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Mena Massoud et Will Smith font belle figure dans leur rôle d’Aladdin et du Génie.

Aladdin et Godzilla – Roi des monstres: Entre histoire d’amour et combats titanesques

Publié le 05/06/2019

Lisez la critique de Sébastien Trottier sur un film qui vient de prendre l’affiche dans les salles de cinéma. Cette semaine: Aladdin et Godzilla: Roi des monstres.

Aujourd’hui, je fais une dérogation, car je ne vous parle pas d’un, mais de deux titres que j’ai vus sur grand écran tout dernièrement.

Je débute avec Aladdin (mon dessin animé préféré de Disney), adapté par Guy Ritchie en prise de vue réelle. L’aventure demeure la même, alors qu’Aladdin, un va-nu-pieds, est amoureux de Jasmine, la princesse du royaume d’Agrabah. Après avoir obtenu une lampe contenant un génie lui exauçant trois souhaits, il séduira sa dulcinée en devenant un prince.

La production prend des libertés intéressantes (nouvelle introduction, apparition de personnages inédits et scènes différentes), à l’exception de l’ajout d’une chanson inutile alourdissant l’histoire.

Les effets spéciaux, très bien réalisés et convaincants, ainsi que les pièces musicales de l’œuvre originale résonnant à nos oreilles, nous transportent au sein de ce monde merveilleux et magique.

Le talent de Will Smith, Mena Massoud et Naomi Scott est remarquable dans les rôles du Génie, d’Aladdin et Jasmine. Par contre, Marwan Kenzari sous les traits du méchant vizir Jafar n’est pas charismatique.

Ma note: 8/10

Godzilla: Roi des monstres

Succédant au long métrage de 2014, Godzilla: Roi des monstres permet d’en avoir pour son argent en combats titanesques. Si plus d’une quinzaine de ces créatures sèment la terreur autour du globe, le récit s’attarde seulement à quelques-unes. La scientifique, sachant maîtriser les mastodontes, et sa fille seront prises en otage par un commando tentant de réveiller ces êtres immenses, de manière à rétablir l’équilibre de la nature.

Les affrontements sont grandioses, face aux humains semblant si minuscules, malgré que certains segments manquent de détails en raison des intempéries ou à la noirceur.

Rythmé, le scénario n’est malheureusement pas à la hauteur. Plusieurs individus présentent peu d’intérêt, effectuant des choix incompréhensibles et à de nombreuses occasions, les actions des animaux n’ont pas ou peu d’impact sur ce qui les entoure (un bateau qui ne bouge pas ou les protagonistes trop chanceux qui ne se blessent pas). Cet univers appelé «Monsterverse» incorpore également «Kong: Skull Island» , produit en 2017. La suite est prévue en mars 2020 et s’intitulera Godzilla vs Kong. En passant, restez jusqu’à la fin du générique, puisqu’une séquence supplémentaire est proposée.

Ma note : 7/10

La semaine prochaine, il sera question du film Phénix noir.

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