Les taxes municipales peuvent être acquittées soit auprès des institutions financières qui offrent ce service (à leur comptoir, par guichet automatique, par téléphone, ou par Internet), soit par la poste à l’adresse: Taxation (Mairie), 145, rue Saint-Louis, Saint-Eustache (Québec)  J7R 1X9.
Le paiement peut également être fait en personne au comptoir du SEM (même adresse que par la poste), ouvert les lundis, mardis et jeudis de 8 h 30 à 16 h 30, les mercredis de
8 h 30 à 20 h 30, les vendredis de 8 h à 16 h 30. Les modes de paiement acceptés au comptoir du SEM sont: argent comptant, Interac ou chèque libellé à l’ordre de la Ville de Saint-Eustache. Les cartes de crédit ne sont pas acceptées.
Veuillez noter que c’est seulement les mercredis que le comptoir du SEM est ouvert en soirée jusqu’à 20 h 30 et que la journée d’échéance du premier versement du compte de taxes, soit le jeudi 14 février 2019, le comptoir du SEM fermera à l’heure habituelle soit à 16 h 30.
Pour plus de renseignements, communiquez avec le SEM au 450 974-5000 ou consultez le site Web : <a href="http://www.saint-eustache.ca">www.saint-eustache.ca</a>. Les prochains versements du compte de taxes seront dus les 8 mai, 7 août et 9 octobre 2019.
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Cette bonification fait suite à une annonce faite en juillet dernier par le ministère de la Santé et des Services sociaux. Le montant obtenu a été réparti entre 91 organismes admissibles, dont quatre qui obtenaient du financement pour la première fois. Grâce à cet apport financier, ces organismes communautaires pourront bonifier les activités et les services offerts à la communauté.
«Ce financement additionnel constitue une excellente nouvelle pour la population de la région des Laurentides, qui bénéficie de l’offre de service dispensée par les organismes financés. Ce rehaussement démontre bien l’importance que le gouvernement accorde à la contribution de l’action communautaire comme véhicule de participation sociale», s’est réjoui Jean-François Foisy, président-directeur général du CISSS des Laurentides.
Soulignons qu’avec ce rehaussement, le budget global du PSOC pour la région des Laurentides s&#8217;établit désormais à plus de 27 M$.
Programme existant depuis 1973
Le PSOC a été créé en 1973 par le ministère de la Santé et des Services sociaux pour soutenir financièrement les organismes communautaires dans l’actualisation de leur mission. Les budgets concernés ont été décentralisés dans les instances régionales dans les années 1990. Les données les plus récentes démontrent que depuis ses débuts, le budget national du programme est passé d’un peu plus d’un million de dollars en 1973 à plus de 600 millions pour l’exercice financier 2017-2018.
Le nombre d’organismes soutenus financièrement a augmenté de façon tout aussi spectaculaire, passant d’une trentaine d’organismes en 1973 à 3 591 en 2017-2018. De ce nombre, 3 439 sont des organismes régionaux (583 M$) et 152 sont des organismes nationaux (17 M$).

CISSS des Laurentides: Rehaussement du financement pour les organismes

«Le Parlement fédéral au complet nous démontre qu’à Ottawa, la protection du français, c’est un enjeu qui ne mérite même pas un débat. Pourtant, les nouveaux arrivants ont besoin d’une connaissance minimale de notre langue commune pour qu’on puisse se parler et pour qu’ils puissent s’approprier notre culture. C’est une demande du gouvernement du Québec et d’une vaste majorité de la population québécoise que les parlementaires fédéralistes viennent de passer à la trappe», a déploré l’élu de Mirabel.
Actuellement, les résidents permanents souhaitant obtenir la citoyenneté canadienne doivent démontrer une connaissance suffisante d’une des deux langues officielles du Canada, l’anglais ou le français. Le projet de loi C-421 du député bloquiste Mario Beaulieu précisait que pour les demandes faites à partir du Québec, c’est la connaissance du français qui devrait être exigée.
Le gouvernement du Québec a maintes fois exprimé son intention d’exiger une connaissance suffisante du français aux nouveaux arrivants. C’est par ailleurs un souhait que partageaient 73 % des Québécois dans un sondage Léger publié en avril dernier.
Mais un sous-comité chargé d’étudier la recevabilité des projets de loi, composé d’une majorité de libéraux, a jugé C-421 «non votable» sous prétexte qu’il serait anticonstitutionnel, malgré l’avis contraire du légiste de la Chambre des communes et de plusieurs constitutionnalistes.
Le Bloc Québécois a fait appel de cette décision auprès de l’ensemble des parlementaires, qui ont choisi eux aussi de rejeter le vote sur le projet de loi dans une procédure rarissime: un vote secret.
«Pour la transparence, on repassera! Mais le message aux Québécois, lui, est très clair: vos revendications frappent un mur au fédéral lorsqu’il n’y a pas suffisamment de députés strictement dévoués au Québec pour les porter», a conclu Simon Marcil.

Saint-Eustache: Le premier versement pour les taxes municipales