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Les abeilles n’ont plus de secrets chez Intermiel

Les Abeilles N’ont Plus De Secrets Chez Intermiel

Les abeilles n’ont plus de secrets chez Intermiel

Publié le 16/06/2018

Dès le 24 juin, les responsables d’Intermiel invitent petits et grands à vivre une immersion totale dans le monde des abeilles, en optant pour une visite guidée au cours de laquelle les visiteurs découvriront les aléas de l’apiculture.

Chaque année, on estime à 100 000 le nombre de personnes qui s’arrêtent chez Intermiel à Mirabel afin d’y goûter quelques-uns de leurs 350 produits, mais également pour en apprendre davantage sur les abeilles, les ruches, la pollinisation et la production de miel. Les adultes peuvent aussi y visiter l’hydromellerie et la distillerie puisque l’entreprise est aussi spécialisée dans la production d’alcools à partir des matières premières du miel, de l’érable et de la pomme.

«Pour nous, l’éducation des jeunes sur le monde des abeilles est l’une de notre principale mission. Une visite chez Intermiel permet de sortir de la routine, de faire des activités en apprenant sur le monde des abeilles, leur rôle dans l’environnement et tous les bienfaits des produits de l’abeille pour la santé» , d’indiquer Éléonore Macle, vice-présidente d’Intermiel.

Ferme familiale

Intermiel est avant tout une ferme familiale opérée par Christian et Viviane Macle, arrivés au Québec au milieu des années 1970. Sur la ferme, on exploite pas moins de 10 000 ruches qui contiennent 425 millions d’abeilles, une érablière de 18 500 entailles et un verger de 600 pommiers.

Dotée d’un important volet éducatif, la ferme accueille en outre plus de 15 000 élèves annuellement. Ils y apprennent, entre autres, que pour produire un kilo de miel, les abeilles doivent visiter plusieurs millions de fleurs et parcourir 150 000 km.

L’hydromel Médiéval, qu’elle produit à Mirabel, fait partie des produits du terroir les plus vendus à la Société des alcools du Québec.

Bien qu’Intermiel ait maintenant ses ouvertures au Japon notamment, il est important pour ses propriétaires de conserver ce caractère familial.

«Pour moi, le caractère familial de l’entreprise demeure primordial, ça va toujours rester» , insiste Éléonore Macle qui peut d’ailleurs compter sur l’aide de son conjoint dans l’érablière, et la saison terminée, dans les ruches.

Pour en apprendre davantage: [http://intermiel.com].