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Francine Allard: Sur la planche…

Francine Allard: Sur la planche…

Publié le 04/02/2021

Francine Allard, disions-nous, est dotée d’un imaginaire apparemment sans limites. En vrac, voici donc ce que son lectorat pourrait retrouver incessamment sur sa table de chevet, à commencer par les quatre bouquins qu’elle vient de soumettre à différentes maisons d’édition :

-un recueil de poésie intitulé La lionne ne rugit jamais pour rien, lequel se veut une lettre à son fils;

-un livre pour enfants intitulé Depuis que mes parents ont disparu, un conte métaphorique qui s’adresse aux lecteurs de 12 ans et plus;

-un roman policier intitulé La mascotte, dans lequel un homme, qui a subi les contrecoups de sa laideur durant toute sa jeunesse, entreprend de se venger de ceux qui l’ont fait souffrir en commettant des meurtres en séries; il revêt chaque fois ce costume de mascotte grâce auquel il reçoit désormais l’amour des enfants;

– le premier tome de Lalou, intitulé Princesse malgré moi est également proposé à différents éditeurs; il s’agit d’un roman qui s’adresse aux 10-12 ans et qui raconte l’histoire d’une petite fille qui s’en va vivre quelque temps chez sa grand-mère, le temps que sa mère s’installe à New-York pour son nouveau travail; la particularité de l’exercice réside dans le fait que les lecteurs se font raconter alternativement les mêmes évènements, tantôt par Lalou, tantôt par sa grand-mère.

À venir

Un deuxième tome, est déjà en préparation et nous mènera cette fois dans la Grande Pomme, où Lalou aura maille à partir avec le nouvel amoureux de sa mère, qu’elle surnomme le Roi du cornichon à l’aneth.

Comme si ça ne suffisait pas Francine Allard planche sur un autre roman dont le titre de travail est Ma mère, qui raconte l’histoire d’une petite fille que sa mère n’aime pas.

Un autre titre apparaît dans le décor, Le livre qui ne voulait pas fermer ses pages, un roman destiné à un lectorat de 12 ans, qui raconte l’histoire d’un petit garçon qui part vivre avec sa grand-mère, en France, en 1945. Il s’y fait un ami, Guigal (les noms de tous les personnages évoquent le monde viticole), avec qui il découvrira, échoués sur la plage, des objets qui auraient pu appartenir au fameux Nautilus du roman de Jules Verne (Vingt mille lieues sous les mers).

Elle garde également comme un trésor la toute dernière chanson enregistrée par le grand Claude Léveillé, qui était de ses amis et qui avait mis en musique, tout juste avant sa mort, en 2011, les mots qu’elle lui avait proposés. La chanson portait sur l’imaginaire de l’enfance et devait accompagner un événement consacré à la littérature jeunesse, lequel n’est jamais sorti des cartons du ministère de l’Éducation.