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Semaine de l’école publique: Sous le thème Savoir, c’est pouvoir!

L’humoriste et comédien Philippe Laprise est le nouveau porte-parole de la Semaine de l’école publique.

Semaine de l’école publique: Sous le thème Savoir, c’est pouvoir!

Publié le 02/10/2017

Initiée par la Fédération autonome de l’enseignement (FAE), la Semaine pour l’école publique (SPEP) a lieu du 1er au 7 octobre sous le thème de l’alphabétisation: Savoir, c’est pouvoir!. La Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles (CSSMI) salue cette initiative faisant rayonner à l’échelle de la province la qualité de l’école publique.

Il s’agit d’une semaine où toutes les voix s’unissent, où elles se mettent ensemble derrière l’école publique pour montrer ce qu’elle est et la faire connaître. L’humoriste et comédien Philippe Laprise est le nouveau porte-parole de la SPEP.

«Si j’ai réussi, mentionne Philippe Laprise, c’est aussi grâce aux enseignantes et enseignants qui m’ont soutenu. De plus, ma conjointe, ma soeur et plusieurs de mes ami(e)s enseignent. Mes enfants fréquentent l’école publique, tout comme moi je l’ai fréquentée. L’école publique, j’y crois et j’ai envie que tout le monde en soit fier comme moi.»

De son côté, Paule Fortier, présidente de la CSSMI, a déclaré: «L’école publique, c’est l’accès universel à l’éducation. C’est la possibilité pour tous de s’instruire afin de préparer son avenir. Il est de notre devoir à la CSSMI de promouvoir et de valoriser l’école publique sur notre territoire.»

Jean-François Lachance, directeur général de la CSSMI, a ajouté: «Lorsque j’étais élève, j’ai eu l’opportunité de fréquenter l’école publique. J’y ai appris, j’y ai grandi et c’est entre ces murs que j’ai pu développer mon plein potentiel entouré de gens formidables qui avaient à coeur mon éducation. Je suis maintenant témoin au quotidien de la réussite et de la persévérance des élèves pour lesquels nous sommes tous mobilisés. Notre école publique ne cesse d’évoluer et nous pouvons en être fiers. »

Un adulte sur cinq au Québec éprouverait de graves difficultés en littératie. L’analphabétisme coûte plus de 7 milliards de dollars chaque année à l’économie québécoise.