Ainsi, dans les dépenses, la MRC prévoit un montant de 842 195 $ à l’administration générale; 50 247 $ pour les membres du conseil; 333 839 $ pour la gestion financière et administrative; 178 009 $ pour la direction générale et l’administration; 36 300 $ pour les services techniques, professionnels et autres; 20 010 $ pour le transport et la communication; 61 900 $ pour la location, l’entretien et la réparation; 26 000 $ pour les biens durables; 450 000 $ pour l’évaluation; 84 405 $ pour la sécurité incendie; 80 000 $ pour l’hygiène du milieu; 1 474 666 $ pour l’aménagement, l’urbanisme et le développement; 164 407 $ pour l’aménagement et le développement du territoire; 175 000 $ pour le programme d’aide à la rénovation; 1 135 259 $ pour le développement local et le soutien à l’entrepreneuriat; 891 092 $ pour le développement local; 244 167 $ pour la Politique de la ruralité; 68 489 $ pour la culture et le patrimoine; pour un grand total des dépenses de 2 549 755 $. 
Dans les revenus, la MRC compte atteindre un grand total de 1 947 259 $. Tout d’abord, la confection du rôle d’évaluation rapportera 450 000 $; 354 956 $ pour les quotes-parts des municipalités au Centre local de développement (CLD); 536 136 $ du MDEIE; 191 109 $ pour les projets du Pacte rural; 20 000 $ pour le transport collectif; 25 000 $ pour la gestion des matières résiduelles; 45 000 $ pour les cours d’eau; 67 000 $ pour le programme d’aide financière du ministère des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire; 175 000 $ pour le Programme d’aide à la rénovation de la Société d’habitation du Québec; 20 000 $ pour la sécurité incendie; et 161 441 $ pour l’appropriation du surplus accumulé; pour un grand total des revenus de 1 947 259 $. 
Les quotes-parts
Pour les prévisions budgétaires de 2010, les quotes-parts des sept municipalités donneront des revenus de 441 055 $. Saint-Eustache déboursera 211 602 $ pour 48 %; Deux-Montagnes, 70 794 $ pour 16,1 %; Sainte-Marthe-sur-le-Lac, 66 121 $ pour 15 %; Pointe-Calumet, 23 373 $ pour 5,3 %; Saint-Joseph-du-Lac, 28 468 $ pour 6,5 %; Oka, 28 922 $ pour 6,6 %; et Saint-Placide, 11 775 $ pour 2,7 %. 
De plus, les sept municipalités verseront des quotes-parts pour le Conseil local de développement (CLD) de la MRC de Deux-Montagnes pour un total de 354 956 $. Pour les mêmes proportions que pour le budget de fonctionnement, Saint-Eustache devra payer 251 897 $; Deux-Montagnes, 31 797 $; Sainte-Marthe-sur-le-Lac, 29 698 $; Pointe-Calumet, 10 498 $; Saint-Joseph-du-Lac, 12 786 $; Oka, 12 990 $; et Saint-Placide, 5 289 $; pour un grand total de 354 956 $.

