La filiale de football américain cadet D2 des Centurions de la polyvalente Deux-Montagnes disputait un match final contre le séminaire St-Joseph de Trois-Rivières, le dimanche 12 novembre, après voir gagné la grande finale des séries éliminatoires de la division Laurentides-Lanaudière, contre l’équipe Laval Senior Academy (LSA), le 4 novembre, au terrain de la polyvalente. 
Les footballeurs laurentiens ont concédé la victoire contre le vert et or par la marque de 24 à 2. Plusieurs joueurs sont sortis blessés de ce match final. «Nous avons eu un match très difficile, plusieurs de nos joueurs offensifs étant blessés. Avant le match, l’un de nos excellents joueurs, Jérémie Coe-Gingras, avait une blessure à la cheville et n’a pu se présenter sur le terrain. De son côté, Philippe L’anglais avait une blessure à la cheville, mais s’est présenté quand même sur le jeu et a dû quitter durant le match. Par la suite, William Boisseau, Nelson Victor, Nathan Bergeron, Sébastien Lachance se sont blessés tour à tour» , de mentionner Lynda Labelle, impliquée auprès des Centurions de la polyvalente Deux-Montagnes. 
<h3>Résilience et satisfaction</h3>
Malgré la défaite, les membres de l’équipe, dont l’entraineur-chef, Mike Calixte, restent fiers de la saison disputée par les ouailles. «Les joueurs et les coachs ont été résilients durant tout le match, et ce, jusqu’à la fin. Ils étaient satisfaits du travail accompli durant la saison. Gabriel Mutombo a reçu une plaque honorifique comme joueur du match» , lance Mme Labelle. 
Ce n’est que partie remise pour les Centurions, qui seront de retour l’année prochaine pour une autre saison et pour défendre leur titre de champion de la division Laurentides-Lanaudière.

Les Centurions cadets de Deux-Montagnes s’inclinent face à Trois-Rivières

On entend de plus en plus parler, dans le sport, des dangers liés aux commotions cérébrales, surtout lorsque celles-ci se produisent à répétition. Footballeurs, hockeyeurs ou même cheerleaders, personne n’est vraiment à l’abri. Récemment implantée à Boisbriand, au Centre d’excellence Sports Rousseau, la clinique Axone se spécialise dans leur traitement. 
«La commotion cérébrale est une tempête électrique dans le cerveau. Et tant que la tempête n’a pas diminué, la victime ne peut retourner au jeu, car si elle reçoit un 2e coup, celui-ci viendra amplifier les symptômes.» 
Cette affirmation, elle est du Dr Normand Martin, l’un des médecins spécialistes de la clinique Axone. C’est à lui, ou à ses collègues Dr Pierre Tessier et Dr Stéphane Boileau, qu’incombe la tâche d’autoriser les patients qui ont subi une commotion à reprendre une vie normale. Comme il l’a indiqué, le défi majeur que présentent les commotions cérébrales à l’heure actuelle, c’est d’en faire le diagnostic. Heureusement, des recherches sont réalisées et des progrès significatifs ont été recensés. 
«Avant, on pouvait garder un patient victime d’une commotion cérébrale couché pendant deux semaines, dans le noir, avec des lunettes, alors qu’aujourd’hui, il faut le faire bouger. D’où l’importance d’avoir à sa disposition une équipe multidisciplinaire, comme nous avons ici chez Axone» , a indiqué Dr Martin. 
<h3>Une équipe complète</h3>
La clinique Axone se trouve au 2e étage du Centre d’excellence Sports Rousseau, à deux pas de la salle de conditionnement physique, à l’intérieur du Centre Évolution. S’y côtoient physiothérapeutes, ergothérapeutes, kinésiologues, psychologues, ostéopathes, neuropsychologues, optométristes et médecins. Ceux-ci ont un point en commun: ils sont tous spécialement formés dans la gestion des commotions cérébrales. 
Parmi ces spécialistes en la matière, Joëlle Robichaud-Dion, physiothérapeute, en connaît beaucoup sur le sujet, elle qui en a fait sa spécialité. D’ailleurs, depuis dix ans, elle se tient sur les lignes de côté lors des matchs de football des Nordiques du collège Lionel-Groulx, prête à intervenir. 
«Ce qu’on dit, a mentionné Mme Robichaud-Dion, ce n’est pas de ne plus faire de sport de contact, mais que si l’on est victime d’une commotion, il faut la traiter pour éviter les séquelles. Une commotion, ça peut arriver à n’importe qui. L’une de mes patientes a reçu une étagère sur la tête et ça fait trois mois qu’elle est étourdie.» 
«Nous avons toujours fait de la médecine sportive, de renchérir Bruno Forest, propriétaire des centres Évolution et de la clinique Axone, mais on s’est vite rendu compte qu’il n’y avait pas tant de ressources accessibles aux sportifs ou aux victimes d’accidents qui subissaient une commotion cérébrale, de là la nécessité de créer une telle clinique.» 
Bien qu’elle soit située dans la bâtisse de l’Armada de Blainville-Boisbriand, un club de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ), la clinique est accessible à toutes les victimes de commotion cérébrale. Pour en savoir plus: [<a href="http://cliniqueaxone.ca" target="_blank" title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information">http://cliniqueaxone.ca</a>].

