dont l’organisme a vu à l’organisation du volet local de ce concours.
«Il s’agit d’une autre excellente initiative de la Corporation du moulin Légaré pour sensibiliser les jeunes à la beauté et à la richesse du patrimoine naturel et bâti que nous avons la chance de posséder à Saint-Eustache. C’est par ce genre de gestes concrets que l’on s’assure d’une relève durable et efficace, engagée pour la sauvegarde du patrimoine», a, pour sa part, mentionné le maire Pierre Charron.
À l’issue de cette exposition, les organisateurs décerneront trois prix parmi les exposants. Les lauréats des premier et second prix seront déterminés par un jury, alors que le troisième prix sera choisi par les visiteurs de l’exposition, pour un Prix coup de cœur. D’ici le 9 février, les visiteurs sont conviés à voter pour leur photographie préférée, en remplissant un coupon sur place.
Il est aussi possible de voter sur le compte Flickr du Vieux-Saint-Eustache (sous l’album Jeunes regards sur notre patrimoine, à l’adresse [https://www.flickr.com/photos/122579241@N02/], en indiquant la mention J’aime en commentaire. Il faut cependant être membre de Flickr pour pouvoir ajouter des commentaires et voter.
Aussi, en collaboration avec Hydro-Québec, la Fondation québécoise du patrimoine et le ministère de la Culture et des Communications du Québec, l’exposition itinérante L’Expérience photographique du patrimoine, produite par Action patrimoine sera présentée au même endroit jusqu’au 9 mai. Cette exposition regroupe 14 photographies lauréates du concours depuis 2001.
Il est bon de mentionner que l’entrée à ces deux expositions est gratuite pour tous et qu’elles peuvent être vues du lundi au vendredi, de 10 h à 12 h et de 13 h 30 à 16 h 30, à la Maison de la culture et du patrimoine, située au 235, rue Saint-Eustache, dans le Vieux-Saint-Eustache. Aussi, exceptionnellement, les portes seront ouvertes au public les dimanches 27 avril et 4 mai prochains, de 13 h 30 à 16 h 30.

Un voyage latin avec Marie-Josée Lord à Saint-Placide, le 3 mai