«La réponse du public est toujours aussi positive. Notre taux de vaccination sera d’environ 60 % (mi-décembre). Pour la plupart des clientèles, notre territoire affiche des taux de vaccination au-dessus de la moyenne québécoise. Nos résultats sont encore plus éloquents auprès des clientèles prioritaires. Environ 80 % des enfants âgés de 6 mois à 5 ans, 72 % des enfants de 5 à 11 ans et plus de 60 % de nos aînés et de nos femmes enceintes ont été vaccinés à ce jour», a indiqué, dans un communiqué de presse, émis mercredi dernier, le directeur général adjoint du CSSS du Lac-des-Deux-Montagnes, Christian Gagné. 
En date du 7 décembre dernier, ce sont près de 56 000 personnes qui avaient reçu le fameux vaccin. Avec un rythme estimé, en moyenne, entre 1 000 à 1 500 personnes à se présenter chaque jour au Centre de vaccination à Saint-Eustache, le CSSS du Lac-des-Deux-Montagnes en arrive donc à ce chiffre de 60 000 personnes vaccinées pour la mi-décembre. Pour l’ensemble du Québec, le taux de vaccination se situait, au 9 décembre, à 49,5 %. 
Se disant satisfait de ces résultats, M. Gagné a ajouté que le CSSS du Lac-des-Deux-Montagnes entend mettre les bouchées doubles au cours des prochains jours pour que le plus de gens possible soient vaccinés à temps pour les festivités du temps des fêtes qui approchent à grands pas, un moment plus propice à la propagation du virus, note-t-on. Une nouvelle campagne de promotion ayant pour thème On s’donne la main. On s’embrasse a incidemment été lancée ces derniers jours dans les médias afin de justement inciter les gens à se faire vacciner, si ce n’est déjà fait. Il faut, précisons-le, de 10 à 14 jours pour développer une immunité complète contre la grippe après avoir reçu le vaccin. 
Depuis la semaine dernière, mentionnons qu’il n’est plus nécessaire d’obtenir un coupon avant de se faire vacciner. Il suffit de se présenter directement au Centre de vaccination de Saint-Eustache, toujours situé au 565, boulevard Arthur-Sauvé. Toute la population peut maintenant se faire vacciner. Les nouvelles heures d’ouverture sont maintenant les suivantes: du lundi au vendredi, de 13 h 30 à 21 h, ainsi que le samedi et le dimanche, de 9 h 30 à 17 h. 
Enfin, le CSSS invite les gens à visiter régulièrement son site Web, à l’adresse www.moncsss.com, afin d’obtenir les plus récentes informations, surtout avant de se présenter à la Clinique de vaccination. On peut aussi consulter le Guide autosoins, déjà distribué dans chaque foyer et disponible sur le site Pandémie Québec, à l’adresse www.pandemiequebec.gouv.qc.ca .

Quelque 60 % de la population vaccinée à la mi-décembre

«Préparez-vous, soyez flexibles, adaptez-vous et, en troisième lieu, communiquez très bien et vigoureusement vos directives et vos informations», a expliqué le directeur des Services techniques du Centre de santé et de services sociaux (CSSS) du Lac-des-Deux-Montagnes, Michel Bordeleau, qui a souligné l’initiative du CLD. Dans le cas de la grippe A (H1N1), la vaccination est d’ailleurs fortement suggérée. 
Son collègue Martin Gagnon, adjoint au chef de l’administration de programme, direction de la Clientèle première ligne et santé mentale, responsable du volet psychosocial en sécurité civile, ajoute pour sa part que «lorsque nous somme touchés par une tragédie ou un sinistre, il est possible qu&#8217;il y ait des réactions émotives (colère, tristesse, peur, angoisse). Nos réactions sont normales, c&#8217;est la situation qui ne l&#8217;est pas!» L’information, l’organisation et l’entraide sont la base d’un bon processus. 
Le directeur adjoint de la Sécurité incendie et coordonnateur des mesures d’urgence à la Ville de Saint-Eustache, Charles de Rouville, estime quant à lui que «les commerces et industries qui ont un plan de sécurité incendie, un plan de mesures d’urgence et un plan de continuité des opérations sont plus aptes à faire face à un éventuel sinistre et de redémarrer les opérations avec un minimum de temps d’arrêt». Selon lui, l’aspect des communications est l’un des points importants à bien maîtriser. La Ville a prévu un plan particulier d’intervention pour la pandémie en plusieurs étapes. 
Par ailleurs, des normes précises s’appliquent quant à la gestion des ressources humaines en lien avec la grippe A (H1N1) et les droits et obligations des employeurs et des employés. Des représentants de la Commission des normes du travail du Québec et du ministère du Développement économique, de l&#8217;Innovation et de l&#8217;Exportation en ont expliqué les détails, et on peut obtenir de l’information sur leurs sites Internet. «L’éventualité d’une pandémie d’influenza cet automne pourrait obliger certains salariés à s’absenter du travail parce qu’ils sont malades ou qu’ils doivent s’occuper de leurs enfants ou de leurs proches parents. Il existe des dispositions à la Loi sur les normes du travail afin de permettre aux salariés de s’absenter pour cause de maladie ou pour remplir des obligations liées à la famille», explique-t-on à la Commission des normes du travail. 
Le CLD estime que «grâce à ce moment d’échange et de réflexion, les grands employeurs et décideurs de la MRC de Deux-Montagnes ont suffisamment d’information pour entamer et réaliser un plan de continuation». 
À noter que des présentations multimédias de chacun des conférenciers sont disponibles dans la section <Outils (médiathèque)> du site Web du CLD, au www.clddm.com .

Une séance d’information pour les entrepreneurs de la région

Des prévisions budgétaires de 2 549 755 $