Mike Gauthier est le chef d’orchestre de ce spectacle, qui réunit les bons vieux hits et les succès plus récents des grands musiciens du Royaume-Uni. «C’est un hommage à la musique britannique. Nous avons regardé le répertoire musical du Royaume-Uni, des années 1960 à aujourd’hui, et nous avons sélectionné des groupes et des chansons. C’est très large. Nous allons des Beatles à Sam Smith, donc la majorité des styles populaires sont dans ce répertoire» , de mentionner M. Gauthier, tout en précisant qu’il s’agit d’une première expérience du genre pour lui. En effet, il est difficile, selon lui, de sélectionner quelques chansons dans une mer musicale aussi riche.
«C’est un travail laborieux. On m’a dit de résumer 50 années de musique en 90 minutes de spectacle. Les Britanniques ont fait de la grande musique en quantité. Il n’y a pas de chanteurs ordinaires au Royaume-Uni, mais seulement de grands interprètes. Ce n’est pas évident de mettre une croix sur certaines chansons.»
M. Gauthier se charge de tout, promettant au public un spectacle riche et mémorable. «C’est une première pour moi. Je suis impliqué à tous les niveaux du spectacle. Je dois approuver les écrans, l’éclairage. Je fais le choix des musiciens et des interprètes. C’est beaucoup de travail, mais l’expérience est enrichissante.»
<h3>De 1960 à maintenant</h3>
La soirée résume donc les grandes vagues de la musique britannique. On commence en étant plongé en 1964, où commençait la folie engendrée par les Beatles. On se dirige ensuite vers l’ère Pink Floyd, les Rolling Stones et Queen, pour finir avec les succès récents et connus de tous, en Sam Smith.
Chaque interprète du spectacle a son propre répertoire désigné, dans cette grande variété de styles. Yvan Pedneault, connu pour avoir participé à La Voix dans le camp de Marc Dupré, s’occupe de chanter les grands succès du groupe Queen. Renée Wilkin, de son côté, est toute désignée pour interpréter des classiques du genre soul. Marc-André Fortin, aperçu par le public dans Star Académie, compte sur un répertoire plus varié, allant de Sam Smith à Radiohead. «C’est tout un interprète. Il se met dans la peau de n’importe quel chanteur, en y mettant sa touche personnelle» , de vanter Mike Gauthier. Notons également la présence de Pascal Dufour, un ancien des Respectables, qui s’occupera du répertoire plus aristocratique du Royaume-Uni, avec, entre autres, les Stones et Pink Floyd.
Enfin, pour plus d’informations concernant le Britishow ou pour acheter des billets, il suffit de visiter le site officiel d’Odyscène, au [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://" target="_blank" rel="noopener">http://www.odyscene.com</a>].
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C’est une histoire de famille, dans tous les sens du terme, qui aura mené à la publication d’un premier livre pour une jeune Rosemèroise de 9 ans, Sandrine Paquin-Laberge, qui lançait tout récemment un fort bel ouvrage intitulé L’inséparable, un bouquin d’une quarantaine de pages publié aux éditions Vivat.
C’est là que tout a commencé, il y a deux ans, quand Sandrine, accompagnée de ses parents, a rendu visite à sa grand-tante, Claire Bouchard, copropriétaire de cette maison d’édition saguenéenne. Celle-ci, devant l’intérêt manifesté par la fillette à l’égard des livres et des histoires qu’ils contiennent, lui a demandé si elle aimerait en raconter une à son tour.
<h3>Ne jamais abandonner</h3>
C’est ainsi qu’est né ce projet d’écrire un «vrai» livre à partir d’une histoire tout aussi réelle, celle d’un oiseau perdu que la jeune auteure avait recueilli chez elle, à l’âge de 4 ans, et des efforts qu’elle avait alors déployés pour retrouver sa propriétaire.
Le thème de la persévérance est au cœur de ce bouquin, à la fois dans l’histoire qui y est racontée, mais aussi dans la poursuite d’un projet que la jeune auteure considère désormais comme sa plus grande réalisation, tel qu’elle en a témoigné lors du lancement qui avait lieu à la bibliothèque de Rosemère, le 2 avril dernier.
<h3>Travail d’équipe</h3>
«J’ai appris plein de choses avec ce projet. Par exemple: ce qu’est un éditeur, un numéro ISBN, une dédicace et un lancement de livre, mais aussi que publier un livre, c’est un très gros travail fait par plusieurs personnes» , a-t-elle exprimé en faisant allusion à son éditrice, Claire Bouchard, à sa mère, Lysiane Laberge, qui a donné un coup de pouce sur le plan de l’écriture, de même qu’à sa cousine, Andrée-Anne Omoruyi, qui a produit les superbes illustrations qui constituent la signature visuelle de ce livre.
Il y en aura peut-être d’autres puisque Sandrine a retiré de cette expérience la certitude qu’elle voudrait devenir auteure. «J’ai des idées pour d’autres livres. Ce seront des histoires d’animaux» , annonce-t-elle.
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Courtoisie Autodrome de Saint-EustacheSteve Côté est au sommet du classement de la série NASCAR Sportsman Lucas Oil. Une ronde de compétitions était présentée à l’Autodrome Saint-Eustache, le 8 juillet.

