Détenteur d’une maîtrise en géographie et d’un diplôme en administration de l’Université de Sherbrooke, M. Blanchette a débuté sa carrière dans l’enseignement à titre de chargé de cours à l’Université de Sherbrooke et dans différentes institutions collégiales.
Au cours des 25 dernières années, il a œuvré dans le développement économique régional d’abord en Estrie, ensuite dans la MRC de Montcalm située dans la région de Lanaudière, puis ces huit derniers mois au sein de la MRC de Deux-Montagnes, où il a été appelé à compléter la mise en place du nouveau Service de développement économique qui a fait place à l’ancien Centre local de développement (CLD) de la MRC de Deux-Montagnes.
<h3>Mettre en valeur la MRC</h3>
Pour une deuxième fois en un peu plus de huit mois, le conseil des maires de la MRC de Deux-Montagnes a donc souhaité la bienvenue à M. Blanchette dans ses nouvelles fonctions.
«Dans un esprit de concertation et d’ouverture, son équipe et lui apporteront leur collaboration, leur expertise et leur savoir-faire auprès des sept municipalités et des organismes du territoire afin de développer et mettre en valeur le plein potentiel et les richesses de notre belle MRC» , d’indiquer, dans un communiqué de presse publié au début de la semaine dernière, le préfet Denis Martin, également maire de Deux-Montagnes.

La MRC nomme un nouveau directeur général et secrétaire-trésorier

Ce programme vise à soutenir des projets pouvant contribuer, de diverses manières, à prévenir et à contrer les actes d&#8217;intimidation ainsi qu&#8217;à accroître l&#8217;aide offerte aux personnes victimes, aux témoins, aux proches et aux auteurs d&#8217;actes d&#8217;intimidation. Les présentations seront offertes en collaboration avec les deux organismes de justice alternative de la région des Laurentides.
Chacun a sa place s&#8217;adresse à tous les groupes d&#8217;aînés (club d&#8217;aînés, organismes représentant les retraités…) ainsi qu&#8217;aux aînés vivant dans divers milieux de vie tels que les offices municipaux d&#8217;habitation, les résidences privées, les résidences intermédiaires ou encore les OBNL d&#8217;habitation. Le programme s&#8217;adresse également à tout représentant d&#8217;organisme, responsable de résidence ou responsable des soins des lieux d&#8217;hébergement afin de les sensibiliser à la problématique de l&#8217;intimidation.
Un outil interactif
Le programme Chacun a sa place est un outil interactif visant à sensibiliser les aînés à la réalité de l’intimidation entre eux. Il favorise l’accompagnement, la recherche de solutions et propose des façons de faire pour ne plus vivre l’intimidation. Il se présente sous la forme de trois capsules vidéo traitant de l’intimidation sous des angles différents. Il répond efficacement à plusieurs questions, que vous soyez victime, témoin ou intimidateur. Un guide du participant contenant les ressources du territoire est remis à chaque personne présente.
Le volet 2 du programme intitulé &#8220;Chacun prend sa place&#8221; vise à conscientiser les aînés et leur entourage afin de faire cesser/diminuer les comportements conflictuels entre aînés et de les accompagner dans leurs démarches de résolution de conflits par le développement d&#8217;habiletés de communication. Par le biais d&#8217;ateliers interactifs, il s&#8217;agit de former et d&#8217;outiller les participants à mieux communiquer ensemble.
Si vous souhaitez recevoir une présentation gratuitement au sein de votre organisme ou dans votre résidence, contactez la TCRAL au 819 326-5657, poste 27 ou (<a href="mailto:tralaurentides@gmail.com">tralaurentides@gmail.com</a>).
&nbsp;

Soutien financier pour contrer l’intimidation auprès des aînés

Et s’il faut se fier aux témoignages livrés dans le cadre d’une conférence de presse tenue le mardi 21 mai dernier, cet objectif a été plus qu’atteint puisque 16 jeunes adultes au total, âgés de 18 à 30 ans, ont célébré la fin de leur participation à l’un des deux projets mis sur pied en marge de ce programme.
<h3>Un programme, deux projets</h3>
Dans le cas de la CCI2M, le programme offert, qui a pour nom «Choisis-toi, choisis les affaires» , a pour but de permettre aux participants de développer des projets d’entreprises et élaborer des plans d’affaires. En vertu d’un financement du gouvernement du Canada de 587 000 $ obtenu au mois d’avril 2018, la CCI2M encadrera donc 24 jeunes adultes âgés de 18 à 30 ans sur une période de deux années. Celle-ci se terminera avec une troisième et dernière cohorte de huit participants qui prendra son envol dès le mois d’août pour une période de 26 semaines.
Dans le cas du Grenier populaire des Basses-Laurentides, une entreprise d’insertion sociale située à Saint-Eustache, le projet appelé celui-là «Mode emploi» vise ultimement à permettre à 16 jeunes de la région âgés de 16 à 30 ans d’intégrer le marché du travail ou, en obtenant une certification de métier semi-spécialisé, de retourner aux études pour obtenir un diplôme d’études professionnelles (DEP). Ici, une subvention de l’ordre de plus de 300 000 $ annoncée au mois de février dernier vient soutenir la démarche du Grenier populaire auprès de ces jeunes. Une deuxième cohorte de huit participants a amorcé ses acticités début mai pour une durée, cette fois, de six mois.
Il est à noter que le programme Connexion compétences fait partie de la Stratégie emploi jeunesse (SEJ) et permet d’offrir un soutien financier à des organismes pour qu’ils appuient des jeunes à intégrer le marché du travail, mais aussi à faire la promotion de l’éducation et des compétences comme des éléments essentiels pour y arriver.
<h3>Sortir de sa zone de confort</h3>
Ayant elle-même annoncé l’octroi des deux subventions allouées par le ministère de l’Emploi, du Développement de la main-d’œuvre et du Travail du Canada à la CCI2M et au Grenier populaire des Basses-Laurentides, la députée fédérale de Rivière-des-Mille-Îles, Linda Lapointe, a participé à cette conférence de presse, tout comme des participants des cohortes des deux projets. Quatre d’entre eux ont d’ailleurs témoigné de leur expérience personnelle en mentionnant qu’il est possible, malgré les obstacles, «à avancer et à réussir» .
Pour sa part, la députée Linda Lapointe, également whip adjointe au gouvernement, s’est voulue inspirante, disant qu’il «faut sortir de sa zone de confort, parce que, parfois dans la vie, il faut aller en dehors de ce que nous sommes habitués de vivre pour nous permettre de nouveaux succès» .
Pour les jeunes adultes intéressés à participer au projet du programme Connexion Compétences de la CCI2M, il suffit de communiquer au 450 401-1991 puisque des places sont encore disponibles.
Pour ce qui est du Grenier populaire des Basses-Laurentides, que l’on peut joindre au 450 623-5891, une troisième cohorte pourrait voir le jour en décembre si, bien sûr, la subvention du gouvernement fédéral est renouvelée.