Lors de la séance ordinaire du 1er juin 2021, le Conseil municipal de la Municipalité d&#8217;Oka a formulé une demande auprès du ministère des Transports du Québec afin de faire ajouter cinq nouvelles traverses piétonnières sur la route 344 et d’y faire installer des balises flexibles centrales.
La demande a été formulée afin que soient aménagées des traverses piétonnières ainsi que des balises flexibles sur la route 344 devant l’Arboretum, la rue Lefebvre, la rue Olier, la rue Saint-André et la rue Saint-Jean-Baptiste. Le conseil demande aussi au MTQ d’ajouter des balises flexibles à la traverse existante de la rue Saint-Jacques.
« En augmentant le nombre de traverses piétonnières dans le noyau villageois, a dit le maire Pascal Quevillon, nous souhaitons améliorer la sécurité piétonne de façon significative. Ces ajouts permettraient de réduire la distance de marche entre les traverses afin d’inciter les piétons à traverser de façon sécuritaire aux endroits désignés tandis que l’ajout de balises permettrait de les rendre visibles pour les automobilistes.»
Une demande a également été placée afin d’ajouter des arrêts obligatoires, en direction est et ouest, à l’intersection de la route 344 et du rang Sainte-Sophie. Par la hausse marquée de l’achalandage automobile dans le secteur, il est de plus en plus difficile pour les automobilistes de sortir du rang pour s’engager sur la route 344 et les risques de collision y sont problématiques, estime le maire Quevillon. 
« Bien que nos demandes antérieures pour l’installation de feux de circulation ou l’aménagement d’un carrefour giratoire à cette intersection ont toutes été refusées par le ministère, nous poursuivons nos demandes afin de corriger la situation ».

Rappelons d’abord que le concours Fleurir Deux-Montagnes  vise à encourager la participation des citoyens et des commerçants d’ici dans les efforts d’embellissement de leur propriété, et ce, depuis maintenant 16 ans!
«Je tiens à remercier d’avance tous les citoyens qui entretiennent en beauté leur aménagement paysager, leur balcon fleuri et leur parterre. Ils contribuent collectivement à embellir la Ville. Cette année, nous sommes particulièrement impatients de voir Deux-Montagnes sous ses plus beaux atours pour son 100e anniversaire, grâce aux réalisations fleuries et aux efforts de jardinage de la communauté», d&#8217;exprimer, dans un communiqué de presse, le maire Denis Martin.
Comment participer? 
Les résidents et les commerçants de Deux-Montagnes intéressés à participer au concours Fleurir Deux-Montagnes 2021 doivent simplement remplir <a href="https://www.ville.deux-montagnes.qc.ca/evenement/concours-fleurir-deux-montagnes-nouvelle-formule/">un court formulaire d’inscription en ligne</a> disponible dans la section «Activités et Événement» du site Web de la Ville, à compter de maintenant et jusqu’au 15 juin prochain. Nul besoin de décrire les réalisations ni de joindre de photos. Les juges du concours se déplaceront sur les lieux afin d’évaluer les parterres inscrits.
Il est possible de s’inscrire dans l’une des quatre catégories suivantes:
<ul>
<li>Immeuble multi logements</li>
<li>Balcon fleuri</li>
<li>Commercial</li>
<li>Parterre résidentiel</li>
</ul>
L’évaluation des projets de jardinage
Vers la fin du mois de juillet, l’équipe d’horticultrices de la Ville ira constater la beauté des réalisations inscrites au concours et jugera de la qualité des aménagements selon des critères prédéfinis : la qualité de l’aménagement paysager en général, l’intégration d’infrastructures et le choix des végétaux.
Le dévoilement des gagnants aura lieu au cours du mois de septembre prochain et la formule entourant la remise de prix est à préciser en fonction de l’évolution de la situation pandémique.
Les prix à gagner 
Les gagnants des plus beaux aménagements de 2021 remporteront des chèques-cadeaux provenant de pépinières locales d’une valeur de 50 $ (1re position), 40 $ (2e position) et 30 $ (3e position).  Les photos des réalisations seront également dévoilées sur la page Facebook de la Ville de Deux-Montagnes et sur son site Web.
L’invitation à jardiner est lancée! Soyez nombreux à participer au concours Fleurir Deux-Montagnes, édition 2021.
Pour plus d’information au sujet du concours Fleurir Deux-Montagnes, contactez le Service des travaux publics au 450 473-2796, option 1.

