Les Alouettes recevront à cette occasion les Tiger-Cats de Hamilton au Stade Mémorial Percival-Molson à compter de 19 h 30 et encouragent les fans à apporter des denrées non périssables ou à effectuer des dons en argent ou par carte de crédit pour les gens dans le besoin.



À partir de 18 h, des barils seront déposés à chaque entrée du stade où les cheerleaders des Alouettes, en plus des généreux bénévoles de Moisson Montréal et de Purolator, aideront à la collecte des dons. Des aliments de base sains comme le poisson en conserve, les lentilles, le riz et les pois chiches sont de bons articles à donner.



Pour remercier les partisans de leur générosité, ceux-ci auront également la chance de se faire photographier avec la Coupe Grey, qui se trouvera au kiosque Purolator situé à l&#8217;entrée Est du stade.&nbsp;



Les Alouettes et Purolator sont partenaires depuis 18 ans et ensemble ils ont recueilli des centaines de milliers de livres de nourriture pour les banques alimentaires locales.



Les dons recueillis lors de l&#8217;événement serviront à soutenir Moisson Montréal, un organisme à but non lucratif qui distribue de la nourriture à plus de 257 organismes communautaires accrédités sur l&#8217;île de Montréal, ce qui équivaut à 137 000 personnes, dont près de 45 000 enfants.



<h2>Pandémie et inflation</h2>



Depuis 2019, expliue-ton dans un communiqué de presse, la pandémie et l&#8217;inflation ont provoqué une augmentation de 26 % de la demande pour les services de Moisson Montréal. Beaucoup de ces nouveaux utilisateurs travaillent à temps plein, mais ont du mal à soutenir l&#8217;impact de l&#8217;inflation. Les prix des produits d&#8217;épicerie ont augmenté de plus de 10 %. C&#8217;est pourquoi il est plus important que jamais que nous nous mobilisions en tant que communauté pour aider nos banques alimentaires locales.



« C&#8217;est un bel honneur pour moi d&#8217;être associé à une si belle cause, ce n&#8217;est pas tout le monde qui peut manger trois repas par jour. En tant qu&#8217;athlète, je sentais que je devais faire ma part », de mentionner Pierre-Luc Caron qui a signé avec les Alouettes en février 2021 après avoir passé quatre saisons avec les Stampeders de Calgary, équipe qui l&#8217;a repêché en cinquième ronde, 42e au total, en 23 mai 2016.



Les personnes ne pouvant assister au match peuvent faire un don à Moisson Montréal au <a href="https://e.montrealalouettes.com/mail/RLS?mid=-120307353&amp;guid=67yf0001019fv1leaDg&amp;lid=59655006&amp;s=1" target="_blank" rel="noreferrer noopener">blitzcontrelafaimdepurolator.com</a>.

Mavrick Sauvé n’en est pas à sa première compétition. Depuis déjà cinq ans, il participe au circuit compétitif du ski de bosses au Québec. Et dès ses premières compétitions, il décrochait des médailles. Il fait maintenant partie de l’équipe du Québec pour les compétitions de plus haut niveau. « Je suis le plus jeune de l’équipe », mentionne-t-il d’ailleurs.



Dès sa première compétition provinciale, il est arrivé dans les meilleurs de son niveau, à la deuxième place. Son entraîneur lui avait mentionné, avant la compétition, qu’elle le voyait dans les dix premiers, sans se douter de sa position réelle. Même Mavrick n’y croyait pas et n’était pas prêt à monter sur le podium, déjà changé et prêt à partir de la montagne. La deuxième journée de compétition de cette même fin de semaine, c’est la première place qu’il a raflée.



Les niveaux compétitifs fonctionnent par région&nbsp;: régional, provincial, série canadienne, canadienne, nord-américaine, puis internationale. Il y a également une catégorie par âge sous laquelle l’athlète se trouve. Dans le cas de Mavrick, il passe, à partir de la prochaine saison, dans la catégorie&nbsp;U18 (sous 18&nbsp;ans).&nbsp;



Se retrouver dans l’équipe du Québec facilitera sa qualification dans les compétitions nord-américaines. « Il faut faire une compétition pour se qualifier au circuit nord-américain. À cette compétition-là, c’est normalement toutes des équipes provinciales », explique l’athlète de Mirabel. Être dans une telle équipe permet une participation plus facile, même assurer aux autres compétitions de la saison. Sans cette équipe, il est quasi impossible de faire partie du circuit.



Une passion qui remonte à loin



Le ski de bosses est pour Mavrick une vraie passion. Les compétitions sont déjà demandantes, mais à son retour à la maison, il continue à pratiquer et sauter. Beaucoup s’étonnent de son énergie, mais son père assure qu’il a toujours été ainsi.&nbsp;



Le ski acrobatique fait partie de la vie de Mavrick depuis ses 10&nbsp;ans, mais le ski en soi est un sport présent dans sa vie depuis encore plus jeune. Il a d’abord fait du saut acrobatique et se dévoue maintenant au ski de bosses. « Le fait d’avoir fait du saut pendant quatre ans l’a vraiment aidé à être fort dans cette discipline », explique son père, Patrick Sauvé, ajoutant que l’équipe du Québec en saut cherche à le recruter depuis 3&nbsp;ans.



