«À l’approche des élections, je tiens à vous remercier de nous avoir accueillis chez vous. Je n’ai pas eu la chance de discuter avec tout le monde, mais je vous invite tous à faire entendre votre voix le moment venue», a-t-il d’abord affirmé.
Il a ajouté : «Vous m’avez parlé de la revitalisation du cœur de notre village, de transports en commun, des voies asphaltées, de l’entretien des fossés, des loisirs et des activités sportives pour nos jeunes et moins jeunes, de l’importance de vous écouter et de bien répondre à toutes vos demandes, et j’en passe. Je vous ai entendus. »
Bien servir les citoyens
Dans son optique, une municipalité devrait, tout comme une entreprise, être administrée dans le souci de bien servir sa clientèle, c’est-à-dire sa population, et de répondre à ses demandes et à ses préoccupations. «Toutes sont importantes aux yeux de ceux qui les expriment et toutes devraient être traitées avec la même attention. Bien sûr, les réponses ne peuvent pas toujours être favorables, mais je crois sincèrement que nous devrions toujours les communiquer d’une manière respectueuse et professionnelle.» 
Il a poursuivi ainsi : «Vous avez peut-être été témoins d’un volet plus sombre de cette campagne, centré sur des aspects négatifs et sur le dénigrement. Cela ne correspond pas du tout à mes valeurs, c’est pourquoi je me suis tenu à l’écart de cette guerre de mots, préférant mettre mon côté rassembleur et mon leadership au service de la mise en commun de nos forces et de nos idées. Cette formule nous a déjà permis, depuis quelques années, de nous mobiliser en grand nombre dans plusieurs dossiers. »
En juin 2014, les Okoises et Okois lui ont fait confiance. «Aujourd’hui, dit-il, je vous demande à tous, de me faire confiance à nouveau comme chef du conseil municipal et maire d’Oka avec une équipe forte en place.»
Pascal Quevillon conclut ainsi : «Le 5 novembre prochain, vous aurez à choisir qui vous représentera auprès de plusieurs instances gouvernementales et autres. Aujourd’hui, je vous offre des résultats et non des promesses électorales. Plusieurs gros dossiers ont avancé. Faites entendre votre voix afin de préserver cette belle continuité que nous vivons ensemble depuis les trois dernières années. »

«La responsabilité et la gestion d’une ville, dit-elle, ce n’est pas un passe-temps ou une lubie passagère, c’est une tâche complexe qui demande beaucoup de doigté et de connaissances. Je pense que les citoyens d’Oka sauront reconnaître les candidats qui ont le plus à offrir en la matière ».
Le fait d’être natif ou d’avoir un capital de sympathie n’est pas suffisant selon elle. Il faut aussi démontrer une feuille de route probante autant en gestion qu’en communication. «Le maire actuel est loin de maîtriser l’art de la communication et nous sommes à l’ère où les citoyens veulent comprendre, être écoutés, consultés et impliqués.  En plus, il a offert une fin de non-recevoir aux autochtones, donc on ne peut espérer une amélioration des relations sous sa gouverne.  Je ne le vois certainement pas comme étant la personne de la situation en 2017.»
«D’un autre côté, l’autre candidate féminine est enceinte de son 3e enfant qu’elle attend dans quelques semaines;  c’est très louable mais comment peut-elle réalistement croire qu’elle pourra jumeler son rôle de premier magistrat à celui de mère d’un bébé naissant et de 2 autres petits?», se questionne Julie Tremblay-C.
Elle ajoute : «J’ai bien peur que malgré ses bonnes intentions et sa soif de pouvoir, elle doive prendre un congé parental ou s’éloigner de ses fonctions de mairesse pendant au moins un certain temps, ce qui serait aussi bien normal pour le bien de son nourrisson.  Notre ville a de multiples projets et défis à relever, nous avons besoin de toute la disponibilité de son plus haut gestionnaire.  Déjà que l’autre candidate a très peu d’expérience en gestion, la ville risque de stagner pendant un bon moment pendant qu’elle apprend sur le tas et qu’elle jongle avec ses responsabilités personnelles. »
Différencier la personne et le rôle
Madame Tremblay-C. trouve important de différencier la personne et le rôle.  Elle explique qu’il ne s’agit pas d’évaluer la personnalité des individus mais plutôt de faire la part des choses quant au rôle qui est en jeu.  «On n’est pas là pour voter pour notre ami; on vote pour la personne qui va remplir une fonction sérieuse qui risque d’influencer le quotidien de notre famille pendant 4 ans.»
Tous les candidats sont de bonnes personnes mais ont-ils ce qu’il faut pour le rôle de maire; c’est la question à se poser, selon elle.
La ville d’Oka travaille avec un budget de plus de 6 millions de dollars, ne se classe pas parmi les meilleures au niveau de la gestion de ses avoirs, et ce, selon le palmarès des municipalités du Québec produit par HEC Montréal.) Avec tous les projets qui pointent, elle aura de grands défis en ce qui a trait à la mobilisation de ses ressources.
Elle termine ainsi: «Choisir Julie, c’est choisir la rigueur intellectuelle, une expérience professionnelle et personnelle pertinente et démontrée. C’est viser haut pour Oka et espérer rien de moins que le meilleur.  Choisir Julie, c’est la chance d’être entendu et de comprendre, c’est miser sur un futur brillant pour Oka, ses citoyens, ses familles, ses entrepreneurs, ses agriculteurs et ses ainés.»
Vous pouvez suivre sa campagne sur Facebook à l’adresse Julie Tremblay-C. – Pour l’amour d’Oka.

