C’est ce qui ressort de la procédure d’enregistrement tenue à la suite de l’adoption unanime, le 23 mars dernier, du règlement numéro 685 qui autorise un emprunt de 14 162 000 $ pour la construction du nouveau bâtiment qui sera intégré à même le parc Félix-Leclerc, côté ouest, en fond de lot.
Au total, rappelons-le, une dépense de 16 162 000 $ est prévue pour financer l’ensemble de ce projet. La Ville de Sainte-Marthe-sur-le-Lac bénéficiera d’une subvention totalisant 6 M$ de la part d’Ottawa et de Québec, pour ce projet, et y affectera elle-même un montant de 2 M$.
La balance des 16 162 000 M$ requis, soit 8 162 000 M$, sera financée par les contribuables sur une période de 20 ans. L’impact sur le compte de taxes devraient, indiquait la mairesse Sonia Paulus, lors de cette séance du 23 mars dernier, se chiffrer à 61 $ par année pour les payeurs de taxes marthelacquois.
<h3>Joie et déception…</h3>
«Je me réjouis de l’appui de nos citoyennes et de nos citoyens pour ce projet d’envergure et porteur d’avenir. C’est un projet qui me tient à cœur, car l’activité physique est tout aussi cruciale pour la santé physique que pour la santé mentale de notre population. Je les remercie à nouveau de leur appui sans équivoque», a tenu à dire la mairesse Paulus dans un communiqué de presse publié lundi matin, afin de dévoiler les résultats de cette procédure d’enregistrement.
Dans un message publié le 1er avril sur sa page Facebook, le conseiller municipal et candidat à la mairie François Robillard, qui ne s’est pas objecté à ce règlement d’emprunt lors de son adoption, avait fait savoir que lui et sa formation politique Voix citoyenne n’entendaient pas s’opposer au projet.
«Nous comprenons bien les inquiétudes de plusieurs d’entre vous. Toutefois, la venue d’une telle infrastructure est réclamée depuis très longtemps par les citoyens et s’y opposer risque de compromettre entièrement sa réalisation dans un futur proche. En ajoutant beaucoup plus de transparence et d’ouverture, il est toujours possible de faire de ce complexe aquatique un véritable projet rassembleur et inclusif», d’écrire M. Robillard pour expliquer les raisons pour lesquelles il penche en faveur de ce projet, même si, reconnaît-il «tous les ingrédients sont là pour s’y opposer».
Également, sur Facebook, plusieurs citoyens, en prenant connaissance des résultats de cette procédure d’enregistrement, ont décrié une nouvelle fois ce projet de centre aquatique, faisant valoir que la Ville devrait plutôt concentrer ses efforts à régler le problème d’eau brune qui perdure depuis quelques années.
D’autres citoyens auraient souhaité que le projet soit mis sur la glace, «le temps d&#8217;y voir clair».
Mais, aussi en contrepartie, plusieurs autres citoyens ont écrit des messages sur Facebook en faveur du Centre aquatique du Lac dont les travaux devraient débuter en juin prochain, pour être complétés 18 mois plus tard, en décembre 2022.

