Il s’agit d’un évènement caritatif dont les profits sont versés à la Fondation Drapeau et Deschambault, un organisme voué à la cueillette de fonds servant à améliorer la qualité de vie des adultes en perte d&#8217;autonomie et qui sont hébergés aux Centres Drapeau-Deschambault, à Sainte-Thérèse, et Hubert-Maisonneuve, à Rosemère. Acquisition d’équipement spécialisé, financement du transport adapté et d’activités comme la musicothérapie, l’aquarelle ou la zoothérapie, voilà quelques-uns des services que rend la Fondation et dont la pérennité dépend toujours de la générosité des donateurs.
Vous voulez jouer?
Avec un objectif de 60 000 $, le succès de cette 20e édition est déjà assuré sur le plan participatif puisque 144 golfeurs y ont réservé leur place. Sachez toutefois que certains commanditaires VIP sont disposés à céder leur place sur le terrain, en échange d’une participation monétaire. Vous pourriez également contribuer à la mission de la Fondation en vous associant à l’évènement à titre de commanditaire régulier.
Pour plus d’information, veuillez communiquer avec Jacynthe Bertrand, coordonnatrice des évènements à la Fondation Drapeau et Deschambault, au 450-437-4276.

Lors de la dernière assemblée générale du SCFP (Syndicat canadien de la fonction publique), local 1619, tenue le 22 mai dernier, les employés municipaux «se sont munis d&#8217;un mandat de moyens de pression pouvant aller jusqu&#8217;à la grève», indique-t-on au SCFP, dans un scrutin secret où ils auraient voté à l’unanimité en ce sens.
Les employés à statut précaire
Une vingtaine de séances de négociations ont eu lieu depuis octobre 2012, pour le renouvellement du contrat de travail qui se terminait le 31 décembre dernier. Selon le Syndicat, «les négociations ne progressent pas assez rapidement. Les conditions de travail des membres à statut précaire sont notamment en jeu», indique le Syndicat canadien de la fonction publique, dans un communiqué de presse publié le vendredi 24 mai dernier.
«Jusqu&#8217;à maintenant, l&#8217;employeur a manqué d&#8217;ouverture, plus particulièrement à l&#8217;endroit de nos membres temporaires, à temps partiel ou occupant des emplois étudiants. Les conditions de travail des membres de ces groupes ont besoin d&#8217;améliorations», a fait valoir Richard Lanoue, président du syndicat, le SCFP 1619.
De son côté, Martin Kazmierczak, conseiller syndical au SCFP, exprime les tensions vécues par les employés qu’il représente: «Nos membres commencent à ressentir de la frustration et ont hâte de voir la situation débloquer. Le résultat du vote de moyens de pression le démontre. Il est surprenant que nous ne soyons pas encore parvenus à un règlement, d&#8217;autant plus que le régime de retraite n&#8217;est pas un enjeu majeur.»
Une possible entente
La partie syndicale estime tout de même qu’il serait possible d’en arriver à une entente sans mettre en pratique le mandat obtenu par ses membres. «Nous gardons espoir de conclure ce contrat de travail rapidement et sans avoir recours aux moyens de pression. Dans l&#8217;immédiat, nous allons donner une chance à la négociation», a poursuivi M. Lanoue.
Quelque 120 employés sont représentés par le syndicat dans cette négociation: les cols blancs de la Ville de Saint-Eustache (employés de bureau, employés de la bibliothèque, agents du Saint-Eustache Multiservice), les répartiteurs du 911 et les employés des services informatiques, de même que les sauveteurs.
Au moment d’écrire ces lignes, il n’avait pas été possible d’obtenir les commentaires de la Ville de Saint-Eustache.

Les cols blancs de Saint-Eustache votent pour des moyens de pression

«De plus en plus de personnes prennent un tournant vert. Nous avions beaucoup de demandes et un grand achalandage lors des deux collectes par mois que nous faisions avant. Maintenant, on offre le service tous les samedis jusqu’au 16 novembre, de 9 h à 13 h, sur un site permanent», a indiqué le maire de Saint‑Joseph-du-Lac, Alain Guindon.
Le nouvel écocentre accueillera donc les citoyens de la municipalité qui voudront se débarrasser de leurs résidus domestiques dangereux (RDD) ou du matériel informatique. Le samedi a été choisi comme journée, puisque cela facilitait l’accès au site pour les travailleurs. «C’est plus facile pour tout le monde», a ajouté M. Guindon.
Une fois les matériaux acheminés à l’écocentre, ils seront triés puis envoyés à des entreprises qui se chargeront de les récupérer et de les valoriser afin qu’ils ne se retrouvent pas dans les sites d’enfouissement.
Pour l’instant, les services offerts sont limités, mais la Municipalité promet que son objectif est d’élargir la gamme de matériaux que l’écocentre pourra recevoir. «Il va sans dire que la Municipalité ne compte pas en rester là puisqu’elle prévoit déjà, dans un futur rapproché, allonger la liste des matières résiduelles et faire de l’écocentre le carrefour des activités environnementales de la Municipalité», a précisé M. Lauzon.
Le nouveau service s’adresse bien évidemment en exclusivité aux Joséphois et les lieux n’admettent que les matières domestiques; celles issues d’activités industrielles, commerciales, institutionnelles et agricoles, comme les matériaux de construction, ne sont pas acceptées. La liste complète des matières résiduelles acceptées sur place est disponible sur le [www.sjdl.qc.ca], onglet <Citoyens>, section «Environnement»,puis Déchets dangereux.
En plus de l’ouverture de l’écocentre, un autre service est désormais offert aux citoyens de Saint‑Joseph-du-Lac. Il s’agit du déchiquetage de branches. Il sera désormais offert les deuxièmes et quatrièmes lundis de chaque mois, de mai à novembre, sauf en juillet où une seule journée sera offerte, soit le deuxième lundi.
Il s’agit d’un service déjà fort populaire et demandé, a expliqué M. Guindon. En effet, lors du premier lundi, ce sont 27 adresses qui ont pu bénéficier du service. «C’est aussi une façon de détourner les branches des ordures», a renchéri le maire, puisque bien souvent elles s’y retrouvaient.
Pour profiter du service, les Joséphois doivent s’inscrire auprès du Service des travaux publics au moins trois jours avant la date de la prochaine opération de déchiquetage. La première demi-heure est gratuite, souligne le maire, et le temps supplémentaire sera facturé à raison de 50 $ par tranche de 30 minutes complète ou non.
«Nous sommes heureux de faire de Saint‑Joseph-du-Lac une municipalité toujours plus verte!», a conclu M. Guindon.

Ouverture d’un écocentre à Saint-Joseph-du-Lac

La Classique des maires