Outre la rencontre avec Rony Nizard, docteur en science des aliments, qui a contribué à la guérison de son fils (voir autres textes), Mme Claessens raconte également comment le système médical actuel accompagne l’enfant dans sa condition, mais sans chercher à le guérir.
Cette mère de famille, qui est également enseignante et comédienne, y va de nombreuses recommandations. «En janvier 2009, mon mari a rencontré des spécialistes qui ont refusé de réévaluer William. La raison qui lui a été donnée a été celle-ci: même si on reconnaît qu’il n’est pas autiste, on ne peut reconnaître que la diète a marché et reconnaître que les diagnostics d’autisme se sont avérés erronés. Ce sont des choses que l’on n’est pas prêt à faire», relate Mme Claessens.
Invitée de marque
Évelyne Claessens sera invitée à relater son histoire de guérison, le 28 mars prochain à Rabat, au Maroc, au Congrès International des Traitements Biomédicaux pour le Spectre Autistique. Organisé par le Laboratoire Great Plains et l’Association Al Youssra pour le Soutien et l’Insertion des Autistes, ce colloque rassemblera plusieurs médecins et nutritionnistes qui mettront en avant-plan les nouvelles recherches sur l’autisme.
Aujourd’hui conseillère auprès de parents d’enfants autistes ainsi que conférencière, Évelyne Claessens tient à diffuser le message suivant: l’autisme n’est pas irréversible et l’on peut en guérir.
Un message d’espoir pour tous les autistes.