La Classique de golf du maire de Saint-Eustache revient pour une 18e édition, le mercredi 29 août, au profit de la Fondation Élite Saint-Eustache qui offre une aide essentielle à des acteurs des scènes communautaire, sportive et culturelle de la ville. Ce rendez-vous annuel et couru aura lieu, de nouveau, au Club de golf Le Champêtre de Sainte-Anne-des-Plaines.
C’est devant plusieurs partenaires de longue date que le maire de Saint-Eustache, Pierre Charron, a procédé à l’annonce de la tenue de sa classique.
«Vous savez, il est important de le rappeler, le but de la Fondation Élite Saint-Eustache est de venir en aide à des gens qui présentent des demandes de bourses, qu’ils soient des athlètes ou des personnes issues des domaines culturel ou communautaire» , précise ce dernier.
«Nous réservons d’ailleurs de petites surprises aux participants de la Classique, comme chaque année. Des gens bénéficiant de l’aide de la Fondation vous adresseront des témoignages en soirée.»
<h3>L’événement de l’année pour la Fondation</h3>
Le premier magistrat a surtout profité de l’occasion pour réitérer sa gratitude aux différents partenaires, tels Nova Bus, Robert Paquette Autobus et fils, Promutuel Assurance Deux-Montagnes, la Société d’analyse Immobilière D.M., Dufesne Hébert Comeau, la Caisse Desjardins Saint-Eustache–Deux-Montagnes et GBD Construction.
«Il n’y a pas beaucoup de tournois de golf du genre, qui offrent autant de commodités à ses participants. Nous sommes heureux de vous l’offrir, et ce, grâce à la générosité de plusieurs commanditaires qui reviennent ou qui s’ajoutent avec les années» , conclut le premier magistrat.
En plus des partenaires majeurs, la Classique du maire peut compter sur le soutien de quatuors VIP, de donateurs et de «commanditaires de trous» . Il s’agit, dit-on, du plus grand événement de financement annuel pour la Fondation Élite Saint-Eustache.

Le Champêtre accueille de nouveau la Classique du maire

En bref
C’est le 1er juillet 1998 que nait officiellement la CSSMI, alors que sur tout le territoire québécois, le réseau des commissions scolaires est restructuré sur une base linguistique et non plus confessionnelle.
La CSSMI est née de la fusion en tout ou en partie de quatre commissions scolaires: Commission scolaire de Sainte-Thérèse, Commission scolaire des Patriotes, Commission scolaire des Mille-Îles et Commission scolaire Laurenval.
La CSSMI comptait 73 établissements, dont 54 écoles primaires, 13 écoles secondaires et six centres de formation en 1998. En 2018, elle compte 79 établissements, dont 59 écoles primaires, 13 écoles secondaires et sept centres de formation. Sans compter deux écoles en construction et trois demandes de nouvelles écoles en attente d’autorisation par le ministère.
Aujourd’hui, la CSSMI scolarise près de 43 000 élèves, jeunes et adultes, comparativement à 39 400 élèves en 1998.
Mme Jeanne D’Arc Duval Paquette a été présidente de 1998 à 2003 et Mme Paule Fortier de 2003 à ce jour.
En 2018, le conseil des commissaires était formé de 23 commissaires, dont deux commissaires-parents. Aujourd’hui, le conseil des commissaires est formé de 16 commissaires incluant 4 commissaires-parents.
<ol start="2004">
<li>Jean Poitras a occupé le poste de directeur général de 1998 à 2001, Mme Lise Lavoie-Gauthier de 2001 à 2003 et M. Jean-François Lachance est en poste depuis mai 2004.</li>
</ol>
Rappelons qu’en 1999-2000, la CSSMI affichait un taux de décrochage scolaire de 30,1 %.
Le directeur général et la présidente s’expriment
«À titre de directeur de l’école Saint-Gabriel en 1998, j’ai vu naître la CSSMI. Je peux témoigner de l’évolution des efforts collectifs pour la réussite de tous les élèves. […] Les 20 années nous ont aussi apporté un lot de turbulences, teintées par les compressions budgétaires et l’incertitude quant à la restructuration des commissions scolaires», a mentionné Jean-François Lachance, directeur général de la CSSMI.
«La CSSMI […] a su démontrer toute sa crédibilité grâce à la mobilisation d’une communauté dévouée pour la cause de l’éducation: les membres du conseil des commissaires, le personnel, les parents, les élèves et les partenaires du milieu», a rappelé Paule Fortier, présidente de la CSSMI. «Souhaitons-nous de maintenir le cap afin de demeurer la commission scolaire de grande taille la plus efficiente au Québec.»

La CSSMI a 20 ans

Le comité Diversité culturelle Deux-Montagnes conviait la population à la toute première édition du Pique-nique interculturel de Deux-Montagnes, qui se tenait au parc Olympia, le dimanche 19 août. 
Ce rassemblement familial permet en somme de découvrir les différentes origines des Deux-Montagnais et de briser l’isolement social de tous citoyens. Dans une ambiance festive, les participants pouvaient déguster des recettes gourmandes préparées par des familles locales, en plus de participer à un atelier de djembé et danser aux sons de musiques du monde. 
«Il s’agit de favoriser le rapprochement des citoyens et briser l’isolement, quelque soit l’origine de la personne» , de rappeler Julie Guilbault, membre du comité chapeautant l’événement.
 «La formule est inspirée des fêtes de quartier, les pique-niques de citoyens. Nous reprenons le concept avec la nourriture, ce qui permet aux gens d’ouvrir leurs horizons. On découvre ici des épices et des saveurs qu’on ne connaît pas nécessairement.» 
Notons que tous les repas sont préparés bénévolement par des familles de Deux-Montagnes, d’une multitude d’origines. «Elles se sont offertes généreusement, sans rémunération!» 
On retrouvait ainsi des gens originaires du Canada, de la France, du Brésil, de l’Équateur, de la Colombie, de l’Italie, du Togo, du Sénégal, pour ne nommer que ces pays. «On fait le tour du globe. Je crois qu’il nous manque seulement que l’Australie» , lance Mme Guilbault. 
<h3>Instaurer une tradition </h3>
Il s’agit d’une première mouture et on assure que l’événement reviendra l’année prochaine, au vu du succès généré. «Nous avons reçu un accueil extraordinaire de la part des citoyens et des commerçants. Notre objectif, en tant que comité, est de faire le pont entre les Québécois et les nouveaux Québécois. Ce genre de rencontre positive permet de lancer un mouvement, de créer un engouement et de tisser des liens durables entre les citoyens.» 
Plusieurs partenaires étaient présents lors du rendez-vous; entre autres, ABL Accès Accueil Action Basses-Laurentides, œuvrant auprès des nouveaux arrivants et de la diversité, et la Ville de Deux-Montagnes, représentée sur place par le maire, Denis Martin, ainsi que certains membres du conseil municipal. 
Pour plus de renseignements concernant le comité Diversité culturelle Deux-Montagnes, rendez-vous au [<a href="http://www.facebook.com/DiversiteculturelleDM" target="_blank" title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information" rel="noopener">http://www.facebook.com/DiversiteculturelleDM</a>].