«Quand vient le temps de défendre le Québec, Justin Trudeau n’a qu’un mot à la bouche: non! Le plus fédéraliste des premiers ministres, Philippe Couillard, demande des ajustements constitutionnels, c’est non. Le ministre de la Culture du Québec demande que la ministre Mélanie Joly annule une décision du CRTC qui pénalise notre industrie culturelle, encore non. Le Québec voulait qu’Ottawa nomme des juges pour accélérer le processus judiciaire, la réponse c’est encore et toujours non», fait valoir M. Fortin.
Son collègue, Simon Marcil, ajoute que le gouvernement Trudeau «tranche systématiquement du même côté, celui des banques de Toronto». Il rappelle à cet effet que le Bloc Québécois a réussi à faire reculer les libéraux dans le dossier de la loi C-29, qui aurait soustrait les banques à l&#8217;application de la Loi sur la protection du consommateur du Québec.
«Il n’a pas fallu beaucoup de temps avant que le gouvernement libéral contre-attaque avec un nouveau cadeau pour les banques: la banque des infrastructures, soutient-il toutefois. Déjà, nous étions contre l’idée même de privatiser nos infrastructures. En plus, les 40 députés libéraux du Québec n’ont pas fait le poids face au lobby des banques qui voulait que la banque soit à Toronto. Et comble de l’arrogance, le Bloc Québécois a découvert que les projets d’infrastructures de la banque seront au-dessus des lois québécoises.»
De son côté, le leader en Chambre du Bloc Québécois et député de Joliette, Gabriel Ste-Marie, rappelle le travail effectué par le parti dans le dossier du bois d’oeuvre et de la lutte contre le crime organisé, notamment.
«De nombreux défis restent à venir, la signature d’un nouveau traité avec les États-Unis en est un majeur. Nous avons lutté pour la protection de l’intégralité du système de gestion de l’offre tout au long de la session parlementaire et nous ne lâcherons jamais», renchérit-il.

Le prix Plume de bronze lui a été attribué pour la mise sur pied de la Journée de l’environnement 2016, sur les thèmes de l’agriculture urbaine et du gaspillage alimentaire. L’événement a d’ailleurs connu un véritable engouement auprès de la population, attirant près de 800 personnes à la bibliothèque Guy-Bélisle.
Soulignant l’originalité de la thématique et la qualité du dossier, l’ACMQ a remis le prix à Annie Daoust, directrice adjointe au Service des communications et des relations avec les citoyens et responsable du projet, lors d’une cérémonie tenue à l’hôtel Hyatt Regency à Montréal, en mai dernier. Mme Daoust a chapeauté le projet, auquel se sont joints des collaborateurs issus de plusieurs services de la Ville : Environnement, Bibliothèque, Travaux publics, Animation communautaire et Communications.
« Depuis la première édition de la Journée de l’environnement en 2009, l’événement a évolué et nous n’avons cessé d’y apporter des améliorations pour répondre aux besoins des citoyens, tout en atteignant nos objectifs de sensibilisation sur des questions environnementales », a mentionné Mme Isabelle Lefebvre, conseillère municipale et présidente du Comité de l’environnement et de l’embellissement.
« Nous sommes très heureux de voir que cette formule est reconnue par des pairs professionnels de la communication. Même si, somme toute, c’est la participation du public qui est la plus belle reconnaissance que nous puissions avoir », a ajouté M. Pierre Charron, maire de Saint-Eustache.
Rappelons que les Plumes d&#8217;excellence de l&#8217;ACMQ visent à souligner le savoir-faire des professionnels de la communication municipale et paramunicipale, en plus de favoriser l&#8217;essor de la profession à travers le Québec. Un jury indépendant a attribué trois prix, soit bronze, argent et or, dans chacune des catégories: Événements, Campagnes, Nouveaux médias, Publications, selon la grandeur des municipalités.
La Journée de l’environnement est une initiative du Comité des communications et des relations avec les citoyens et du Comité de l’environnement et de l’embellissement de la Ville de Saint-Eustache.

Un prix d’excellence pour le Service des communications de Saint-Eustache

Ces derniers sont exposés sur la promenade Paul-Sauvé, où bon nombre de cyclistes et de piétons circulent quotidiennement. Sur le thème « Saint-Eustache en couleurs », l’exposition permet de découvrir Saint-Eustache sous de nouveaux angles, parfois inusités, mais toujours séduisants.
Entouré de photographes ayant participé au concours, le maire de Saint-Eustache, M. Pierre Charron, a déclaré : « Merci d’être venus assister à ce vernissage qui permet de mettre à l’honneur votre talent de photographe. Nous sommes chanceux, à Saint-Eustache, d’avoir un bassin artistique si dynamique et effervescent. Je vous encourage à continuer de participer au concours pour notre plus grand plaisir visuel! ».
Pour sa part, la présidente du Comité des communications et des relations avec les citoyens, Mme Nicole Carignan-Lefebvre, a profité de l’occasion pour inviter les citoyens à participer au prochain concours pour illustrer le calendrier municipal 2018 : « Comme vous le savez sûrement, ce concours est réservé exclusivement aux résidents de Saint-Eustache et l’édition 2018 aura pour thème &#8220;Saint-Eustache dans l’ombre et la lumière&#8221;. Tous les détails figurent sur notre site Internet, le saint-eustache.ca, mais pour l’instant, vous n’avez qu’à retenir la date limite de participation qui est le dimanche 20 août. Nous avons déjà hâte de voir vos clichés qui, nous l’espérons, seront encore nombreux et d’une grande qualité. » a-t-elle dit.
Mentionnons enfin que l’exposition est réalisée en collaboration avec le Comité de revitalisation du Vieux-Saint-Eustache et s’inscrit dans le cadre du projet « Espace partagé ».
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Bilan de la session parlementaire: les bloquistes critiquent le gouvernement Trudeau