Le beau projet de Sandrine Paquin-Laberge

Les frères Orville et Wilbur Wright, Louis Blériot, Charles Lindbergh, Jean Mermoz, voilà certes quelques noms qui ont marqué l’histoire de l’aviation moderne. Ceux-ci, et bien d’autres, sont réunis à l’occasion de l’exposition Collection Michel Mandron présentée à l’église l’Annonciation d’Oka jusqu’au 4 septembre prochain.
En fait, ce sont plutôt les maquettes d’avions dans lesquels ceux-ci ont pris bord et se sont illustrés qui sont actuellement exposées. Il s’agit d’une collection de maquettes d’avions entièrement fabriquées à la main. Toutes sont l’œuvre de Michel Mandron (1920-2015), qui fut directeur administratif de l’Institut de recherches cliniques de Montréal et qui se passionnait pour l’aviation depuis ses débuts jusqu’aux années 1930.
<h3>Plus de 160 avions à l’échelle 1/36e</h3>
«Michel Mandron, aujourd’hui décédé, a consacré ses loisirs à la fabrication de ces avions et c’est grâce à son fils Daniel que nous pouvons présenter dans la région cette exposition extraordinaire qui est en même temps une leçon d’histoire. Et elle met en valeur un talent exceptionnel, original et d’une grande finesse. C’est, à mon avis, une exposition digne d’être présentée dans un musée» , d’expliquer Gilles Landreville, président de la Fondation de l’église l’Annonciation d’Oka qui présente cette exposition en collaboration avec la Société arts et culture d’Oka, ainsi que le fiduciaire Daniel Mandron.
Ce sont donc plus de 160 avions fabriqués à l’échelle 1/36e, qui sont exposés et documentés, que les visiteurs pourront voir lors de leur passage dans la petite chapelle Kateri, attenante à l’église l’Annonciation d’Oka. À cela s’ajoutent des objets curieux inventés pour que l’homme puisse voler.
<h3>Deux autres expositions</h3>
Aussi, lors de leur arrêt, les visiteurs pourront découvrir deux autres expositions dans l’espace galerie de l’église okoise. Celles-ci mettent, cette fois, en valeur les œuvres de deux peintres qui ont collaboré au cours des dernières années aux expositions de crèches de la Fondation de l’église l’Annonciation d’Oka, nommément Léon Brassard et Renée Lefebvre. Cet été, plutôt que leurs tableaux sur la Nativité, ils dévoilent une autre facette de leurs talents que les amateurs d’art sauront apprécier.
Précisons, enfin, que l’exposition Collection Michel Mandron ainsi que celles de Léon Brassard et Renée Lefebvre peuvent être vues jusqu’au 4 septembre prochain, du mercredi au dimanche, de 11 h à 16 h. L’église l’Annonciation d’Oka est quant à elle située au 181, rue des Anges, à Oka.
Pour en savoir davantage, on peut suivre en tout temps la page [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://" target="_blank" rel="noopener">www.facebook.com/fondationeglisedoka</a>].

Plonger dans la richesse musicale British

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