Placé sous la présidence d’honneur de Neil Hawthorn, directeur général de la Caisse Desjardins de Saint-Eustache–Deux-Montagnes, ce spectacle-bénéfice est pour le moins important pour la Fondation Émile-Z.-Laviolette qui vient en aide, rappelons-le, à des enfants d’âge scolaire issus de famille à faible revenu de la région, par l’entremise de différents programmes d&#8217;aide alimentaire et de persévérance scolaire.
«Ce spectacle constitue la pierre angulaire des activités de financement de la Fondation. C’est la plus importante sur le plan monétaire», n’a pas caché le directeur général de l’organisme, Pierre Legault, lors d’une conférence de presse qui a réuni tout récemment plusieurs des partenaires qui ont accepté de s’associer à cette soirée pour en faire une grande réussite.
Combattre le décrochage scolaire
«Grâce à l’implication de tous ces gens, l&#8217;année scolaire 2017-2018 sera plus facile à traverser pour plus de 800 élèves du primaire et du secondaire. Il en est également de même pour plus de 125 familles à faible revenu, lesquelles enverront leurs enfants à l&#8217;école la tête haute, avec une boîte à lunch bien remplie sous le bras, ainsi qu’avec des effets scolaires comparables à leurs compagnons et compagnes de classe. Une bien belle façon de combattre le décrochage scolaire. En plus, l’année scolaire 2017-2018 sera bien bonifiée pour les écoles Curé-Paquin et des Perséide, puisqu’une centaine de leurs élèves bénéficieront du projet «Aide aux devoirs» dans le cadre de la réussite scolaire», a ajouté M. Legault.
Invité à dire quelques mots, le président d’honneur de ce spectacle-bénéfice, Neil Hawthorn, a rappelé que la Caisse Desjardins de Saint-Eustache–Deux-Montagnes est impliquée avec la Fondation Émile-Z.-Laviolette depuis maintenant 20 ans, et qu’au cours des cinq dernières années, c’est un montant de 108 000 $ qui lui a été versé.
«Je suis dans la région depuis cinq ans, et j’ai vite constaté l’importance qu’a la Fondation pour notre milieu. La présence d’autant de partenaires, ici ce matin, en est une preuve éloquente», a-t-il dit.
Le président de la Fondation Émile-Z.-Laviolette, René Goyer, a tenu, pour sa part, à remercier l’ensemble des partenaires de leur support: «C’est important de pouvoir compter sur vous, car, pour continuer notre mission, ça prend des sous». 
Notons, enfin, que ce spectacle sera présenté à la salle Le Zénith, à Saint-Eustache, et que des billets, en vente au coût de 125 $ chacun, sont toujours disponibles. Pour s’en procurer, il suffit de communiquer au 450 623-2112.

«Je suis extrêmement fier de la campagne que nous avons menée malgré plusieurs allégations, dont notre Parti a fait l’objet et la campagne de salissage que nos adversaires ont choisi de faire via les réseaux sociaux et certains sites politiques plutôt discutables», a souligné Jean Bouchard, chef du Parti Action Mirabel Équipe Bouchard.
Il a ajouté: «Notre souci de faire de la politique municipale de manière intègre, respectueuse et transparente a été respecté et nos rencontres avec les citoyens et citoyennes de Mirabel, ont d’ailleurs été très constructives. Notre défi étant de bien servir les citoyens, nous demeurons sensibles à toutes les demandes.»
Continuité
Le bilan de Action Mirabel Équipe Bouchard fait foi du désir ce cette équipe à bien diriger la Ville de Mirabel et les engagements présentés dans son programme s’inscrivent dans la continuité de ce que les membres de l’équipe ont amorcé en 2013. «Il reste encore beaucoup de travail à faire pour arriver à régler certains gros dossiers prioritaires sur lesquels nous n’avons cessé de travailler et nous comptons bien offrir à la population toute la compétence nécessaire pour l’avancement des dossiers collectifs liés à chacun des différents secteurs de Mirabel et continuer les discussions largement entamées en tenant les citoyens informés des avancements. Mirabel se développe rapidement et continue d’avoir un excellent potentiel pour grandir et offrir à ses citoyens les services auxquels ils s’attendent», ajoute M. Bouchard.
Pour bien servir la population, son équipe dynamique composée de gens expérimentés et de nouvelles recrues impliquées dans la société, est prête à relever le défi. Tout comme M. Bouchard, ce sont des gens à l’écoute des besoins

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«Qui dit communauté, dit services, ce qui sous-entend la nécessité de revoir l’organisation des services et le MCM a envisagé plus d’une solution à cet effet, tel que présenté dans son programme électoral», a indiqué Pierre-Paul Meloche.
Annie Vanden Abeele, candidate dans le district 1, veut offrir plus d’activités de proximité en mettant à contribution les ressources locales de même que les groupes et associations. Celle-ci pense notamment à la formule de jardin communautaire et à des aménagements paysagers comestibles.
Elle suggère aussi une politique de remboursement aux aînés des activités effectuées dans les villes voisines de même qu’un service de bibliothèque mobile pour personnes à mobilité réduite et la création d’un réseau d’entraide intergénérationnel.
Services à la communauté
Mario Legault, le candidat du district 5, souhaite réorganiser les services d’urgence afin d’améliorer l’efficacité et les délais d’intervention sur le territoire mirabellois. Il veut aussi multiplier les modérateurs de vitesse et accroître l’éclairage des rues et endroits publics.
Dans le même élan, le candidat Legault considère pressant de compléter la piste cyclable en reliant les tronçons actuellement entrecoupés dans les différents secteurs de Mirabel, ce qui permettrait à des centaines de citoyens de se déplacer à bicyclette.
Fortement préoccupée par le développement communautaire, la candidate du district 8, Haïdée Ouellet, juge urgent d’ajouter des logements sociaux avec services aux aînés dans sa ville, qui ne compte que 120 unités alors qu’au moins 300 unités supplémentaires seraient nécessaires. Mme Ouellet prône d’ailleurs l’adoption d’une politique d’habitation et d’inclusion du logement social.
Celle-ci propose également de revoir les conditions du financement de base des organismes communautaires qui est attribué par la Ville, en considérant leur mission. «Actuellement, il y a vraiment des inégalités dans la distribution du financement aux organismes. Il faut valoriser, promouvoir et soutenir ces organismes», observe-t-elle.
Une ville intelligente?
Le candidat dans le district 4, René Vachon, entrevoit pour sa part une façon originale d’établir le contact avec les citoyens. Il propose le concept de ville intelligente, soit la diffusion des séances du conseil municipal sur Internet en direct et en différé, de même que l’intervention en ligne des citoyens à la période de questions. «Et offrir une application pour téléphones intelligents établissant le contact direct avec l’élu de son secteur», affirme M. Vachon.
Corinne Guimont, qui est candidate dans le district 7, déplore l’approche centralisatrice qui règne actuellement à l’hôtel de ville. Celle-ci estime que les citoyens de Mirabel bénéficieraient d’une meilleure cohésion des services, à commencer par ceux pouvant être partagés avec les villes voisines, d’où la nécessité d’établir des partenariats.
«Seul, on va plus vite, mais ensemble, on va plus loin. Il faut sortir de la culture actuelle de travail en silo», souligne Mme Guimont.

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