Premier groupe québécois à se consacrer au genre pop-lyrique, la formation Trois est composée des ténors québécois Martin Moerman, Pascal Gauthier et Jean&#8211;Sébastien Lavoie, offrant un tour de chant qui à la fois charme et étonne. 
Inspiré par les plus beaux airs de la francophonie et les grandes voix de ce monde, Trois enchante grâce à de remarquables arrangements vocaux souvent surprenants, à des harmonies solidement exécutées. À la puissance de leurs voix, pour le moins exceptionnelles, vient s’ajouter la particularité d’un répertoire principalement francophone. 
Pour vous donner un aperçu des chansons interprétées par le trio, voici quelques titres que l’on retrouve sur leur premier album sorti au printemps 2010: L’Hymne à l’amour (Édith Piaf), Voir un ami pleurer (Jacques Brel), L’amour existe encore (Céline Dion), Quand les hommes vivront d’amour (Raymond Lévesque), Évangéline (Michel Conte) ou encore Hallelujah (Leonard Cohen). 
Comme c’est l’habitude, les gens sont invités à apporter leurs chaises, de la crème solaire et à assister tout à fait gratuitement à ce concert qui débutera dès 14 h 30. En cas d’intempéries, précisons que le spectacle aura lieu malgré tout, bien à l’abri, au Centre d’art La petite église, situé tout près, au 271, rue Saint-Eustache, toujours dans le Vieux-Saint-Eustache. Renseignements additionnels sur ce concert et les prochains prévus d’ici la fin du mois d’août au 450-974-5166 ou sur le site Web <a href="http://www.lapetiteeglise.com">www.lapetiteeglise.com</a>.

Le défi est tout de même important. L’artiste doit créer une œuvre inédite qui suit non seulement son cheminement personnel, mais qui doit répondre au défi du projet, soit de mettre en place une œuvre qui subit une transformation progressive sur une période de dix ans. 
C’est durant la semaine que Marc Dulude sera au travail entre 9 h et 16 h 30 et qu’il conjuguera ses énergies créatrices pour mettre sur pied une œuvre monumentale puisqu’elle inclura une trentaine de vélos usagés qui seront entremêlés de jeunes pousses d’arbres. Son projet reflète ses questionnements sur l’urbanité versus la nature, la démesure qui rencontrera plusieurs espèces. Une idée qui arrive à point au parc de Bois de Belle-Rivière qui a décidé de réintégrer les vélos à la nature après plusieurs années d’interdiction. 
Le concept de Sentier Art3 permet aux visiteurs de découvrir en toutes saisons des œuvres d’art contemporaines qui changent au fil du temps. Le projet est une initiative de l’artiste Suzanne FerlandL. Depuis 2007, douze œuvres ont été dispersées le long du sentier de la prucheraie provenant de différents artistes des États-Unis, de la Belgique, de la France, du Canada et de diverses régions du Québec. 
Pour cette cinquième édition, plusieurs partenaires importants ont été mis à contribution, dont le Musée d’art contemporain des Laurentides qui offrira au public, dans la petite salle du musée, un agrandissement photo des œuvres qui ont été installées dans le sentier artistique depuis ses débuts. L’exposition sera offerte jusqu’au 4 septembre et les photos ont été réalisées par Michel Dubreuil. 
Pour son implication dans ce projet culturel, le directeur du parc, Stéphane Michaud, a reçu en novembre 2010, le Prix Arts-Affaires du Conseil de la culture des Laurentides. Il a également contribué à l’instauration d’un circuit touristique d’art et de culture dont le Sentier Art3 fait partie en collaboration avec La Route des Gerbes d&#8217;Angelica, Intermiel et Autobus Galland. 
Plusieurs activités seront prévues au menu de l’édition 2011 du Sentier Art3 dont le vernissage des nouvelles œuvres, le vendredi 19 août à 17 h 30, le public est invité lors d&#8217;un souper champêtre au Relais du sentier du parc du Bois de Belle-Rivière. Une navette transportera les invités sur le site de l&#8217;événement au cœur de la prucheraie. Le dimanche 21 août à 14 h, l&#8217;animatrice du Musée d&#8217;Art contemporain des Laurentides, Christelle Renoux fera une visite commentée avec interprétation des œuvres du Sentier. Pour conclure la saison estivale, le Centre d’artistes Praxis art actuel présentera une conférence vidéo de l’artiste invité Marc Dulude, le mercredi 7 septembre à 19 h 30.

Marc Dulude sera l’artiste invité de l’édition 2011

La jeune actrice est de Boisbriand, mais elle a tout de même choisi d’étudier le théâtre à Saint-Hyacinthe, ce qui est loin d’un mauvais choix. C’était en 2009 et le germe était dans le texte qui lui tombait alors sous les yeux dans un cours. «À la lecture de L’Intrus, je me suis dit il faut que ce soit fait», se remémore-t-elle à propos du premier moment du projet. 
Depuis, une petite troupe réunie autour de L’Intrus s’est faite jeune entreprise sous le nom de Acte 1. 
C’est donc avec cette détermination artistique que, sitôt sortie du collège, Cinthya était d’ores et déjà engagée dans la production de cette pièce mise en scène par Philippe Boutin.
Il s’agit d’une comédie de situation en fait qui met en scène un papa professeur de littérature, une maman diaphane qui se nomme Juliette et leur fille unique dans une petite famille très traditionnelle, du genre ultra conservatrice, laquelle sera fortement perturbée par l’arrivée du nouveau copain de Florence: un punk. 
Il faut savoir que l’auteur Yves Amyot collabore à la série Tranches de vie, diffusée à TVA, ce qui vous donne un aperçu du talent de l’auteur en termes de comédie et de l’aspect très actuel de ses mises en situation. 
Mais le rythme est l’essence même du spectacle humoristique, ce qui n’empêche pas d’étoffer le scénario. «La dynamique des échanges est très intéressante et les situations confrontent le seuil de tolérance des personnages», de résumer Cinthya, qui tient le rôle de Florence, flanquée de Julie St-Pierre pour camper la mère et d’un comédien d’expérience en la personne de Roch Aubert, pour assumer l’autorité du père intello. Maxime Beauregard deviendra punk pour les besoins de la comédie. 
La télévision nous a révélé le talent de Amyot pour exploiter les situations étranges du quotidien et il amènera ses personnages à se côtoyer du souper au lever du matin, sur deux jours, avec tout ce que cela comporte de difficile intimité. 
«C’est une comédie de bout en bout, mais l’évolution des personnages confronte la famille à ses valeurs», de résumer la Boisbriannaise dont la petite compagnie a promu six représentations de cette toute première production. 
À propos de l’endroit, vous aurez deviné que la Grangerit est une vraie grange recyclée et climatisée, vous aurez donc droit au confort nécessaire. Le prix d’entrée n’est que de 20 $ et c’est au 5475, boulevard Saint-Martin Ouest, à l’angle des autoroutes 440 et 13 à Laval. 
La pièce est jouée le samedi 6 août à 20 h et le lendemain à 15 h. Pour davantage de renseignements et réservations, on rejoint Acte 1 au 514-666-4949. 
La Grangerit est donc une salle tout estivale, intime et chaleureuse, avec un public de proximité. C’est pourquoi la jeune productrice et son équipe vous invitent en toute convivialité pour échanger en fin de chaque représentation de la pièce qui fait 1 h 45, avec entracte.

Trois ténors sur la promenade