Concours Fleurir Deux-Montagnes: nouvelle formule «sur inscription» jusqu’au 15 juin

Mieux connu sous le nom de «la Pointe au Calumet», le secteur en cause, compris entre la 25e Avenue et la 32e Avenue, à l’extrémité sud du territoire calumet-pontois, est actuellement protégé des inondations par les propriétaires riverains qui, au fil des ans, ont érigé des murs de pierres ou rehaussé leurs terrains.
Dix propriétaires sont touchés par les travaux qu’entend réaliser, d’ici la crue printanière de 2022, la Municipalité qui a réussi à s’entendre à l’amiable avec trois d’entre eux. C’est ce groupe de sept propriétaires, formé en juin 2020, qui s’oppose aux intentions municipales.
Trois de ces propriétaires ont reçu des avis d’expropriation; et les quatre autres, des avis de servitudes, que le groupe considère comme étant des «expropriations déguisées puisque la Municipalité veut aménager la surface du terrain exproprié».
<h3>Une «approche dictatoriale»</h3>
Le couple Claude Lamontagne et Gaëtanne Trahan Lamontagne, qui réside au 100, 30e Avenue, fait partie de ce groupe et a reçu, lui, un avis d’expropriation en date du 27 avril dernier. Et celui-ci ne mâche pas ses mots quand vient le temps de parler de la situation «plus que stressante» qu’il vive et des «problèmes causés par l&#8217;approche plus dictatoriale que démocratique de la Municipalité de Pointe-Calumet envers ses citoyens propriétaires riverains», selon les termes employés par Mme Trahan Lamontagne dans un courriel acheminé à votre hebdo L’ÉVEIL.
Notamment, ces propriétaires riverains dénoncent et refusent toujours, comme ils l’ont déjà fait individuellement et collectivement, le plan proposé parce que« la mise en place d’une palissade de palplanches les déposséderait de l’intégralité de leur propriété privée». En outre, cela confirmerait à leurs yeux qu’ils sont «des résidents de seconde zone» et qu’ils n’ont pas droit «à une protection comparable à celle des résidents du secteur ouest».
En entrevue téléphonique, Mme Trahan Lamontagne soutient d’ailleurs que son groupe n’a jamais reçu les réponses à leurs questions et s’est vu refuser des documents en vertu de la Loi d’accès à l’information. Aussi, celle-ci dit ne même pas savoir encore le montant de l’indemnité que la Municipalité versera en compensations pour cette expropriation sur son terrain.
<h3>Pas par «gaieté de cœur»</h3>
Invitée à donner son point de vue, la Municipalité de Pointe-Calumet, via sa mairesse Sonia Fontaine et sa directrice générale Chantal Pilon, a indiqué que ce n’est pas par «gaieté de cœur» qu’elle en est arrivé à ce plan d’action pour ce secteur précis.
«Ce n’est pas moi, ni la Municipalité, ni l’administration, qui décidons de mettre cette digue [mur de palplanches] sur les terrains de ces gens-là. Ce sont vraiment des restrictions gouvernementales qui font que nous en sommes à ce point-là. C’est peut-être cette partie qu’ils [les propriétaires| n’ont pas encore comprise, même si nous leur avons présenté [la situation] de façon très claire», a tenu à préciser, au téléphone, la mairesse Fontaine.
Pour sa part, la directrice générale explique que, tant et aussi longtemps que ce secteur ne sera pas protégé, «la Municipalité, dans son entièreté, va demeurer en zone inondable», empêchant de construire et de reconstruire en zones inondable ou à risque élevé. Le point faible d’une possible inondation serait justement situé dans ce secteur, d’ajouter Mme Fontaine.
Mme Pilon insiste, par ailleurs, sur le fait qu’elle a toujours répondu aux questions de ces propriétaires quand elle était en mesure de le faire et que la mairesse les a rencontrés plus d’une fois sur le terrain. «Je ne compte plus les fois», de confirmer Mme Fontaine.
«Au départ, c’est sûr qu’on aurait souhaité endiguer tout le monde le long du littoral. La réalité nous a montré que ce n’était pas possible. Il y avait plusieurs restrictions gouvernementales. C’est là qu’on a compris que nous devions apporter des modifications à ce que nous aurions aimé faire. Nous avons travaillé longtemps avant d’en arriver là. C’était vraiment la dernière option», d’expliquer Mme Fontaine.
<h3>Tribunal administratif du Québec</h3>
Le dossier se retrouvera d’ici peu devant le Tribunal administratif du Québec, qui décidera de l’indemnité que la Municipalité aura à verser aux différents propriétaires riverains concernés.
D’ici là, le groupe de propriétaires riverains a mandaté une firme d’avocats pour le conseiller sur les options qui s’offrent à eux sur le plan légal, mais déjà, la décision de ne pas contester les avis d’expropriation devant la Cour supérieure a été prise.

Oka veut davantage de passages piétonniers