Axone se consacre à la gestion des commotions cérébrales

Deux membres des Bisons Desjardins de Saint-Eustache ont été honorés lors d’une remise de prix récompensant les joueurs et membres de la Ligue de baseball junior élite du Québec (LBJEQ). Représentant les Eustachois lors de ce gala, Hugo Marier et Luc Desgroseilliers se sont vu remettre respectivement les récompenses du Joueur de l’année et de l’Entraîneur de l’année pour la saison 2017. 
La réaction de Nicolas Comtois, responsable aux communications du club de baseball, n’a pas tardé à apparaître sur les réseaux sociaux.
«C’est la totale pour lui cette saison, mentionne-t-il, parlant d’Hugo Marier. Quel excellent joueur, mais pour moi, à mon avis, il est aussi un homme et un grand coéquipier. Pour l’avoir vu avec les plus jeunes, il possède une belle maturité et du leadership que tout entraîneur rêve d’avoir dans sa troupe. Le pire, c’est qu’il repoussera encore ses limites l’été prochain!» 
<h3>Des efforts récompensés pour Hugo Marier </h3>
Aussitôt joint, le jeune homme se disait heureux de voir ses efforts récompensés. En effet, il s’agit d’un effort personnel et du résultat de plusieurs heures passées à l’entraînement.
«Les mots me manquent, mais c’est certain que je suis extrêmement content de recevoir ce prix! C’est le résultat de beaucoup d’efforts durant l’hiver, donc je suis vraiment content d’être récompensé pour mes efforts.» 
Il tenait d’ailleurs à remercier l’organisation de Saint-Eustache, ses coéquipiers, le personnel d’entraîneurs et tous les amateurs de baseball qui suivent toujours les Bisons avec grand intérêt, et ce, à chaque année. 
<h3>L’entraîneur honoré</h3>
«Le prix de l’Entraîneur de l’année n’est pas seulement la récompense d’un championnat ou d’une position sur un classement. Il s’agit d’un tout, soit la réalisation et la démonstration de projets et d’avancements. Lorsqu’un jeune passe quelques années dans notre organisation, nous savons qu’avec Luc Desgroseilliers, le joueur est entre bonnes mains et qu’il aura les outils pour se réaliser. L’entraîneur est fier lorsqu’il voit un joueur se dépasser, surmonter les défis du baseball et de la vie. Maintenant, c’est nous qui sommes très fiers de notre pilier pour tout le travail qu’il accomplit» , d’ajouter M. Comtois via Facebook. 
Bonne nouvelle: les Bisons Desjardins de Saint-Eustache reviendront l’été prochain avec ces deux piliers dans les rangs, pour donner suite à une saison exceptionnelle et une présence au deuxième tour des séries 2017 de la LBJEQ. La prochaine saison s’annonce donc prometteuse pour la troupe et surtout pour les amateurs de baseball de la région des Laurentides. 
Pour plus amples renseignements concernant les Bisons Desjardins de Saint-Eustache, il suffit de visiter le [<a href="http://www.lesbisons.com/" target="_blank" title="Consultez notre site pour obtenir plus d'information">http://www.lesbisons.com/</a>].