Depuis la création de l’Escadron au mois de juin 1969, plus de 1 200 garçons et filles de 12 à 18 ans de la région ont participé aux activités de cet organisme. Les jeunes ont acquis des aptitudes de leaders et de bons citoyens tout en menant à bien des actions communautaires variées dans leur localité, et ont développé un intérêt pour le monde de l’aviation. 
«Nous sommes extrêmement fiers du 40e anniversaire de notre club et de toutes ces années que nous avons consacrées à servir notre communauté en partenariat avec le Club Kiwanis et la Ville de Saint-Eustache», a mentionné le capitaine Jean-Marc Patry, commandant de l’Escadron 785. 
Ce dernier a ajouté: «Les cadets sont reconnus partout où ils passent comme étant des jeunes disciplinés, intéressants et serviables, ce qui nous fait dire que notre mission est atteinte et que les efforts de tous portent leurs fruits.»
Pour ce qui du grand souper retrouvailles, ce sera un repas méchoui servi par le traiteur du Chalet du Ruisseau. Cette soirée sera une occasion pour tous les anciens cadets, civils et militaires qui ont côtoyé de près ou de loin l’Escadron, de se rencontrer et se rappeler les bons moments vécus au fil des dernières années. Plusieurs surprises seront également au rendez-vous lors de cette soirée mémorable. 
«Les membres du comité répondant ainsi que le personnel militaire tiennent à remercier sincèrement la Ville de Deux-Montagnes pour son implication. Sans l’appui de la Ville, il nous aurait été difficile de réunir plus de 500 personnes sous le même toit. Nos partenaires majeurs sont le Club Kiwanis et la Ville de Saint-Eustache, nous ajoutons maintenant la Ville de Deux-Montagnes», a déclaré France Roy, présidente du comité répondant. 
De son côté, le président d’honneur, Michel Beaulac, souhaite rassembler pour l’occasion tous les anciens présidents ainsi que les membres Kiwanis. «Dès 1969, mentionne-t-il, l’Escadron 785 était la raison d’être du Club Kiwanis. Pour nous, l’essentiel c’est d’encourager les jeunes pour qu’ils deviennent de bons citoyens. Nous allons participer comme parrain de l’Escadron. Parmi nos membres, certains ont été cadets. Ils seront sûrement présents.»
L’Escadron 785 Saint-Eustache Kiwanis compte actuellement plus de 60 cadets. Ils se réunissent tous les samedis, de 8 h à 16 h, au 133, rue Saint-Eustache, à Saint-Eustache. L’organisme peut être contacté au numéro 450-473-4377. 
C’est donc un rendez-vous pour le grand souper retrouvailles le 13 juin, à 18 h 30, à l’Olympia de Deux-Montagnes. Le coût du souper est de 40 $. Pour de plus amples informations, il suffit de joindre Roger Binette au 450-473-1374 ou Luc Hevey au 514-961-9204.

L’Escadron 785 Saint-Eustache Kiwanis fête ses 40 ans

«Je suis en train de faire une tournée des régions pour discuter des mesures d’aide de relance de l’économie de notre dernier budget. Je rencontre les employés de nos bureaux fédéraux, les chambres de commerce et les maires des municipalités», a d’abord expliqué le ministre Blackburn. 
«Avec le programme des infrastructures, nous voulons faire un vaste chantier dans tout le pays. Le maire Carignan m’a d’ailleurs exprimé ses craintes quant aux travaux dans sa municipalité parce que Québec n’a toujours pas signé l’entente. Ce sont des formalités bureaucratiques qui nous empêchent de faire démarrer les travaux. Je peux vous dire que l’argent est disponible à Ottawa et notre intention est d’annoncer les travaux en mars», a ajouté le ministre du Revenu national. 
Parmi les projets que le maire Claude Carignan a mis sur sa liste en priorité, on retrouve, entre autres, le rond-point Arthur-Sauvé et A-640; la rénovation du pont Les-Îles-Corbeil; la réfection de l’aréna; l’agrandissement du réservoir d’eau dans le parc industriel et l’agrandissement de l’Hôpital de Saint-Eustache. 
Parmi les autres sujets abordés, il a également été question de l’église mère de Saint-Eustache, de gestion de déchets et des Jeux du Canada 2013, pour lesquels la Ville de Blainville et les villes environnantes, dont Saint-Eustache, ont posé leur candidature. D’ailleurs, le maire Carignan devait accompagner le ministre Blackburn en après-midi afin de rendre visite au maire de Blainville, François Cantin. 
Toutefois, avant d’aller à Blainville, le ministre Jean-Pierre Blackburn a prévu visiter le Carrefour jeunesse-emploi de Deux-Montagnes, ainsi que les membres de l’exécutif de la Chambre de commerce de Mirabel. 
Le gouvernement fédéral finance plusieurs programmes qui sont offerts dans la région par le CJE. «Dans le contexte économique difficile actuel, a mentionné le ministre, cet organisme joue un rôle particulièrement important pour venir en aide aux personnes les plus affectées par la crise. Notre gouvernement s’est engagé à adopter des mesures pour protéger et venir en aide rapidement aux plus démunis.»
Parmi les mesures annoncées, la durée des prestations d’assurance-emploi est passée de 45 à 50 semaines et des sommes additionnelles ont été consenties, dont 500 millions pour la formation de la main-d’œuvre et 55 millions pour les emplois d’été pour les jeunes. 
Questionné à savoir s’il était déçu de la défaite de Claude Carignan comme candidat conservateur aux dernières élections fédérales, le ministre Blackburn a répondu: 
«C’est un homme de grande compétence et de grande qualité. Nous aurions aimé l’avoir sur l’équipe du Québec, mais il faut respecter le choix de la démocratie. Certains ont préféré ne pas voter pour lui au fédéral afin de le conserver comme maire.»