Le Dr Goyer lançait ce cri du cœur jeudi dernier au moment de la conférence téléphonique avec les journalistes des Laurentides.
Car, comme le soulignait le premier ministre François Legault, le même jour, la région des Laurentides est sous surveillance.
<h3>On s’interroge</h3>
La chose étant que la situation est précaire actuellement dans au moins quatre régions du Québec, mais (curieusement) moins dans la région métropolitaine de Montréal (y incluant Montréal, Laval et le sud des Laurentides). À la direction du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec (MSSS), on s’interroge devant le constat et on redoute une hausse de cas soudaine dans le secteur visé.
D’ailleurs, le directeur Goyer n’hésite pas à parler de «situation fragile» dans les Laurentides.
C’est à dire à quel point (sans mauvais de jeu de mot) on retient notre souffle.
Il faut dire que dans les jours qui ont précédé la conférence de presse de jeudi, on enregistrait une hausse quotidienne de 80 cas par jour dans les Laurentides.
De ces nouveaux cas, comme le relate Éric Goyer, environ 30 % proviennent de variants ou de variants «présomptifs».
La plupart sont identifiés au variant du Royaume-Uni, alors que quatre sont de nature sud-africaine et un du Brésil.
<h3>Dépistage  </h3>
Dans le contexte, les dirigeants du CISSS des Laurentides insistent une fois de plus pour que les personnes qui présentent des symptômes aillent se faire dépister (on peut se rendre au [<a href="http://www.santelaurentides.gouv.qc.ca">www.santelaurentides.gouv.qc.ca</a>] pour obtenir les différentes informations relatives à cet aspect).
D’ailleurs, en raison d’une demande exceptionnelle dans les cliniques de dépistage qui augmente de «façon considérable le temps d&#8217;attente», le CISSS fait appel à la population pour que toute personne qui souhaite se faire dépister pour la COVID-19 remplisse la première étape de création d’un compte en ligne avant de se déplacer.
Il est aussi possible d’accéder directement à l’étape de création du compte au<a href="http://depistageLaurentides.ca"> depistageLaurentides.ca </a>
«La création d’un compte peut se faire facilement de la maison, ce qui réduit le temps d’enregistrement à la clinique de dépistage. Le balayage numérique de la carte d’assurance maladie sur les lieux du centre de dépistage permettra ensuite de récupérer les informations préenregistrées. Les personnes qui n’ont pas accès à Internet et qui ne peuvent se créer un dossier en ligne avant de se rendre en clinique pourront tout de même se faire dépister, en prévoyant plus de temps sur place. Enfin, il est préférable de vérifier les délais d’attente avant de se déplacer, ainsi que les heures d&#8217;ouverture qui ont été exceptionnellement prolongées», expliquent les autorités du CISSS des Laurentides.
<h3>Vaccination</h3>
Par ailleurs, la vaccination roule rondement dans les Laurentides actuellement.
Même qu’avec 102 782 doses administrées en date de jeudi dernier (8 avril), la région des Laurentides se classait quatrième au Québec pour le nombre de vaccins donnés.
Selon les données divulguées, on comptait environ 84,1 % des 80 ans et plus vaccinés, 77 % des 75 à 79 ans, 72 % des 70 à 74 ans et 41,6 % des 65 à 69 ans (mais on doit tenir compte que la vaccination des 65 ans et plus n’est débutée que depuis quelques jours).
«[Actuellement], on répond très bien à la demande», souligne Caroline Chantal, directrice responsable du dossier de la vaccination contre la COVID-19 au CISSS des Laurentides.

La COVID-19 dans les Laurentides: une «situation fragile» selon le Dr Éric Goyer

La présidente et chef de la direction de la SAQ, Catherine Dagenais, tient à remercier tous les clients qui ont contribué à la cause. «Comme toujours, nos clients ont posé un geste de solidarité. Par leur contribution, ils offrent une aide inestimable aux personnes dans le besoin qui ont recours aux banques alimentaires. Je tiens également à souligner l’apport exceptionnel de toutes nos équipes en succursale sans qui nos campagnes pour BAQ seraient impossibles. Ensemble, nous faisons une différence et nous contribuons à mettre fin à la faim», dit-elle.
La directrice générale de Moisson Laurentides, Annie Bélanger, salue plus spécifiquement la participation du personnel des SAQ de la région des Laurentides et de la MRC Les Moulins, dans Lanaudière.
Rappelons que pour chaque dollar reçu, Moisson Laurentides redonne l’équivalent de 20 $ en denrées. La banque alimentaire soutient pas moins de 106 organismes et contribue à nourrir 20 763 personnes chaque mois, dont le tiers sont des enfants.
Un précieux partenaire financier 
Depuis 12 ans, la SAQ a remis plus de 12 millions de dollars au réseau des BAQ, dont plus de 3,3 millions de dollars en 2020. Ces fonds permettent de répondre aux besoins exprimés partout au Québec, mais aussi de bâtir des projets ou encore d’acquérir de l’équipement qui sert à mieux soutenir les gens les plus vulnérables.

Sainte-Marthe-sur-le-Lac: le projet du centre aquatique rencontre peu d’opposition

Joie et déception…