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<strong>Sylvie D’Amours se préoccupe des familles</strong>

Le chef de la CAQ, François Legault, pose en compagnie de la candidate dans Mirabel, Sylvie D’Amours.

Sylvie D’Amours se préoccupe des familles

Publié le 24/08/2012

Étant elle-même mère et grand-mère, la candidate pour la Coalition avenir Québec (CAQ) dans Mirabel, Sylvie D'Amours, se préoccupe des besoins des jeunes et de leur famille et comprend les multiples défis auxquels sont confrontés ses électeurs.

«En matière d’éducation, l’argent devrait suivre l’élève et non nourrir la bureaucratie. L’éducation doit devenir une priorité absolue. On doit s’attaquer au décrochage scolaire en proposant des solutions concrètes. La CAQ veut ainsi proposer de nombreuses mesures pour faire de cette priorité une réussite», affirme la candidate.

Après avoir rencontré différents intervenants dans plusieurs maisons de jeunes, dans de nombreux organismes communautaires et dans le monde scolaire, il s’avère essentiel pour Sylvie D’Amours qu’un gouvernement doit supporter davantage les élèves en difficulté ainsi que leur famille. «Une école plus autonome pourrait ainsi choisir de diversifier ses activités parascolaires afin de fidéliser sa clientèle. L’école devrait être un milieu de vie auquel l’élève peut s’identifier.»

De plus, rappelle Sylvie D’Amours, qu’en soutien à la famille, la Coalition propose comme mesure de prolonger la fréquentation scolaire d’une heure à chaque journée. «Ceci permettra, renchérit-elle, aux jeunes de vivre une plus grande partie de leurs activités parascolaires avant de quitter l’école, de façon à permettre aux familles de se retrouver le soir sans course effrénée et dispersion de chacun.»

Cette mesure s’ajoute à d’autres engagements annoncés par la Coalition au cours des derniers jours en faveur des familles, et qui constituent à la fois l’expression de la solidarité entre les générations:réduction d’impôt de 1 000 $ par famille de la classe moyenne, cinq jours de congé payés pour les parents qui n’en ont pas et qui doivent s’absenter de leur travail pour s’occuper de leur jeune enfant malade,amélioration des soins à domicile et en institution pour les aînés, et l’école de 9 à 5.