Le nouveau député de Rivière-des-Mille-Îles, Luc Desilets s’est mis à la tâche dès les premières journées après son élection. En plus des représentations dans les différents événements de la région et les formations à Ottawa, il a reçu la confiance du chef du Bloc québécois en se voyant octroyer deux dossiers parlementaires, celui du Revenu national et des Anciens combattants. 
«Je reçois comme un immense honneur que Yves-François Blanchet me confie de tels dossiers», s’est exprimé Luc Desilets, lors du dévoilement du cabinet fantôme du chef du Bloc québécois, le 6 novembre dernier. 
Dans les premières semaines, c’est avec grand plaisir que M. Desilets a fait ses premiers pas à Ottawa par la visite de la Chambre des communes du Canada et par plusieurs formations afin de prendre connaissance des responsabilités et dossiers qui lui incombent désormais. 
«Je serai là pour défendre mes dossiers avec le souci omniprésent d’agir en fonction du bien des Québécois», a-t-il déclaré avec confiance. 
Le député a également commencé à être présent sur le terrain lors de différents événements locaux et régionaux avec son équipe. Il continue son implication particulièrement auprès des organismes communautaires en sachant toute l’importance qu’ils ont dans la vitalité et le bien-être des communautés de sa circonscription. 
Il est possible de suivre le député sur Facebook @LucDesiletDepute et sur Twitter @LucDesiletsBQ.

Le renouvellement périodique d’une flotte d’instruments de musique, comprenant notamment les pianos, les violons ou les xylophones, sur lesquels s’entraînent les élèves, nécessite évidemment d’importants investissements que ne peut absorber la direction de l’école Arthur-Vaillancourt. C’est à ce moment qu’entre en jeu la Fondation Au Diapason.
«Le projet art-études est là depuis longtemps et c’est grâce à la CSSMI, a indiqué Lysanne Gagnon, directrice de l’école Arthur-Vaillancourt et membre du conseil d’administration de la Fondation. Toutefois, a-t-elle poursuivi, sans la Fondation, on ne peut pas arriver à tout faire. Ce serait impossible!»
Présidente de la Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles (CSSMI), Paule Fortier abonde dans le même sens. Pour Mme Fortier, la Fondation Au Diapason donne l’opportunité aux jeunes élèves de «vivre un parcours musical et scolaire exceptionnel» .
«Cette contribution permet d’offrir un enseignement de qualité. Notre école publique, on la trouve belle, attrayante, et nous voulons qu’elle offre aux jeunes le meilleur dont ils ont besoin et surtout des parcours enrichissants comme celui offert à Arthur-Vaillancourt.»
Outre les instruments de musique pour lesquels elle débourse d’importantes sommes sur une base annuelle, la Fondation Au Diapason permet également aux enfants de se produire à l’extérieur des murs de l’école comme ce sera le cas le 19 décembre à l’occasion du concert de Noël.
«L’impact de la Fondation est significatif dans le parcours musical des élèves de l’école Arthur-Vaillancourt et nous en sommes bien fiers! Pour y arriver, nous comptons évidemment sur les parents, partenaires et généreux donateurs» , d’ajouter Roseline Marchand, présidente de la Fondation Au Diapason.
<h3>Concert de Noël</h3>
L’activité phare de la Fondation Au Diapason est le fameux et maintenant traditionnel concert de Noël des élèves. Celui-ci aura lieu le 19 décembre à 14 h à l’église Sainte-Thérèse-d’Avila. Benoit Archambault, du groupe Mes Aïeux, agit à titre d’ambassadeur de l’événement.
«J’ai tout de suite été charmé par ce projet. J’ai été formé par la Commission scolaire ici même. C’est donc une façon pour moi de redonner» , a mentionné l’auteur-compositeur originaire de Rosemère qui a notamment remporté le Festival en chanson de Petite-Vallée en 1998, et qui écrit des chansons et romans jeunesse.
Au cours de la dernière année, Benoit a rencontré les élèves à maintes reprises. Il a même joué devant et avec eux.
«Nous avons fait une super belle première expérience de concert en juin dernier. Le concert de Noël du 19 décembre sera en quelque sorte une première mondiale puisque nous adapterons mon dernier roman jeunesse, Le premier flocon, pour en faire un conte musical.»
Pour se procurer des billets pour assister au concert, il suffit de visiter le [<a title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" href="http://lafondationaudiapason.org" target="_blank" rel="noopener">http://lafondationaudiapason.org</a>] ou la page Facebook de l’organisme.

