Des gestes simples
Tout le monde est concerné par le respect des règles de sécurité, que l’on soit un conducteur ou un élève. Malgré tous les efforts reliés à la prévention, encore aujourd’hui, les policiers sont témoins régulièrement d’infractions en zones scolaires.
Voici un rappel de gestes simples qui font une grande différence: ralentir et réduire la vitesse du véhicule en zones scolaires, en présence d’autobus et dans les cours d’école; se rappeler que la chaussée glissante, l’accumulation de neige et le vent peuvent nuire à la visibilité des automobilistes et des marcheurs; stationner son véhicule dans une zone permise et marcher avec son enfant au lieu d’entrer avec son véhicule dans la zone de débarcadère d’autobus ou le stationnement du personnel; se préparer à arrêter dès que l’autobus scolaire active ses quatre feux jaunes; arrêter complètement son véhicule à plus de cinq mètres de l’autobus lorsqu’elle active ses feux rouges et son panneau d’arrêt.
Poursuite d’une étroite collaboration
Rappelons que les membres du comité Partenariat Policiers-CSSMI ont répondu à une nouvelle obligation légale (Loi sur l’instruction publique) en signant une entente relative à l’intervention policière dans les établissements, notamment pour la prévention et les enquêtes lors de situations d’urgence ou de signalements. Ainsi, les différents partenaires s’engagent à collaborer pour assurer la protection et le bien-être des élèves et de l’ensemble du milieu scolaire.
Les ententes conclues par la CSSMI avec les services policiers de son territoire ont en fait officialisé ce qui se vivait déjà au quotidien dans les établissements: qualité des communications; respect des rôles, des responsabilités et des obligations pour chaque partenaire; compréhension commune des contextes de prévention, d’intervention et d’urgence. Il en est de même pour la gestion des actes d’intimidation et de violence dans le cadre scolaire qui doit se faire en concertation avec les partenaires.
MOTS-CLÉS
autobus
zones scolaires
conduite sécuritaire