C’est devant plus de 500 personnes réunies au début du mois de juin à l’occasion de la cérémonie de remise des Prix du leadership 2015, tenue à Vancouver, que Martin Roy s’est vu remettre ce prix. Ce prix, décerné annuellement par le Conseil du bâtiment durable du Canada (CBDCa), souligne une contribution exceptionnelle à l’avancement des pratiques dans l’industrie canadienne du bâtiment durable.
Rappelons que M. Roy a été le premier ingénieur québécois à recevoir le LEED Fellow au Québec, en 2013, titre décerné par le Conseil du bâtiment durable des États‑Unis (USGBC), en collaboration avec le Green Building Certification Institute (GBCI) reconnaissant la contribution exceptionnelle à la construction durable, l’expertise unique, le leardership, l’esprit d’innovation, l’engagement et les réussites professionnelles significatives d’un ingénieur.
Selon les membres du jury qui lui a attribué ce prix, Martin Roy s’est démarqué cette fois grâce «à un engagement soutenu envers la construction durable jumelé à une expertise et un sens de l’innovation qui repousse les frontières de l’ingénierie bioclimatique».
On lui doit, notamment, la proposition de thermopompes assistées à l’énergie solaire, une première au Québec dont a bénéficié la Caisse Desjardins de l’Ouest de la Mauricie, la réalisation du premier bâtiment institutionnel Net-Zero avec la bibliothèque de Varennes et l’obtention de la première certification LEED Or au Québec (la TOHU).
Cette nouvelle récompense vient donc couronner 30 ans d’efforts de M. Roy à faire progresser l’ingénierie bioclimatique avant même que les changements climatiques soient un enjeu de société aussi pressant.
Enseignant à l&#8217;Université Laval, membre fondateur du Collaboratif Living Building Challenge de Montréal et membre du Comité d’expert consultatif technique du CBDCa, Martin Roy est reconnu par ses pairs pour son intégrité, son authenticité et son sens de l’éthique.
«En mettant de l’avant une approche à la fois performante rentable, saine et écologique, les ingénieurs, et plus particulièrement la relève, peuvent être fiers de leur profession, car ils sont aujourd’hui dans une position où ils peuvent apporter une contribution des plus significatives dans le développement d’un monde meilleur», a commenté celui qui est aussi conférencier sur de nombreuses tribunes.

Martin Roy reçoit le Prix du champion du bâtiment durable

À la séance du mois de juin dernier, ils étaient un peu moins d’une demi-douzaine de citoyens à venir poser des questions sur le sujet, certains démontrant leur mécontentement par rapport à la situation, notamment sur la question du manganèse et de la dureté de l’eau.
Un résidant de la 38e Avenue a notamment exprimé son inquiétude à propos des nouveaux électroménagers qu’il vient tout juste de s’acheter et a demandé à la Ville de s’engager à les remplacer s’ils venaient à faire défaut. Le conseil n’a pas voulu s’avancer sur la question.
En guide de réponse, la mairesse Sonia Paulus a indiqué que la Ville avait adopté plusieurs résolutions au conseil depuis le tout début et fait ses devoirs pour trouver la firme qui propose la meilleure solution. «Nous avons fait des devis de performance, reçu des réponses de plus d’une compagnie pour voir laquelle a le traitement le plus performant», a-t-elle souligné.
Quant à savoir le montant qu’aurait coûté l’eau si le conseil avait opté pour continuer à utiliser le réseau de Deux-Montagnes, la mairesse a souligné que des travaux de mise à niveau supplémentaires de plusieurs millions de dollars auraient été nécessaires, dont plus de la moitié aurait été absorbée par l’administration marthelacquoise, Sainte-Marthe-sur-le-Lac étant plus populeuse. Un résidant de la 25e Avenue a demandé si le coût total du projet actuel allait dépasser les sept millions de dollars, ce à quoi la mairesse Paulus a répondu par la négative.
«On la traite d’ici la fin de l’année», a-t-elle dit, soulignant à plus d’une reprise, par ailleurs, que tous les tests de qualité de l’eau révélaient que la Ville se conformait aux normes du Québec quant à savoir si l’eau était potable.

Sainte-Marthe-sur-le-Lac : L’eau sera traitée d’ici la fin de l’année, dit la mairesse

«La randonnée n’est pas limitée aux gens d’affaires. Tous les motocyclistes sont invités à prendre part à cette Moto-Balade», de dire le directeur général de la Fondation Émile-Z.-Laviolette, Marcel Mailhot, avant d’expliquer le déroulement de la journée.
Rappelons que la mission de la Fondation Émile-Z.-Laviolette est de venir en aide aux enfants de la MRC de Deux-Montagnes, dans le besoin, et surtout de s’assurer que les jeunes puissent manger à leur faim et qu’ils puissent se procurer des effets scolaires.
«Les montants d’argent recueillis, a indiqué Marcel Mailhot, au cours des dix premières éditions de la Moto-Balade s’élèvent à 165 960 $. Je pense que ça vaut la peine de le souligner. Cette récolte a permis le maintien de plusieurs projets tels que Casse-Croûte, Boîte à lunch, Petit déjeuner scolaire, Répit, et Food for thoughts.»
L’activité Moto-Balade a été initiée il y a dix ans par Serge Cameron, aujourd’hui avec la nouvelle salle de spectacles Le Zénith, à Saint-Eustache. Ce dernier est toujours à la tête du comité organisateur composé de huit autres personnes. Il s’agit de Martin Nadon (Nadon Sports), Michel Prévost (Investamp), François Éthier (Metro Plus François Éthier), Marc Allard (Allard Limousine), Lionel Coderre (Coderre Électrique), Michèle Labelle, conseillère municipale de Saint-Eustache, Michel Constantin (Cabane à sucre Constantin), et Marcel Mailhot, directeur général de la Fondation Émile-Z.-Laviolette.
Pour ce qui est du déroulement de la journée de la Moto-Balade, l’accueil, l’inscription et le déjeuner auront lieu à partir de 8 h, au Metro Plus François Éthier, situé au 753, boulevard Arthur-Sauvé, à Saint-Eustache. Le départ du groupe de randonneurs est prévu pour 9 h, en direction de Montebello, pour un premier arrêt café et beignet, gracieuseté de la Cabane à sucre Constantin.
«Lors de la randonnée, ajoute Marcel Mailhot, nous serons escortés par des pointeurs, nous assurant ainsi toute la sécurité nécessaire lors d’un tel événement pour un groupe de motocyclistes sur la route. Aussi, un camion de Nadon Sports pouvant servir de dépanneuse nous accompagnera en tout temps.»
Suivra ensuite la traversée de la rivière Outaouais et l’arrêt pour le dîner au parc sous le pont de Hawkesbury, et ce, encore sous la commandite de la Cabane à sucre Constantin. En après-midi, ce sera le retour vers Saint-Eustache, par la route 344. Arrivés aux Salles de réception Constantin, le cocktail sera offert par Michel Prévost, d’Investamp. Le souper sera servi vers 17 h 30, avec des remises de prix et présentation du chèque symbolique identifiant le montant recueilli lors de l’événement. À 20 h, toujours au même endroit, aura lieu un spectacle du groupe Les Respectables.
Pour toutes informations concernant cette activité, il suffit d’appeler Marcel Mailhot au 450 623-2112, Serge Cameron au 438 490-8280, ou Nadon Sports au 450 473-2381.