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Simon Marcil veut défendre le consensus québécois de la loi sur la laïcité

Le candidat du Bloc québécois dans Mirabel, Simon Marcil.

Simon Marcil veut défendre le consensus québécois de la loi sur la laïcité

Publié le 26/09/2019

Le candidat du Bloc québécois pour la circonscription de Mirabel, Simon Marcil, souhaite obtenir à nouveau la confiance des citoyens de la circonscription de Mirabel afin de défendre le consensus québécois entourant la loi 21 sur la laïcité.

Dès le départ, Simon Marcil rappelle qu’un sondage Léger Marketing paru le 16 septembre dernier mentionnait que 64 % des Québécois appuient la loi sur la laïcité du Québec. Alors que tous les partis fédéraux, sauf un, ont claqué la porte à la demande du premier ministre Legault de défendre la loi 21, Simon Marcil a voulu mettre les choses au clair.

«Plus de dix jours ont passé dans cette campagne électorale et l’ensemble des partis canadiens ont déjà refusé d’appuyer la loi 21 sur la laïcité du Québec à l’exception du Bloc québécois, qui est le seul parti à défendre ce consensus. Les citoyens doivent en être informés», a indiqué Simon Marcil.

Pour le représentant du Bloc québécois dans Mirabel, il n’y a aucun doute que les partis canadiens voudront faire tomber la loi 21 devant les tribunaux à même les impôts et les taxes que payent les Québécois.

«Trudeau a été clair, il voudra faire tomber la loi sur la laïcité adoptée par le gouvernement du Québec. Il ne s’en cache pas. Cette loi établit l’égalité entre les femmes et les hommes et assure une neutralité religieuse de l’État. Au Bloc québécois, nous défendrons ce consensus», a avancé le candidat de Mirabel.

Défendre la nation québécoise et ses pouvoirs

Simon Marcil a voulu rappeler également l’importance de défendre les consensus de l’Assemblée nationale en matière de langue française et d’immigration. Celui qui a déposé un projet de loi afin d’assujettir les entreprises fédérales à la loi 101 en territoire québécois réitère l’importance pour le Québec d’aller chercher plus de pouvoir pour assurer son autonomie. «D’ici à notre liberté politique, l’indépendance du Québec, nous devons aller chercher de nouveaux pouvoirs en matière d’immigration et pour la langue française afin d’assurer notre pleine et entière autonomie», a conclu Simon Marcil.