«Quel plaisir de me retrouver devant vous à Lachute, dans le grand comté d’Argenteuil-Papineau-Mirabel. Chaque fois que je me retrouve dans une salle parmi des libéraux, je me sens en famille. Et pour la première fois de ma vie, j’ai l’honneur de m’adresser à vous, ma famille libérale, en tant que candidat», a mentionné le candidat du PLC.
Jeune comptable tout frais diplômé, Daniel Fox est un visage connu des militants du Parti libéral d’Argenteuil-Papineau-Mirabel. Âgé de 25 ans, il est le fils de l’ancien député et ministre libéral, Francis Fox, nommé sénateur par la suite. «De Thurso à Mirabel, du nord au sud, c’est un comté dont les intérêts sont négligés depuis trop longtemps. Il pourrait en être autrement si on ose prendre le parti du changement», a soutenu le nouveau candidat libéral.
Pourquoi être candidat au poste de député? Né dans une famille où la politique a toujours joué un rôle important, il semble que Daniel Fox a toujours entretenu le rêve d’être candidat pour le PLC. «J’ai toujours voulu être candidat. Quand j’étais plus jeune, je voyais mon père et ça m’a donné mon inspiration», a poursuivi le nouveau candidat.
Qui est Daniel Fox? Résidant de Montréal, il détient un diplôme en comptabilité publique de l’Université McGill. Au cours de ses études, il s’est impliqué dans la mise sur pied d’une franchise, Collège Pro, dont il a mérité l’attribution de la Franchisé Grand Succès, en 2004. «C’est dans les comtés bloquistes actuels que la lutte électorale va se jouer. Des comtés comme ici feront la différence pour l’élection d’un gouvernement libéral», a estimé Daniel Fox.
«C’est ensemble que nous allons relever le défi de reconquérir le comté. L’historique des dernières élections démontre qu’il y a des entraves sur notre chemin. Vous savez comme moi que le comté mérite mieux, mérite beaucoup mieux, que d’être représenté au fédéral par un parti qui n’est pas en mesure de prendre action, un parti incapable d’agir pour apporter les changements qui auront un impact sur la vie économique et sociale du comté. Et ça fait 17 ans que ça dure», a dit M. Fox.
Dans les prochaines semaines, le nouveau candidat a l’intention d’aller à la rencontre des acteurs de la circonscription électorale afin de connaître leurs préoccupations. «Il nous faut un parti au pouvoir qui prend des actions concrètes pour parer à la crise économique, un parti au pouvoir qui fait du développement régional une réalité et non un sujet de discours», a conclu M. Fox.