Des embûches sont arrivées sur le parcours du jeune athlète, comme à beaucoup d’autres. Des descentes moins satisfaisantes, Mavrick en a eu. Malgré tout, il a su rester calme en public et garder une bonne image. « C’est un sport jugé, il ne faut pas l’oublier », affirme M.&nbsp;Sauvé, mentionnant que certains athlètes gardent malheureusement une image colérique à cause de vieilles compétitions. Patrick a souvent insisté auprès de son fils pour qu’il garde une belle image auprès du public. Il lui a également rappelé que personne ne l’obligeait à compétitionner et que c’était lui qui devait y trouver du plaisir.



Patrick est malgré tout très fier de son fils. « Je ne peux pas être entraîneur, parce que ce n’est pas ma force. Mais je peux être coach de vie&nbsp;: l’attitude, le comportement, le dépassement de soi. Ça, je peux l’aider », explique-t-il quant au support qu’il offre à Mavrick. L’encouragement dépasse également sur d’autres aspects de la vie, comme l’école et les devoirs. Les rendez-vous médicaux sont également très présents et demandent une bonne gestion. « En tant que parent, quand ton athlète est passionné, tu n’as pas grand-chose à faire. »



Un coût à payer



Les compétitions ne sont cependant pas gratuites. Mavrick est donc en recherche de commandites pour lancer sa carrière d’athlète. Son père compte également organiser une levée de fond en vendant des objets et chèques cadeaux. Ses parents vont le suivre sur certaines compétitions. « Mais tout ce qui n’est pas au Québec, c’est l’équipe qui s’en charge », spécifie Mavrick en excluant les coûts.



Mavrick espère, avec tous ces efforts, atteindre le niveau mondial et les Olympiques. Son idole, Julien Viel, est lui-même un espoir sur le circuit mondial. « J’ai déjà fait un duel contre lui. Il est vraiment gentil et vraiment bon », conclut le jeune Mirabellois. Il invite également ceux qui le veulent à le suivre sur les réseaux sociaux.

Ski de bosses: Un jeune Mirabellois intègre l’équipe du Québec

Les jeunes font partie des meilleurs dans leur catégorie d’âge respective au Québec. S’ils avaient terminé en huitième position et plus, ils auraient pu persévérer. Malheureusement, ce fut la neuvième place pour Lou Forget et les autres, encore plus bas au classement. « On est vraiment fier de nos enfants. C’est un événement d’envergure pour eux. On est impatient pour l’année prochaine », mentionne Jean-François Foret, père de Lou et Sasha et amateur de BMX.



L’équipe est adhérente au club Cycle-Max, anciennement situé à Saint-Eustache et maintenant à Boisbriand. « Tous les gens de la Rive-Nord s’entraînent là. Malheureusement, il n’y a pas beaucoup d’endroits pour pratiquer ce sport dans nos villes. La preuve, nous sommes plus de 150 membres à ce complexe », explique l’athlète.



CHAMPIONNATS



Les compétitions ont débuté le samedi, avec plus de 500 participants de tous âges et de toutes catégories. La première journée a mis en vedette les athlètes juniors (17-18 ans) et les élites (23 ans et plus), avec l’ajout de la nouvelle classe U23 chez les hommes et chez les femmes. Des médailles ont également été remises aux coureurs « Challenge ». Céleste Bigras dans la division Women Junior a fini huitième, Rafael Trudel dans la classe huit ans à terminé 17e, Lou Forget dans le groupe neuf ans a clôturé en neuvième place et Sasha Forget dans la classe cinq-six ans combinés a complété en 11e position. « Après seulement deux vagues de qualifications, les courses ont été retardées d’environ trois heures. Les pluies diluviennes et les orages rendaient la piste non sécuritaire », indique le coordinateur du secteur BMX à la Fédération québécoise des sports cyclistes, Victor Ailloud.



Les enfants du secteur ont été entraînés par Charles Matisse, un citoyen de Deux-Montagnes et réputé dans le mi- lieu du vélo.



Il reste actuellement une course dans la ville de Québec avant de prendre une pause estivale. « On est fier de notre équipe. Antérieurement, c’était juste au niveau provincial. C’était donc toute une épreuve de s’essayer contre le Canada ». Le père en a profité pour annoncer que lui et sa famille ont bien hâte aux prochains Championnats canadiens qui se dérouleront à Drummondville en 2023.

L’Eustachois Pierre-Luc Caron porte-parole de la 18e édition du Blitz contre la faim

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