Construit au coût d’environ trois millions dollars, ce nouveau site corporatif propriété de la compagnie Suncor Énergie sera opéré par les Entreprises Sylvain Turgeon.
La traditionnelle coupure de ruban a été effectuée par Guylaine Plante, conseillère régionale pour Suncor, Chantal Jalette et Sylvain Turgeon, directrice générale et président des Entreprises Sylvain Turgeon, et Jacques Rioux, ingénieur de Suncor responsable du projet de construction, entourés de Réjean St-Pierre, conseiller publicitaire pour votre hebdo L’ÉVEIL, d’employés du dépanneur et de travailleurs.

Ouverture d’un Petro-Canada et d’un Super Relais à Saint-Eustache

«Les vents très violents des dernières heures ont causé de nombreuses pannes dans plusieurs régions du Québec. Le Grand Montréal est particulièrement touché. Environ 1000 travailleurs sont à pied d&#8217;œuvre aujourd&#8217;hui afin de rétablir le service», déclare la société d’État, sur son site Web. 
«En raison du nombre de lieux différents où nous devons intervenir, nous ne sommes pas en mesure de donner de délai de rétablissement précis pour chaque endroit. La priorité de nos équipes est de travailler à rétablir le service le plus rapidement possible. Vu l&#8217;ampleur de l&#8217;événement, le rétablissement complet pourrait prendre plusieurs jours. Nos équipes travailleront jour et nuit pour rétablir le service. Nous vous remercions de votre patience.»
Dans vos MRC
Parmi les MRC de Thérèse-De Blainville, Deux-Montagnes et Mirabel, c’est la première qui compte le plus d’interruptions de service, dans les Basses-Laurentides, avec un total de 84. Cela représente plus de 10 000 maisonnées privées de courant. Blainville est la ville la plus touchée, avec près de 4 800 foyers privés d’électricité. À Sainte-Thérèse et Sainte-Anne-des-Plaines, c’est un peu plus de 2 000 habitations qui n’ont pas de service.
La situation s’améliore dans la MRC de Deux-Montagnes, alors que moins de 4 700 clients sont touchés, sur un total d’un peu plus de 47 000. La majorité de ces clients vivent dans la ville de Deux-Montagnes (3 319).
À Mirabel, on compte une trentaine d’interruptions sur le territoire. Ce nombre représente un total de près de 7 000 foyers.
Recharger et se réchauffer
Notez que certaines villes convient leurs citoyens privés d’électricité, qui désirent recharger leurs appareils électroniques et se réchauffer. C’est le cas à Blainville (Centre récréoaquatique et bibliothèque municipale), Sainte-Thérèse (Maison du citoyen et bibliothèque municipale) et Rosemère (Centre communautaire Memorial), dans la MRC de Thérèse-De Blainville. Pour plus de renseignements, il suffit de visiter les pages Facebook officielles de ces territoires.
Enfin, pour suivre l’état de la situation dans les Basses-Laurentides, rendez-vous au https://pannes.hydroquebec.com.

Laurentides: Plus de 58 000 foyers sont toujours privés d’électricité

La CNESST a lancé sa nouvelle campagne publicitaire sur la santé et la sécurité du travail. Avec cette nouvelle offensive, dont le thème est une suite logique à celui de l’an dernier, la CNESST poursuit ses efforts de prévention et veut générer une prise de conscience collective en mettant de l’avant le grand nombre d’accidents du travail qui se produisent au Québec.
En 2018, plus de 91 000 Québécoises et Québécois se sont blessés au travail. Cela représente 251 travailleurs par jour, soit un accidenté du travail toutes les 6 minutes. Des accidents qui ont des conséquences sur la vie des victimes, mais également sur celle de leurs proches. À cela s’ajoutent les conséquences économiques liées aux importants coûts sociaux de ces accidents et des coûts en indemnisation et en réadaptation.
«Plus la population québécoise sera consciente de l’ampleur et des conséquences des accidents du travail, plus elle se mobilisera autour de la cause. Sachant que les accidents surviennent dans tous les milieux de travail, petits et grands, ainsi que dans tous les secteurs d’activité, l’engagement de chacun est essentiel. Je salue l’action de la CNESST, qui, en faisant la promotion d’une culture de prévention durable, contribue à rendre les milieux de travail toujours plus sécuritaires», a déclaré Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale.
«Parler de sécurité est le premier geste de prévention que tout le monde peut poser. Aussi bien avec ses collègues et son employeur, pour prendre les moyens de repérer et d’éliminer les dangers, qu’avec ses proches, pour les inciter à en discuter dans leurs milieux de travail respectifs. La santé et la sécurité du travail est un enjeu qui nous concerne tous et toutes. Avec cette campagne, la CNESST démontre la nécessité d’agir concrètement dans tous les milieux», a ajouté Manuelle Oudar, présidente du conseil d’administration et chef de la direction de la CNESST.
Sur toutes les plateformes 
Jusqu’au 1er décembre, la CNESST diffusera à la télévision et sur le Web un message de 30 secondes, en français, ainsi qu’un message radio, sur les stations francophones et anglophones de la province. Pour en savoir plus, visitez le site Web de la campagne, à [parlerSST.com].