Élections à Oka: Julie Tremblay-C. compte sur le jugement des électeurs

Pour l&#8217;UMQ, les élections municipales 2017 marquent un tournant historique, étant les premières à survenir à la suite de la reconnaissance formelle des municipalités comme gouvernements de proximité. Pour les candidates et candidats, il s&#8217;agit d&#8217;une opportunité de mettre en lumière le rôle moderne et élargi des municipalités et pour la population, de contribuer à rendre la démocratie municipale encore plus dynamique et vivante.
Les décisions que prennent les élues et élus municipaux ont des impacts sur une foule de domaines, tels que l&#8217;environnement, les changements climatiques, le développement économique, la cohésion sociale, les loisirs, l&#8217;aménagement des parcs, la qualité de l&#8217;eau potable ou le transport. Les choix que feront les citoyennes et citoyens le 5 novembre prochain seront déterminants pour plusieurs aspects pour l&#8217;avenir des communautés.
L&#8217;UMQ se montre optimiste quant à la participation citoyenne le jour du scrutin. Les actions de l&#8217;Union à ce chapitre ont d&#8217;ailleurs porté leurs fruits, alors que plusieurs municipalités ont noté une hausse de la participation électorale lors du vote par anticipation. L&#8217;Union souhaite que cet élan se poursuive le jour du scrutin, notamment auprès de la relève. Rappelons que la campagne « Prends ta place et vote! », initiée par la Commission des jeunes élus et élues de l&#8217;UMQ, avait pour objectif d&#8217;encourager les jeunes âgés de 18 à 34 ans à voter lors des élections municipales 2017. Différentes actions de communication se poursuivront d&#8217;ailleurs jusqu&#8217;à dimanche en soirée dans les médias sociaux, entre autres par le biais de la page Facebook de la campagne et du mot-clic #PrendsTaPlaceEtVote.
«J&#8216;encourage les jeunes de toutes les régions du Québec à voter aux élections municipales. Voter demeure le meilleur moyen d&#8217;exprimer ses choix pour des milieux de vie et des services de proximité à notre image et qui correspondent à nos besoins. Le 5 novembre, prends ta place et vote!», de déclarer Émile Mailhiot, comédien et porte-parole de la campagne. 
Pour en savoir davantage sur le processus électoral, la population peut communiquer avec la présidente ou le président d&#8217;élection de leur municipalité ou encore visiter le site Web du Directeur général des élections du Québec (DGE), à l’adresse [<a href="https://electionsmunicipales.quebec">https://electionsmunicipales.quebec</a>].
La voix des gouvernements de proximité
Depuis sa fondation en 1919, l&#8217;UMQ représente les municipalités de toutes tailles dans toutes les régions du Québec. Sa mission est d&#8217;exercer, à l&#8217;échelle nationale, un leadership pour des gouvernements de proximité efficaces et autonomes et de valoriser le rôle fondamental des élues et élus municipaux.
Ses membres, qui représentent plus de 80 % de la population et du territoire du Québec, sont regroupés en caucus d&#8217;affinité : municipalités locales, municipalités de centralité, cités régionales, grandes villes et municipalités de la Métropole.

Élections à Oka: Pascal Quevillon est très fier de sa campagne