Signée MAYA.cc, une agence de communication spécialisée en environnement et qui affiche pignon sur rue à Sainte-Thérèse, la campagne vise à sensibiliser la population de la Rive-Nord aux bonnes pratiques en matière de recyclage. «On va bientôt vivre la problématique des guirlandes et lumières de Noël ou autres extensions électriques dans les bacs de recyclage», avance Grégory Pratte, directeur du développement des affaires chez MAYA.cc. Or, tous ces objets, une fois rendus au centre de tri, risquent de ralentir la chaîne de travail, briser les équipements ou pire encore, blesser les travailleurs. «Ce n&#8217;est pas compliqué, tout ce qui est long ne devrait pas se retrouver au recyclage. Dans le doute, on invite les gens à consulter le site Web de leur ville ou leur écocentre», indique M. Pratte.
Plateformes médiatiques
La campagne proposée se décline en plusieurs volets et se retrouve sur diverses plateformes médiatiques à la fois. D&#8217;abord sur Internet, par la mise en ligne d&#8217;une page Facebook et d&#8217;un site Web [PasDansTonBac.org], pour mieux gérer le contenu du bac de recyclage, puis sur les écrans des salles de cinéma Triomphe, Saint-Eustache et Carrefour du Nord (30 écrans au total), alors qu&#8217;une publicité de 15 secondes sera diffusée, et ce, avant chaque représentation. Enfin, la campagne s&#8217;affiche également sur les panneaux publicitaires situés en bordure de l&#8217;autoroute 15, à Blainville, de l&#8217;autoroute 40, à Sainte-Thérèse et de l&#8217;autoroute 40, à Repentigny.
Les villes de Blainville, Bois-des-Filion, Rosemère, Sainte-Anne-des-Plaines et Sainte-Thérèse, entre autres, figurent au nombre des villes participantes. Mentionnons que la campagne, qui s&#8217;échelonnera sur une période de deux semaines, est rendue possible grâce au soutien financier de Tricentris.
Un suivi des résultats de cette campagne sera publié dans le magazine 3Rve, édition de mars 2015.
Chaque année, Tricentris traite plus de 200 000 tonnes métriques de matières recyclables recueillies dans plus de 200 municipalités, ce qui en fait la plus importante entreprise de tri au Québec.

Lancement officiel de la campagne: Recyclez intelligemment!

Cet agrandissement avait été rendu nécessaire en raison de la hausse du devis scolaire (4 800 élèves) et d’une demande accrue du programme Sciences de la Nature et du Programme Techniques en Santé animale. Inaugurée en novembre 2011, en même temps que le nouveau Carrefour étudiant, le nouveau département de Théâtre et le nouveau centre sportif, l’aile Nature couvre une superficie de 4 395 mètres carrés et, outre les programmes cités plus haut, héberge aussi le département de biologie et trois laboratoires de chimie.
À l’époque, une analyse pointue des besoins considérables en équipements électriques et mécaniques avait débouché sur une demande d’accréditation LEED (Leadership in Energy and Environmental Design). Ce système d’évaluation est reconnu comme la marque internationale d’excellence pour les bâtiments durables dans plus de 132 pays.
À Lionel-Groulx, le CBDCa a donc évalué l’aménagement écologique du site, la gestion efficace de l’eau, l’énergie et l’atmosphère, les matériaux et ressources, la qualité des environnements intérieurs, l’innovation et le processus de design, autant d’éléments qui comportent une foule de déclinaisons qu’on retrouve en détail au [www.cagbc.org/leed/projectprofile_FR.aspx]. Une fois sur le site, il s’agit de taper le mot «Nature» dans l’espace réservé à la recherche par mots-clés pour trouver des informations complètes sur le projet.
Partant du constat que les bâtiments produisent jusqu’à 35 % de tous les gaz à effet de serre, 35 % des déchets d’enfouissement et 80 % de la consommation totale d’eau, le CBDCa suggère que les bâtiments durables produisent l’effet inverses tout en offrant un milieu de travail plus sain, notamment en vertu d’une meilleure ventilation et d’un plus grand apport de lumière naturelle. Les bâtiments durables, souligne-t-on, produisent moins de déchets, économisent l’énergie, consomment moins d’eau et stimulent l’innovation.

Collège Lionel-Groulx: Certification LEED pour l’aile Nature

Le plus récent de ces dons est un montant de 50 000 $ que M. Mathers a remis lui-même à la paroisse Saint-Eustache, le lundi 15 décembre dernier, lequel représente le dernier des cinq versements que celui-ci s’était engagé à verser en 2010 afin de défrayer les coûts de la restauration du jubé de l’église Saint-Eustache. Au total, c’est donc une somme de 250 000 $ que l’homme d’affaires aujourd’hui âgé de 86 ans a accordée pour ces travaux de restauration.
Auparavant, il avait contribué, par l’entremise de divers montants, à la réfection de la toiture de la salle Raymond, attenante à l’église Saint-Eustache, et à l’ensemble de la restauration intérieure et extérieure du bâtiment historique.
Au nom de tous les paroissiens et paroissiennes, et de tous ceux et celles qui, au fil des ans, continueront à apprécier la beauté des lieux, la coordonnatrice et présidente de la fabrique Saint-Eustache, Nycole Pepper, a profité du dévoilement de cette plaque et de cette remise de chèque pour remercier M. Mathers pour son indéfectible soutien financier.
«Depuis plus de 20 ans maintenant, je sais pouvoir compter sur la très grande générosité de Jean-Guy Mathers et de sa famille. Nous souhaitions, par cette plaque, leur exprimer notre reconnaissance afin que les générations à venir soient témoins de cette générosité», a‑t‑elle dit.
Pour sa part, Luc Bouchard, prêtre modérateur, a aussi voulu ajouter que la générosité du Groupe Mathers envers la paroisse Saint-Eustache dépasse même les murs de l’église. «Chaque année, durant le temps de Noël, des milliers de dollars sont remis en bons Mathers aux paroisses et à d’autres organismes pour venir en aide aux familles défavorisées de Saint-Eustache et de Deux-Montagnes», a‑t‑il pris soin de rappeler.
À cela s’ajoute également le soutien du Groupe Mathers à la campagne de financement majeure de la paroisse Saint-Eustache, dont M. Mathers est d’ailleurs le président d’honneur. Dans le cadre de cette campagne majeure, lancée au mois de novembre dernier, des billets ont été mis en vente, au coût de 5 $ chacun, pour le tirage, au mois d’avril prochain, d’une voiture de marque Kia. «L’entreprise Carrière St‑Eustache a offert 20 000 $ pour commanditer le tirage de cette voiture afin de ramasser des fonds pour les services offerts», a tenu à souligner Pierrette Savoie, présidente du comité de financement de la paroisse Saint-Eustache.
«Cette plaque bien ancrée sur les murs de notre église et témoin de votre générosité fait désormais partie de l’histoire de l’église patrimoniale de Saint-Eustache. Vous ne serez pas oublié!» a conclu Nycole Pepper sous le regard ému de M. Mathers.