L’ancien numéro 18 de l’Armada, Pierre-Luc Dubois, était de passage au Centre Bell, mardi, pour affronter le Canadien de Montréal, et ainsi disputer son 19e match dans la Ligue nationale de hockey. 
Bien qu’il donne ses premiers coups de patin dans le meilleur circuit de hockey au monde, l’attaquant de 6 p 3 garde à l’œil ses anciens coéquipiers. 
«J’ai vu récemment que l’équipe était au deuxième rang à un point de la tête, a-t-il lancé. Ils ont une bonne équipe. J’ai justement soupé avec des gars hier (lundi).» 
Quelques anciens coéquipiers étaient au match de mardi, dont Charlie Roy, qui attendait son ami dans l’endroit réservé aux proches des équipes adverses. 
<h3>Aider l’équipe</h3>
Celui qui porte également le numéro 18 avec les Blue Jackets de Columbus est conscient qu’il est toujours en période d’apprentissage surtout que depuis quelques matchs, il évolue au centre du troisième trio. 
«C’est plus de responsabilités et j’apprends à chaque match, voire à chaque présence.» 
Il était d’ailleurs sur la glace lors du premier but des siens, mardi, soit l’œuvre de Josh Anderson. 
Son entraîneur John Tortorella semble lui vouer une belle confiance puisqu’avec moins d’une minute à faire et le pointage égal de 1-1, Dubois était sur la patinoire. 
«C’est une belle marque de confiance, en effet. Ça va de mieux en mieux pour notre trio» , a-t-il indiqué. 
<h3>Briser la glace rapidement</h3>
Marquer un premier but dans le circuit Bettman peut prendre du temps pour certains joueurs, mais Pierre-Luc Dubois s’est enlevé cette pression dès son premier match en déjouant Thomas Greiss, des Islanders de New York. 
Il a enfilé son deuxième, le 7 novembre, contre les Predators de Nashville, en soutirant le disque à PK Subban, avant de s’échapper devant Pekka Rinne. 
Il a, de plus, récolté deux mentions d’aide pour un total de quatre points. 
<h3>En pension chez David Savard</h3>
Quand Pierre-Luc Dubois a appris qu’il allait passer le reste de la saison avec les Blue Jackets, il n’a pas vraiment eu à quitter l’hôtel pour s’installer dans un appartement puisque le jeune homme de 19 ans habitait en pension chez David Savard. 
Savard est de huit ans son aîné et habite avec sa conjointe avec qui il a deux enfants, dont il s’occupe de temps en temps. 
«C’est parfait pour moi, ils sont super avec moi, a-t-il lancé. Avec David, j’apprends à vivre comme un professionnel.» 
Savard s’est établie comme défenseur régulier avec les Blue Jackets en 2013-14, après deux années où il a joué dans a Ligue américaine et dans la Ligue nationale. 
En se retrouvant sur la troisième ligne des Blue Jackets, il serait surprenant que sa formation le prête à l’équipe canadienne junior pour le Championnat du monde hockey junior.

Pierre-Luc Dubois s’intéresse aux activités de l’Armada

On entend de plus en plus parler, dans le sport, des dangers liés aux commotions cérébrales, surtout lorsque celles-ci se produisent à répétition. Footballeurs, hockeyeurs ou même cheerleaders, personne n’est vraiment à l’abri. Récemment implantée à Boisbriand, au Centre d’excellence Sports Rousseau, la clinique Axone se spécialise dans leur traitement. 
«La commotion cérébrale est une tempête électrique dans le cerveau. Et tant que la tempête n’a pas diminué, la victime ne peut retourner au jeu, car si elle reçoit un 2e coup, celui-ci viendra amplifier les symptômes.» 
Cette affirmation, elle est du Dr Normand Martin, l’un des médecins spécialistes de la clinique Axone. C’est à lui, ou à ses collègues Dr Pierre Tessier et Dr Stéphane Boileau, qu’incombe la tâche d’autoriser les patients qui ont subi une commotion à reprendre une vie normale. Comme il l’a indiqué, le défi majeur que présentent les commotions cérébrales à l’heure actuelle, c’est d’en faire le diagnostic. Heureusement, des recherches sont réalisées et des progrès significatifs ont été recensés. 
«Avant, on pouvait garder un patient victime d’une commotion cérébrale couché pendant deux semaines, dans le noir, avec des lunettes, alors qu’aujourd’hui, il faut le faire bouger. D’où l’importance d’avoir à sa disposition une équipe multidisciplinaire, comme nous avons ici chez Axone» , a indiqué Dr Martin. 
<h3>Une équipe complète</h3>
La clinique Axone se trouve au 2e étage du Centre d’excellence Sports Rousseau, à deux pas de la salle de conditionnement physique, à l’intérieur du Centre Évolution. S’y côtoient physiothérapeutes, ergothérapeutes, kinésiologues, psychologues, ostéopathes, neuropsychologues, optométristes et médecins. Ceux-ci ont un point en commun: ils sont tous spécialement formés dans la gestion des commotions cérébrales. 
Parmi ces spécialistes en la matière, Joëlle Robichaud-Dion, physiothérapeute, en connaît beaucoup sur le sujet, elle qui en a fait sa spécialité. D’ailleurs, depuis dix ans, elle se tient sur les lignes de côté lors des matchs de football des Nordiques du collège Lionel-Groulx, prête à intervenir. 
«Ce qu’on dit, a mentionné Mme Robichaud-Dion, ce n’est pas de ne plus faire de sport de contact, mais que si l’on est victime d’une commotion, il faut la traiter pour éviter les séquelles. Une commotion, ça peut arriver à n’importe qui. L’une de mes patientes a reçu une étagère sur la tête et ça fait trois mois qu’elle est étourdie.» 
«Nous avons toujours fait de la médecine sportive, de renchérir Bruno Forest, propriétaire des centres Évolution et de la clinique Axone, mais on s’est vite rendu compte qu’il n’y avait pas tant de ressources accessibles aux sportifs ou aux victimes d’accidents qui subissaient une commotion cérébrale, de là la nécessité de créer une telle clinique.» 
Bien qu’elle soit située dans la bâtisse de l’Armada de Blainville-Boisbriand, un club de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ), celle-ci est accessible à toutes les victimes de commotion cérébrale. Pour en savoir plus: [<a href="http://cliniqueaxone.ca" target="_blank" title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information">http://cliniqueaxone.ca</a>].

