Devant plus de 200 personnes, le directeur de la Société a pris la parole, lors de la période de questions, pour demander au chef libéral ce qu’il comptait faire pour aider les familles et les personnes atteintes.
«Je pense que toute la salle est touchée par cette situation. J’ai moi-même une école privée dans mon comté qui s’occupe d’enfants atteints d’autisme. La réalité, c’est qu’il en coûte 40 000 $ par année pour les familles», a mentionné M. Ignatieff, précisant qu’il faut rendre accessible l’aide pour l’ensemble des Canadiens.
Pour le chef libéral, ce qu’il faut d’abord faire, c’est de mettre en évidence l’ensemble des résultats. «Ce qu’il faut mettre de l’avant, ce sont les résultats et par la suite, élaborer une stratégie. Nous sommes solidaires et compatissants envers les familles. Ce n’est pas à la famille de tout prendre sur ses épaules», dit-il.
Parmi les pistes de solutions, le chef du PLC a mentionné qu’il se dit ouvert à discuter avec l’ensemble des provinces sur cette question, rappelant que les valeurs libérales soutiennent les personnes dans le besoin. «Les valeurs libérales sont le cœur et la conscience sociale du Canada», a-t-il rappelé.