Située au coin de la montée du village et du chemin principal – en plein cœur du noyau villageois – la station contient un support à vélo universel, un jeu de huit outils permettant de procéder facilement à des ajustements ou à des réparations mineures en cours de randonnée. Ces outils sont reliés à la station par des câbles rétractables conçus pour résister aux intempéries.
«Le conseil municipal et moi sommes conscients que les adeptes de vélo apprécient particulièrement les circuits routiers situés dans le nord de la municipalité. L’emplacement stratégique de la station de réparation à la fontaine publique permettra aux randonneurs de faire le plein d’eau en plus de pourvoir à de petits bris sur leur vélo. J’invite par le fait même tous les cyclistes joséphois et venant de l’extérieur à venir pédaler chez nous cet été», affirme le maire de Saint-Joseph-du-Lac, Benoit Proulx.
Cohabitation entre cyclistes et automobilistes
Dans l’optique de créer un plan de cohabitation entre cyclistes et automobilistes, le maire a également constitué un comité ad hoc sous la gouverne du Comité en circulation et en transport. La mission de ce comité, crée à la suite de nombreux commentaires provenant tant des cyclistes que des automobilistes, sera de réaliser diverses actions visant à favoriser le partage des routes. L’organisme Vélo Québec accompagne la Municipalité tout au long de la démarche.
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Organisé au bénéfice du Centre du cancer Segal de l’Hôpital général juif de Montréal, l’événement réunira des milliers de survivants du cancer ainsi que des partisans de la cause. Marie-Claude Boucher sera du nombre, elle qui se sent particulièrement touchée par cette maladie, première cause de décès au Québec.
«Le Cyclo-défi m’a vraiment interpelé. Aujourd’hui, tout le monde est touché par cette maladie. J’ai de la famille, des amis qui ont eu le cancer. Beaucoup s’en sont heureusement sortis, mais quelques-uns en sont décédés. C’est en pensant à eux que je vais rouler.» 
En 2017, quelque 21 800 personnes ont en effet été emportées par un cancer au Québec tandis que 53 200 nouveaux cas seront diagnostiqués. Les sommes amassées continueront à soutenir la recherche de pointe liée au cancer et la découverte de nouveaux traitements contre cette maladie à l’Hôpital général juif.
<h3>Passionnée depuis peu</h3>
La passion du vélo est arrivée tard dans la vie de Marie-Claude Boucher. Jusqu’à il y a trois ans de cela, elle était loin de se douter que quelques années plus tard, elle parcourrait de longues distances sur deux roues. Toutefois, une connaissance du monde des affaires, dans lequel elle œuvre à titre de propriétaire de l’agence de voyage Exotentik, à Blainville, allait changer la donne en lui proposant, en 2016, de joindre l’équipe qu’il était à mettre sur pied pour participer au 1000 km du Grand défi Pierre Lavoie.
Cet adepte du vélo voulait s’entourer de plusieurs cyclistes pour faire la boucle de 130 km et ainsi contribuer à sa collecte de fonds au profit de la Fondation Simon Le Zèbre.
«Je lui ai d’abord répondu que je n’aimais pas le vélo» , affirme celle qui a d’ailleurs possédé plusieurs vélos au cours de sa vie, vélos qu’elle a revendus rapidement, car, dit-elle, «ils traînaient dans le garage» . 
«Mais j’ai finalement accepté. Je me suis donc acheté un vélo de route et me suis entraînée avec le groupe. J’ai fait ma première boucle de 130 km. Ce fut pour moi une révélation! J’ai adoré cela!» affirme Marie-Claude qui, depuis, n’a jamais cessé l’entraînement.
«Tout l’hiver, j’ai fait du Power watt (type de vélo stationnaire) en gymnase. Depuis le retour du beau temps, je roule un minimum de 300 km par semaine. Je trouve que c’est un bon exercice qui me permet de me dépasser» , indique Marie-Claude avant d’ajouter avoir aussi participé, ces deux dernières années, à des voyages de cyclotourisme en France, sur la Côte d’Azur.
<h3>Objectif: 2500 $</h3>
Bien qu’elle n’ait jamais roulé 200 km en deux jours, Marie-Claude se sent prête à réaliser le Cyclo-défi Enbridge. Sa seule appréhension est le fait que, comme tous les autres cyclistes qui l’accompagneront sur la route, elle devra dormir dans une tente, la nuit du 7 au 8 juillet, mais elle aura amplement le temps de soigner ses courbatures une fois l’événement terminé.
Son objectif est d’amasser 2500 $. Pour faire un don, il suffit de visiter le [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://conquercancer.ca" target="_blank" rel="noopener">http://conquercancer.ca</a>], de cliquer sur l’icône «Faire un don» et d’entrer son nom dans les champs à cet effet.
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Marie-Claude roulera de Montréal à Québec 

La forme triangulaire du prêt-à-camper traditionnel cède la place à un modèle plus cubique, soutenu par une structure de bois et rendu étanche par une toile. Plus de hauteur, plus de capacité d’accueil et de rangement, mais occupant une même superficie au sol. Six personnes pourront utiliser les trois lits doubles, de quoi réjouir les familles nombreuses. Le Parc national d’Oka offre maintenant 20 unités de ce modèle qu’il est aussi possible de retrouver dans quelques parcs nationaux et quelques réserves fauniques. «Nos utilisateurs ont été consultés et entendus. Le meilleur de ce qu’offre le prêt-à-camper a été analysé par nos architectes qui se sont attelés à la tâche de réinventer le genre. Ce nouveau modèle propose un hybride ingénieux et tout confort entre la tente et le chalet. Une nouvelle ère dans le prêt-à-camper qui confirme la place de la Sépaq à titre de leader du séjour en plein air», a déclaré le président-directeur général de la Sépaq, John Mackay.

Saint-Joseph-du-Lac: installation d’une station de réparation de vélo