Le ministre Jean-Pierre Blackburn en visite à Saint-Eustache

Il s’agit de Claude Amann, qui tentera de déloger l’actuel conseiller du quartier numéro 1 – situé dans la portion nord-est de la ville –, François Robillard. Ce retraité ayant œuvré dans le domaine de l’administration est originaire de Laval et est établi à Sainte-Marthe-sur-le-Lac depuis trois ans. M. Amann a œuvré au sein du secteur privé dans des fonctions en communication, vente et marketing, notamment pour le Club de football Les Alouettes, la Corporation Alexis-Nihon et Pepsi Cola Canada. Dans les années 1980, Claude Amann a aussi agi comme conseiller politique de la ministre Céline Hervieux-Payette. «Je me considère comme un homme choyé, dit-il. La vie a été bonne pour moi et pour ma famille, et je considère qu’il est temps aujourd’hui de mettre à profit, pour ma communauté, mon expérience et mes valeurs.» 
Il dit avoir choisi de s’établir à Sainte-Marthe-sur-le-Lac parce qu’il est un passionné de la navigation de plaisance. «La proximité de la ville avec le lac des Deux-Montagnes est un atout majeur pour les citoyens de Sainte-Marthe-sur-le-Lac.» D’ailleurs, il souhaite maximiser l’accessibilité à ce point d’eau, qu’il estime trop peu mis en valeur. «Il faut mettre de l’avant l’ensemble des atouts de ce cours d’eau», dit-il, affirmant que ce n’est pas le cas actuellement.
Atmosphère de confrontation
Par ailleurs, il estime que les dissensions au sein du conseil municipal minent son efficacité et il en appelle à plus de stabilité, «afin de garantir le développement harmonieux de la ville, précise-t-il. C’est principalement en regard de cet objectif que j’ai accepté de joindre les rangs du PAC. Depuis que je suis à Sainte-Marthe-sur-le-Lac, j’ai suivi les dossiers de la ville via les journaux locaux et j’ai assisté à quelques séances du conseil. Sylvain Goudreault semble vraiment préoccupé par le mieux-être des citoyens et c’est donc avec enthousiasme que j’ai accepté son invitation de me joindre à son nouveau parti politique municipal.»
Dans l’éventualité d’un conseil municipal dirigé par le PAC, M. Amann s’occuperait de tout ce qui touche l’administration municipale, dont le dossier de l’approvisionnement en eau potable. 
D’ailleurs, la Ville est actuellement en processus de recherche d’eau souterraine et d’analyses, et M. Amann estime que «toutes les opinions n’ont pas encore été dites à ce sujet». Même s’il dit qu’il n’envisage pas nécessairement de mettre la hache dans le projet, il affirme qu’il faut tout de même garder ouvertes toutes les portes, incluant une régie de l’eau avec d’autres municipalités.
En définitive, le chef du PAC, Sylvain Goudreault, est convaincu que M. Amann lui permettra d’atteindre ses objectifs, notamment de s’assurer que les citoyens soient fiers de leur ville. Il estime que la mairesse actuelle a tardé à réaliser des projets majeurs. «En trois ans et demi, elle aurait eu le temps», dit-il.