Axone se consacre à la gestion des commotions cérébrales

On entend de plus en plus parler, dans le sport, des dangers liés aux commotions cérébrales, surtout lorsque celles-ci se produisent à répétition. Footballeurs, hockeyeurs ou même cheerleaders, personne n’est vraiment à l’abri. Récemment implantée à Boisbriand, au Centre d’excellence Sports Rousseau, la clinique Axone se spécialise dans leur traitement. 
«La commotion cérébrale est une tempête électrique dans le cerveau. Et tant que la tempête n’a pas diminué, la victime ne peut retourner au jeu, car si elle reçoit un 2e coup, celui-ci viendra amplifier les symptômes.» 
Cette affirmation, elle est du Dr Normand Martin, l’un des médecins spécialistes de la clinique Axone. C’est à lui, ou à ses collègues Dr Pierre Tessier et Dr Stéphane Boileau, qu’incombe la tâche d’autoriser les patients qui ont subi une commotion à reprendre une vie normale. Comme il l’a indiqué, le défi majeur que présentent les commotions cérébrales à l’heure actuelle, c’est d’en faire le diagnostic. Heureusement, des recherches sont réalisées et des progrès significatifs ont été recensés. 
«Avant, on pouvait garder un patient victime d’une commotion cérébrale couché pendant deux semaines, dans le noir, avec des lunettes, alors qu’aujourd’hui, il faut le faire bouger. D’où l’importance d’avoir à sa disposition une équipe multidisciplinaire, comme nous avons ici chez Axone» , a indiqué Dr Martin. 
<h3>Une équipe complète</h3>
La clinique Axone se trouve au 2e étage du Centre d’excellence Sports Rousseau, à deux pas de la salle de conditionnement physique, à l’intérieur du Centre Évolution. S’y côtoient physiothérapeutes, ergothérapeutes, kinésiologues, psychologues, ostéopathes, neuropsychologues, optométristes et médecins. Ceux-ci ont un point en commun: ils sont tous spécialement formés dans la gestion des commotions cérébrales. 
Parmi ces spécialistes en la matière, Joëlle Robichaud-Dion, physiothérapeute, en connaît beaucoup sur le sujet, elle qui en a fait sa spécialité. D’ailleurs, depuis dix ans, elle se tient sur les lignes de côté lors des matchs de football des Nordiques du collège Lionel-Groulx, prête à intervenir. 
«Ce qu’on dit, a mentionné Mme Robichaud-Dion, ce n’est pas de ne plus faire de sport de contact, mais que si l’on est victime d’une commotion, il faut la traiter pour éviter les séquelles. Une commotion, ça peut arriver à n’importe qui. L’une de mes patientes a reçu une étagère sur la tête et ça fait trois mois qu’elle est étourdie.» 
«Nous avons toujours fait de la médecine sportive, de renchérir Bruno Forest, propriétaire des centres Évolution et de la clinique Axone, mais on s’est vite rendu compte qu’il n’y avait pas tant de ressources accessibles aux sportifs ou aux victimes d’accidents qui subissaient une commotion cérébrale, de là la nécessité de créer une telle clinique.» 
Bien qu’elle soit située dans la bâtisse de l’Armada de Blainville-Boisbriand, un club de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ), la clinique est accessible à toutes les victimes de commotion cérébrale. Pour en savoir plus: [<a href="http://cliniqueaxone.ca" target="_blank" title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information">http://cliniqueaxone.ca</a>].