Réalisées au coût de 5,2 millions de dollars, les nouvelles installations ont également faits l’objet de subventions, notamment 1,5 million de dollars, provenant du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, 54 000 $ de l’Agence de l’efficacité énergétique, dans le cadre de son programme OPTER et 196 000 $ d’Hydro-Québec.
Un aréna «vert»
Tout ceci aura permis, insiste-t-on, la construction d’un aréna parmi les plus «verts» au Québec. «Pas à 100 % pour la simple raison que le toit n’est pas vert», précise M. Meilleur. Mais une bâtisse qui se démarque par ses économies énergétiques, tant dans sa construction (par exemple dans le choix de ses luminaires et des matériaux utilisés) que dans son entretien (les surfaceuses, communément appelées Zamboni fonctionnent à l’électricité).
Ajoutons que le nouvel aréna dispose d’une patinoire réglementaire de 85 pieds sur 200 pieds et qu’il peut accueillir 450 personnes assises et 400 autres debout. La clientèle ciblée est bien évidemment l’Association du hockey mineur, le Club de patinage artistique Unibel et le Club de patinage de vitesse. «Sans compter les ligues de garage de la région», ajoute M. Meilleur, insistant sur le fait qu’aucune autre ville du Québec affichant une population comparable à celle de Mirabel, soit 40 000 habitants, ne peut se vanter d’avoir trois arénas sur son territoire.
Rappelons que les deux autres arénas de Mirabel sont situés, l’un au Complexe Jean-Laurin, secteur de Saint-Augustin, et l’autre au Complexe du Val-d’Espoir, secteur de Saint-Janvier.