Indispensable pour l’école Arthur-Vaillancourt

On le remarque rapidement. Il s’agit d’un homme de beaucoup de mots, avec une histoire de vie riche qu’il aime bien partager. Lorsque rencontré dans un commerce de la rue Saint-Eustache, Réal Jobin se remémorait des souvenirs liés à son implication bénévole, qui remonte aux années 1960.
Avant son entrée au sein de l’équipe de Sercan, l’ancien enseignant d’éducation physique s’impliquait déjà pour des gens en besoin de sa communauté. C’est en 2012 qu’il a fait la rencontre de Vickie Boisvert, alors qu’il travaillait à un club de golf. Un événement-bénéfice était organisé au profit de la fondation d’ici.
«J’ai débuté à titre d’enseignant dans les années 1960, se souvient M. Jobin. J’ai commencé mon bénévolat, à mes débuts comme enseignant, lors du temps des Fêtes. J’ai ensuite changé de profession, travaillant au Club de golf de Deux-Montagnes. C’est là que mon histoire avec Sercan commence, en 2012. Un tournoi de golf était organisé pour la Maison Sercan, à l’endroit où je travaillais. Nous avons amassé 25 000 $, d’après mes souvenirs!»
M. Jobin est maintenant bien implanté dans la sphère du bénévolat, ayant un réseau généreux de connaissances et de partenaires qu’il peut rencontrer et solliciter. Ce dernier est un homme de projet, sociable et bien entouré. Il adore créer des concepts utiles et originaux pour les gens qui en ont grandement besoin. «Je suis chanceux, car mes projets ont toujours bien réussi!», de lancer, en ce sens, cet homme inspirant.
Les dessous du bénévolat
Il est impliqué dans un total de sept projets pour Sercan. Rien de moins. Comme mentionné, il est coprésident d’honneur de la présente campagne de poinsettias et de cartes de Noël. M. Jobin participe à la fameuse course de bateaux-dragons à l’été. À cela s’ajoutent ses efforts liés, par exemple, au souper spaghetti annuel.
Les convives voient l’homme, présent et souriant, à ces événements-bénéfice. Aux dires de ce «vétéran», les gens ne voient pas tout le travail et le temps investi par ses amis bénévoles. Il considère ceux-ci comme une véritable richesse. Le bénévolat, c’est un don de soi.
«Dans le cas de la vente de poinsettias, nous avons beaucoup d’éléments à considérer, certains imprévus même. Nous devons les livrer à différents endroits, nous avons des points de vente à nous occuper et ainsi de suite. C’est beaucoup de travail, mais c’est un grand plaisir», mentionne Réal Jobin.
Pour l’événement spaghetti annuel, beaucoup de choses sont à prévoir également. «C’est de l’ouvrage, beaucoup de temps investi. Seulement pour la sauce à spaghetti, nous avons à peu près cinquante livres d’oignons à couper», poursuit-il. À cela s’ajoutent bien entendu d’autres tâches, comme le suivi du travail des bénévoles, la sollicitation de partenaires, commanditaires, la vente de billets et ainsi de suite. À la fin de la journée et après tous les efforts mis en œuvre, on ressent une fierté certaine, devant le résultat de la campagne ou du rendez-vous-bénéfice.
Aujourd’hui octogénaire, Réal Jobin ne compte pas prendre sa retraite à titre de bénévole. Il se plaît bien à travailler au sein de Sercan. Ce dernier n’a que de bons mots pour ses collègues et la directrice générale, Vickie Boisvert, qu’il considère comme une femme dévouée et compétente.
À vrai dire, il cherche cependant à ralentir quelque peu, à dénicher des personnes qui pourraient l’aider dans l’organisation et les tâches liées, par exemple, au souper spaghetti.
Ainsi, si des gens désirent faire la connaissance du sympathique Réal Jobin, s’impliquer pour la cause qu’est Sercan, il suffit de visiter le site officiel de l’organisation au [http://maisonsercan.ca/].

Luc Desilets veillera sur les dossiers du Revenu national et des Anciens combattants