Une bonne partie de cette production se retrouvera incidemment sur les tablettes de la Société québécoise du cannabis (SQDC) d&#8217;ici la fin de l&#8217;année 2019. Plus de détails à venir&#8230;

C’est le lundi 11 février, dans une salle du Centre d’excellence Sports Rousseau, de Boisbriand, que les députés de Rivière-des-Mille-Îles et de Thérèse-De Blainville, Linda Lapointe et Ramez Ayoub, furent confirmés à titre de candidats libéraux en prévision des élections fédérales qui se dérouleront à l’automne prochain, soit le 21 octobre 2019.
Plusieurs membres et sympathisants du Parti libéral du Canada étaient présents afin de rencontrer les candidats et élus sortants et locaux. Le ministre du Patrimoine canadien et du Multiculturalisme, Pablo Rodriguez, a d’ailleurs ouvert la période des discours, vantant d’une part le bilan des siens et d’autre part la qualité de ses collègues, eux qui sollicitent un deuxième mandat à la Chambre des communes, à Ottawa.
«En 2015, nous avons bâti une équipe qui souhaitait changer le cours des choses et nous avons accompli beaucoup depuis la dernière élection. Nous avons investi de l’argent pour nos enfants, dans nos infrastructures, pour nos transports en commun, pour nos aînés. Nous avons abaissé l’âge de la retraite. Nous avons mis un prix sur la pollution pour l’avenir et les générations futures. Nous avons réalisé les plus grands investissements en culture des pays du G7» , déclare le ministre devant les convives, écorchant au passage, et entre autres, les conservateurs d’Andrew Scheer.
«Lorsqu’on regarde l’ancien gouvernement sous Harper, on parle de coupures, d’un discours de division et rien au niveau de l’environnement. Mais quelle est la différence avec Andrew Scheer? C’est la même chose, c’est un retour dans le passé.»
<h3>Le plaisir d’être sur le terrain</h3>
Les candidats de Rivière-des-Mille-Îles et de Thérèse-De Blainville ont par la suite pris la parole à tour de rôle, en marge d’applaudissements du public.
«Nous avons fait beaucoup de chemin depuis 2015 et j’en suis très fière. Je suis fière d’avoir pris part à ce changement et d’être votre voix à Ottawa et auprès du gouvernement. Nous travaillons avec notre communauté, avec les organisations, en collaboration avec d’autres paliers de gouvernance. Je souhaite poursuivre ce travail» , lance d’une part Linda Lapointe, femme d’affaires, issue plus précisément du secteur de l’alimentation.
«En tant qu’élus, nous sommes votre voix, vos représentants, ceux qui amènent les défis à Ottawa, au gouvernement. Être un élu, c’est d’être près de vous» , lance à son tour Ramez Ayoub, lui qui, rappelons-le, n’en est pas à sa première expérience en politique. Il fut conseiller municipal, puis maire de Lorraine.
«Lorsque je rencontre mes concitoyens, je suis un homme heureux. Ça me motive, c’est une belle dose d’énergie qui sert à poursuivre le travail. Je suis un gars de terrain qui aime être près des gens, prendre conscience des manques à améliorer. Nous sommes présents ici, dans la région, pour vous, pour rester connecter à votre réalité et pour répondre à vos besoins. Nous souhaitons poursuivre sur cette lancée» , de conclure l’élu sortant, avant d’appeler les gens présents à la mobilisation pour ravir, de nouveau, les deux comtés que sont Rivière-des-Mille-Îles et Thérèse-De Blainville.
D’ailleurs, Mirabel, Terrebonne et Rivière-du-Nord, trois circonscriptions appartenant aux bloquistes, ont été mentionnées en conclusion de son discours. Elles figurent bien sûr dans la ligne de mire des libéraux en vue de la prochaine élection d’octobre 2019.
«Faisons en sorte d’élire plus de députés libéraux qui seront au gouvernement, pour prendre de bonnes décisions» , de déclarer, en ce sens, M. Ayoub.

Linda Lapointe et Ramez Ayoub sollicitent un second mandat 

En effet, en vertu du Programme sur la redistribution aux municipalités des redevances pour l’élimination des matières résiduelles du gouvernement du Québec, la Municipalité a reçu en 2018 plus de 80 000 $ en redevances, offertes aux municipalités assurant la gestion des matières résiduelle avec efficacité et rigueur. En fait, plus une municipalité évite d’enfouir, plus sa redevance est élevée.
Performance notable 
Pour 2018, la redevance accordée à Saint-Joseph-du-Lac est 33 % plus élevée que la moyenne du groupe auquel elle est associée. Par rapport à 2017, on constate une augmentation de 5,5 % du montant octroyé.
Plus impressionnant encore, depuis 2014, le montant accordé à la performance municipale joséphoise a quasi doublé, passant de quelque 44 000 $ en 2014 à plus de 80 000 $ en 2018.
«En 2015, le conseil municipal a adopté une politique environnementale quinquennale dont l’un des principaux objectifs concernait la réduction des matières enfouies. Dans cette volonté, de nombreuses mesures ont été mises en place, et force est de constater que nos citoyens font grandement leur part. Je suis fier que notre ville soit toujours de plus en plus verte», a déclaré le maire Benoit Proulx.
Plus de services sans coût supplémentaire 
Les sommes reçues ont été réinvesties dans une bonification de l’offre de services de la Municipalité en lien avec la gestion des matières résiduelles, et ce, sans coût supplémentaire pour les contribuables.
De ce fait, la Municipalité peut offrir un service de déchiquetage des branches sans frais pour les 30 premières minutes, ainsi qu’un service de traitement et de conditionnement des matériaux secs sans frais pour les deux premiers mètres cubes par visite à l’écocentre. Des collectes spéciales de pneus, de sapins et de feuilles mortes ont également été ajoutées au calendrier ces dernières années. Depuis janvier 2019, la Municipalité a fait des changements majeurs en adoptant la collecte mécanisée, en plus d’augmenter de manière significative le nombre de collectes d’encombrants, passant de deux en 2017 à huit en 2019.

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